Le sourire du dimanche....
Est-ce -encore...- la faute de la police ?...
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Est-ce -encore...- la faute de la police ?...
L’année Henri IV 2010, célébration nationale placée sous le Haut patronage du Président de la République, a été ouverte officiellement à Rome les 10 et 11 décembre 2009, en présence de Monseigneur le duc de Vendôme, héritier du titre de son prestigieux aïeul.
Lors de la messe solennelle célébrée pontificalement à la basilique Saint-Jean de Latran par le Cardinal Vallini, vicaire de Rome, celui-ci dans son homélie a donné le sens de la cérémonie : « Nous sommes réunis pour célébrer la Messe « pro natione gallica » dans cette basilique Saint-Jean-de-Latran où se manifeste avec une particulière intensité le lien de la France, « fille aînée de l’Église », avec le successeur de Pierre, qui a ici sa chaire épiscopale. La célébration d’aujourd’hui revêt une signification tout à fait particulière avec l’ouverture des manifestations organisées pour rappeler le quatrième centenaire de la mort du roi Henri IV, celui-là même qui a voulu que chaque année, le chapitre du Latran célébrât le sacrifice eucharistique pour demander à Dieu la prospérité du peuple français. »
Il est né à Pau, comme le bon roi Henri; il est membre de l'Académie de Toulon; laquelle aura été, grâce à son exposé, la première en France à rendre hommage à ce grand roi, au cours de cette année 2010 qui lui est consacrée.
Ce n'est que contraints par une actualité assez dense, et non par une coupable négligence, que nous avons reporté cette relation de l'exposé du dr Navarranne dans une Salle Mozart prise d'assaut....
Voici donc la page de Var Matin qui lui a été consacrée....
Comme convenu, nous avons réuni en un seul PDF les cinq notes En réponse aux élucubrations d'Éric Besson et d'autres officiels du Système....
Cette semaine, dans les Ephémérides, il y en a pour tous les goûts, comme d'habitude: Science, art, histoire, littérature, architecture... et vous pourrez écouter l'air de Carmen "Les voici" (Acte V), au mercredi 3 (jour de la Premièrede Carmen). On parlera du Massacre des Lucs sur Boulogne; de Montaigne, Mistral, Renan, Hyppolite Taine et Marguerite Yourcenar; du Phare de Cordouan, du Concorde et de la Pyramide du Louvre...
Très bientôt, deux nouveaux Grands Textes -un de Maurras et un de Chateaubriand- et notre nouvel Album: Ecrivains royalistes (I): Chateaubriand.
Voici ce que vous trouverez cette semaine dans votre Blog préféré (sous réserve de modifications de dernière minute, imposées par l'actualité):
C'est toujours un bon moment, la lecture de Basile de Koch; un moment de vraie détente, intelligente et divertissante. Cette fois-ci (dans le Valeurs actuelles du 17 décembre 2009), on le trouve deux fois : pour son habituelle chronique Télé (que nous reproduisons ci-après) et aussi pour une présentation de son très drôle Manuel d'inculture générale.
On y trouvera plusieurs perles, mais rien que pour celle-ci - réellement savoureuse - l'ouvrage vaudrait d'être lu:
Voltaire ? ..."a dénoncé courageusement toutes les injustices dont il n'était pas complice" !.....
253 pages, 24 euros
Voici sa chronique télé sur le "Péril tradi", dans laquelle il envoie à Canal Plus - avec beaucoup d'esprit - la volée de bois vert qu'elle a bien méritée...
Dimanche 31 janvier, environ 14h30. France info donne la parole à son correspondant local à Genève. Celui-ci fait une longue sortie contre la Suisse, et se réjouit ouvertement des problèmes (?) qu'elle rencontre (comme si la France, qui subit la politique désastreuse de la république idéologique, n'en avait pas, des problèmes !...).
Le journaliste exhale son fiel, -il n'y a pas d'autre mot- et nous explique avec délectation que, maintenant que la Suisse a, donc, des problèmes, après tant d'années d'insolente bonne santé, c'est au tour de ses voisins européens de la regarder avec commisération et de prendre leur revanche.....
On laissera ce journaliste à son mauvais esprit et à ce qu'il croit sans doute être de l'analyse politique, fine qui plus est : si c'est le cas, il est bien le seul !...
Le Syndicat de la Magistrature a exigé du Ministre de la Justice qu'elle prenne des sanctions contre Eric Zemmour. Celui-ci a, en effet, commis un crime impardonnable, dans sa chronique du 27 janvier dernier : il a dit la vérité.
En disant ce qu'il pensait, et que nous pensons tous. Il n'est d'ailleurs pas anodin que le journaliste de RTL l'ait remercié, à la fin de sa chronique, justement "pour avoir dit ce qu'il pensait...".
Pour donner envie à celles et ceux qui ne l'ont pas encore lu, ou acheté... ou qui se demandent si cela vaut le coup... Pour nous, c'est sûr, il vaut le coup d'être acheté et lu, car c'est un bon livre...
Quelques mises en bouche ?.....
237 pages, 19,50 euros
En guise de conclusion....
Arrivés à ce stade de notre raisonnement, faisons une sorte de petite pause, et convenons qu'il est -somme toute- assez amusant de constater qu'en réalité les choses ne se passent pas tout à fait, et même pas du tout, comme le souhaitaient -et comme prétendaient les organiser- nos idéologues de gauche et d'extrême gauche.
Et la vie dans les banlieues, dans les cités, n'est pas toujours -loin s'en faut- un long fleuve tranquille....
....à la Fnac (1), le samedi 27 février à 17h30, sur le thème : Camus et la pensée de midi.
Cinquante ans après sa disparition, que reste-il de la figure à multiples facettes d'Albert Camus ? La postérité semble rendre justice à sa création artistique et à ses combats...
Débat en présence de Jean Yves Guérin, Dictionnaire Albert Camus (Robert Laffont), Thierry Fabre, Eloge de la pensée de midi (Actes Sud), Jean-François Mattei, Albert Camus & La Pensée De Midi (Ovadia), Le Sens de la démesure (Sulliver).
(1) : Centre Bourse,13001 Marseille.
Lu sur son Blog ( http://jpchauvin.typepad.fr/ ) à propos des violences au lycée Adolphe-Chérioux de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne) et de l'autisme du Ministre:
".....Il y a une certaine ironie à voir le ministre d’un président qui doit son élection à une vive campagne sur la lutte contre l’insécurité s’interdire de répondre à ce qui a fait le succès de son maître : car, que demandent les enseignants qui se sentent en danger sur leur propre lieu de travail ? La sécurité ! On est loin du discours libertaire des années 70 qui considérait, dans une sorte de rousseauisme contemporain rebaptisé « pédagogisme », qu’il fallait « mettre l’élève au centre du système » sans lui imposer d’autorité, ni celle du savoir ni celle du professeur, ce qui a laissé la porte ouverte à un véritable « ensauvagement » d’enfants sans repères et, en définitive, victimes de l’abandon des fondamentaux de toute instruction publique et victimes aussi de la prégnance des messages d’une société de consommation devenue jungle…
Eh oui, les chiffres sont là, et ils sont intrafiquables: au total, ce sont bien presque cinq millions de Français perdus, volatilisés, sortis de l'histoire dans le siècle et demi qui a suivi la Révolution.... Dont énormément de jeunes, qui n'ont pas eu le temps de fonder un foyer, et d'avoir une descendance.
Voilà pourquoi -et c'est la seule et unique raison: la dé-raison de la politique (?) menée par ceux qui se voulaient pourtant les tenants de la Raison- voilà pourquoi, donc, la France a eu besoin, après la première Guerre Mondiale, et pour la première fois de son histoire, de faire appel à des populations extérieures.
Encore celles ci vinrent elles d'Europe, pour l'essentiel. Elles avaient donc, en gros et à peu de choses près, les mêmes fondements spirituels, culturels, mentaux et moraux que nous. Et leur proportion, par rapport à la population française, est de toutes façons restée raisonnable, permettant leur intégration, puis leur assimilation.
Malgré de réelles -et inévitables- frictions, qu'il serait vain et sot de nier, mais qui n'ont, au final, pas entravé l'irrésistible processus d'intégration/assimilation.
C'est à Daniel Lefeuvre que sont posées, ce samedi 13 février, les "Trois questions à..." du Figaro.
A la deuxième question, La Fondation pour la mémoire, annoncée à Paris, est-elle une solution ?, il apporte cette réponse, qui a le mérite d'appuyer là où ça fait mal :
"Oui, si elle favorise la recherche sur la colonisation et la guerre d'Algérie. Les archives françaises sont largement ouvertes, les Algériens doivent en faire autant. Le risque, pour l'Etat algérien, est de se retrouver face aux crimes du FLN dont ont été victimes pendant la guerre les "messalistes", les harkis et les civils européens."
Ou: qui a peur de la vérité ? Et de l'ouverture des archives ?...