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Idées, débats... - Page 354

  • Vu sur la page FB de nos amis de l'Action française Toulon : L'arnaque de l'énergie photovoltaïque.

    Jean-Marc Jancovici démontre à des sénateurs l'arnaque de l'énergie photovoltaïque.

    La quasi totalité des panneaux photovoltaïques posés en France sont de fabrication chinoise. Leur recyclage est impossible, leur durée de vie très courte et les matériaux qu'ils contiennent trop polluants.

  • Pas de démocratie sans alternance !, par Christian Vanneste.

    L’alternance est le propre de la démocratie libérale, le signe indiscutable de son bon fonctionnement. Les Anglo-saxons, qui ont inventé ce système politique, le pratiquent depuis maintenant longtemps. Satisfaits de leurs gouvernants et de leurs élus, ils les reconduisent. Déçus, ils les virent, et les opposants arrivent au gouvernement avec de nouvelles propositions. Parfois, la continuité est plus forte que le changement.

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  • Condamner l'esclavage ? Oui, bien sûr ! Sans oublier, surtout, celui qui persiste encore aujourd'hui. (I/II)...

    Dans le monde entier : Plus la couleur est foncée, plus l'esclavage moderne est présent...

     

    A lafautearousseau, on est très loin d'êtres des "fans" de Jean-Marc Morandini, et de son émission du matin sur C8.

    Cependant, on se doit de jeter régulièrement un oeil par-ci, par là, un peu partout, pour dénicher telle ou telle chose à dire, à redire ou à préciser/rectifier : et donc, lors d'une de ces émissions matinales, on a vu Morandini revenir sur une méchante affaire entre Babette de Rozières, qui était "furieuse" contre Mimie Mathy, et cette dernière, traitée par la première de "conne et imbécile".

    Pour le lecteur non averti, tout est parti d'un épisode de la série "Joséphine, ange gardien" dans lequel Mimie Mathy remontait le temps, et atterrissait en Martinique en 1830, d'où la présence du thème de l'esclavage...

    Bon, on n'entrera évidemment pas, ici, dans ce débat entre dames (?), qui relève du caniveau; par contre, on s'intéressera au "fond" du problème - l'esclavage et sa condamnation - qui, lui, va nous permettre de... remettre les choses au point...

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  • Pour réintégrer Maurras dans le paysage politique français... : la journée d'hommage du 1er septembre 2012 (1/5)

    lafautearousseau se propose ici de vous faire découvrir Un patriote, nommé Maurras. Maurras est en effet inconnu du grand public, parce que volontairement ignoré par la conspiration du silence, entretenue par le Système pour lequel Maurras n'est pas "dangereux", mais "le seul dangereux", car il en a dénoncé les bases idéologiques et parce qu'il l'a remis en cause dans ses fondements révolutionnaires.

    C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

    Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

    Du début février au 23 mars (fin de la première partie de notre campagne de sensibilisation pour la sauvegarde de la maison de Maurras) nous présenterons divers textes ou documents relatifs à Maurras, sa vie, son oeuvre... 

    Nous avons passé les deux dernières semaines en bonne compagnie, avec Axel Tisserand, d'abord, puis Jean-François Mattéi et sa très belle intervention dans le jardin du Chemin de Paradis, le 1er septembre 2012; nous passerons cette semaine-ci avec une sorte de reportage, tiré de nos riches archives, sur ce que fut cette journée d'hommage du 1er septembre 2012, à l'occasion du soixantième anniversaire de la mort de Maurras.

    Le rappel de cette journée montrera bien ce qu'était la Maison de Maurras jusqu'à ce que la Mairie de Martigues n'en interdise l'accès, ne la "ferme", aussi sournoisement que brutalement; n'érige autour d'elle comme une sorte de Mur de Berlin, aussi réel qu'invisible...

     "Avant", tout le monde pouvait aller admirer le lieu, et  nous ne nous privions pas, à l'Union Royaliste Provençale. Ces jours heureux sont, pour l'instant, révolus. Jusqu'à quand ? C'est toute la question, et la raison de notre protestation, qui ne cessera que lorsque nous aurons obtenu ce que nous demandons :

    1. Des informations claires et précises sur les travaux promis, et un calendrier, même approximatif, concernant le déroulement de ces travaux, qui doivent aboutir à la réouverture de la Maison au public...

    2. Et, en attendant, la remise à disposition du public du libre accès au jardin, sans autres conditions que celles qui prévalent en n'importe quel autre endroit public du pays, selon les règles et normes en vigueur partout...

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  • Sur la page facebook d'Emmanuel Boutang...

    "La monarchie est morte ! Mais quelque chose n'est pas mort. C'est le besoin que la France a de la Monarchie pour vivre elle-même. Dès lors, il suffit que ces matériaux existent, on pourra recomposer le gouvernement sauveur, on le rétablira comme Auguste le fit à Rome, de longs siècles après le départ de Tarquin, et le général Monck en Angleterre quelques années à peine après l'échafaud de Stuart. "
    (Charles Maurras, extrait de" Pour un réveil Français", rareté publiée dans les cahiers Maurras, numéros 26 et 27)

  • A Dunkerque, au rythme du Carnaval et de l'illustre JEAN BART !

    Tirées de notre Album Fêtes de France, Identité française : ces fêtes qui "font", qui "sont" la France... voir les trois photos :

    A Dunkerque, où l'on célèbre Jean Bart...

    ...et où l'on jette des harengs à la foule !

    Bandes et cliques : les trois Joyeuses...

  • Sur la page facebook de notre ami Frédéric de Natal...

    Sortie le 27 février prochain de la biographie consacrée à Philippe VII, Comte de Paris, préfacée par Jean d'Orléans, prétendant au trône de France. Un moment d'histoire de France, une plongée dans le monarchisme français*.

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  • Les lois de la religion sont-elles supérieures à celles de la République ?, par Gérard Leclerc.

    À Mulhouse, mardi, le président de la République a énoncé un principe d’une clarté totale, afin de bien démarquer les territoires respectifs du politique et du religieux. « On ne doit jamais accepter que les lois de la religion puissent être supérieures à celles de la République. » Emmanuel Macron n’est pas le premier à proférer une telle affirmation. Elle s’adresse d’évidence à nos compatriotes musulmans dans les circonstances qui sont les nôtres.

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  • Paris et la politique, au-delà des municipales, par Jean- Philippe Chauvin.

    La campagne des élections municipales a pris un tour national fort peu ragoûtant et souvent inappropriée aux souhaits des électeurs comme aux nécessités communales et civiques. Il est vrai que l’affaire des images de M. Griveaux a mobilisé les grands médias plus que la raison et la simple décence n’auraient dû le permettre, et ce péché d’orgueil de l’ancien porte-parole élyséen lui a coûté une élection qui, de toute façon, semblait ne pas lui être vraiment promise. Mais, au-delà du grivois et de la fin d’une carrière politique, cette histoire révèle aussi quelques uns des travers de notre système politique particulier hérité des bouleversements principiels de la Révolution française.

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  • L’éthique de la reconquête, par Frédéric Winkler.

    « Les plans de l’économiste distingué sont, à chaque instant, modifiés et remis en question par le soldat qui donne sa vie pour son drapeau, par le laboureur qui chérit sa terre par-dessus tout, par le fidèle qui observe les règles et les défenses dictées par sa religion, toutes gens qu’inspirent non des calculs mathématiques, mais une vision intérieure » (Chesterton).

    Dans les temps de confusion qui sont nôtres, l’espérance comme dans les temps dits « obscures » voire « barbares », reste dans l’émergence d’une élite. Celle-ci venait, vient et viendra de la sève même de la nation, peuple ou tribu, fruit de l’histoire, de l’identité d’une société.

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  • Tous les articles parus sur lafautearousseau depuis le début de notre campagne "Défendez Maurras ! Sauvez sa maison !"

    "Lanceurs d'alerte" : si la chose est vieille comme le monde, la formulation fait fureur en ce moment. Va donc pour "lancer l'alerte" à propos de la maison de Maurras à Martigues, et pour demander publiquement : que se passe-t-il, au Chemin de Paradis ? Ou : que s'est-il passé ? S'est-il passé quelque chose de grave pour que la Mairie interdise la visite de la maison et même le simple accès au jardin ? Y a-t-il eu vol(s) ou dégradation(s) que la Mairie voudrait ou devrait cacher ? Mais un vol arrive partout : on a même volé la Joconde au Louvre au début du siècle dernier...

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  • En librairie le 5 mars...

     

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    La France a sans doute atteint son apogée à la veille de la Révolution. Sous Louis XVI, demeuré dans les mémoires le roi faible, elle porte paradoxalement sa puissance à un niveau inégalé.
    Le système diplomatique français neutralise alors l’Europe par un jeu de bascule et d’équilibre qui assure la paix au détriment des ambitions territoriales. Bien équipées et entraînées, les armées du roi garantissent l’ordre international. Reconstituée après les désastres de la guerre de Sept Ans, la marine bouscule quant à elle les Anglais qui découvrent l’amertume de la défaite et apprennent à partager l’empire des mers. 
    Le commerce prospère. Les ports de l’Atlantique bruissent d’activité. À la tête de la seconde flotte commerciale du monde, les armateurs de Nantes, Bordeaux et Marseille élargissent les marchés régnicoles. Une proto-industrie prometteuse se développe. Les Français produisent alors plus de fer que l’Angleterre. L’État est endetté, mais la France est riche.
    Elle est aussi influente. Il n’est pas une personne de qualité dans l’ancien et le Nouveau Monde qui ne parle le français, langue de l’esprit assurément, mais aussi de ce badinage qui s’appelle l’art de vivre. Les sociétés scientifiques de Paris participent de plain-pied à la transformation du monde dont les rouages et les principes ouvrent à l’homme des perspectives nouvelles.
    Malgré des zones d’ombre trop connues, une population nombreuse et industrieuse peut alors regarder l’avenir avec confiance. Une vision stratégique à long terme ouvre des voies prometteuses. Inattendu, l’effondrement n’en sera que plus violent.
    Cette étude portant sur la France de Louis XVI jusqu’à la veille de la Révolution ne se contente pas d’explorer les arcanes d’une période charnière et d’en révéler les lignes de force. Elle développe une réflexion sur la notion de puissance ; dégage des principes et des constantes ; éclaire notre époque en resituant les événements et leur causalité dans le temps long. Livre d’histoire, assurément, il est plus encore un ouvrage de stratégie.
     
     
    1 vol. 16 x 24, 160 pages, 20 €
  • Sur le site Sens Critique : avis sur le film "Le Fils d'un Roi".

    "Français, parlons avec courage..."

    Le Fils d'un roi est un film qui déconcerte. En fait, quoiqu'on en attende, le film de Cheyenne Carron répondra à certaines de nos attentes et pas à d'autres. On est évidemment en droit de trouver ça décevant. Pourtant, pour ma part, je dois dire que j’ai trouvé cela brillant. La surprise est un des points fondamentaux de la découverte de tout film qui se repecte, et on songerait difficilement à le reprocher à un film comme celui-ci.

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  • Hommage à Pierre Debray, par Olivier de Lérins.

    Au moment ou l’Action française du XXI° siècle se porte en pointe du combat écologique, il est urgent de relire Pierre Debray.  Lui qui fut l’un des quatre maîtres de l’école maurrassienne, fut aussi celui qui analysa la société industrielle au crible de l’empirisme organisateur. Le lire aujourd’hui permettra d’éviter au jeune royaliste de 2020, soucieux d’une véritable politique écologique, de tomber dans les dérives de ceux qui après 1968 utilisèrent l’écologie comme porte de sortie du marxisme. Lire Pierre Debray aujourd’hui, c’est s’assurer de bien comprendre Ellul, Illitch et Mumford et de s’armer pour l’aggiornamento maurrassien. Notons aussi que cette dernière étude monarchiste constitue le complément indispensable du suberbe n° 56 de la Nouvelle Revue Universelle. C’est dans Politique Magazine qu’Olivier Lérins, l’un des jeunes talents du mensuel Le Bien Commun a rendu compte du livre de Debray dont il nous fait un résumé d’une grande clarté  !

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  • La théorie du genre (1ere partie) (4), par Jeunesse si tu savais et Poussières d'étoiles.

    En contact avec les mouvements Jeunesse si tu savais et Poussières d'étoiles; voici les liens de leur page FB, de leurs sites officiels et de leur chaîne youtube :

     

    JEUNESSE SI TU SAVAIS

    https://www.facebook.com/jeunessesitusavais/

    https://www.jeunesse-si-tu-savais.fr/

     

    POUSSIERES D'ETOILES

    https://www.poussieresdetoiles.fm/

    https://www.youtube.com/channel/UCvYtt4Ws_Uc4Cj0LeLCoEJQ/videos

     

    Et voici le quatrième article (aussi en vidéo/audio) qu'ils nous ont adressé, en attendant la suite...

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