Sur Sud Radio avec André Bercoff, Maître Cusas, Facebook et liberté d'expression : "Des pages de Gilets Jaunes ont été supprimées".
Maître Eric Cusas, au micro d'André Bercoff sur Sud Radio.
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Maître Eric Cusas, au micro d'André Bercoff sur Sud Radio.
Le Cercle Aristote a l'honneur de recevoir Bertrand Alliot, docteur en science politique et ingénieur maître en gestion de l'environnement pour une conférence en ligne sur son dernier ouvrage intitulé "une histoire naturelle de l'homme" aux éditions de l'Artilleur.
Hubert Védrine, ancien ministre des Affaires étrangères, signe l’ouvrage "Et après ?". Un essai sur la bataille de l’après-Covid-19, dans un monde où "rien ne sera exactement comme avant".
Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)
Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...
Envoyez-nous les annonces et/ou les visuels de réunions de rentrée, Cercles d'études et de formation, Cafés politique/actualité/histoire, manifestations diverses etc...
Nous vous en parlions hier, dans lafautearousseau : la bêtise crasse des racialistes/racistes de la ville de Saint Louis, dans le Missouri, les a poussé à vouloir déboulonner la statue du roi et, faute d'y arriver, à la salir, tout simplement. Ils ont aussi hurlé qu'ils voulaient débaptiser la ville !
Heureusement, il n'y a pas que des cinglés hystériques à Saint Louis : des citoyens sont venus illico nettoyer la statue : bravo à eux !
Macron devrait prendre l'écrevisse pour emblème : ce petit animal qui avance... en reculant ! Alors qu'une seule chose est sûre : il faudra de plus en plus d'électricité, partout, toujours et pour tout le monde, Macron a choisi d'entrer dans le futur en fermant une centrale qui "produisait décarboné".
Il restera dans l'histoire, non seulement comme le Président du pire des quinquennats de la Vème (violences ininterrompues depuis les Gilets jaunes) mais celui qui choisi la régression au lieu du progrès...
Et qui aura porté un coup sévère à l'un des derniers secteurs d'excellence de la France...
Laissons aux politologues, aux experts en sociologie électorale, le soin d’analyser les résultats de cet étrange second tour des élections municipales. Le record d’abstention est forcément à mettre en relation avec la crise sanitaire dont nous ne sommes pas sortis. Est-il vraiment possible, avec une participation si faible, d’accomplir un diagnostic sur la réalité des mouvements internes à l’opinion française ?
Dire que les élections municipales de 2020 sonnent le glas de la démocratie peut paraître peu démocratique. Pour qu’il y ait une démocratie, il faut qu’il y ait un démos, un peuple avec une volonté générale qui l’anime et qui se traduit par les mouvements d’amplitude différente et d’orientations opposées qui marquent les scrutins. Certes les élections municipales sont des élections locales, mais on sait très bien que, de plus en plus, les électeurs sont déterminés par des considérations nationales qui justifient de grands basculements à leur occasion, et cela en proportion de la taille de la ville.
Les élections municipales de 2020 « virent au vert », affirmait un observateur au soir de la « vague verte » qui s’empare, avec des scores parfois sans appel, de grandes villes, voire de métropoles qui semblaient promises « ad vitam æternam » aux partis « sérieux », c’est-à-dire de la droite et de la gauche classiques et « républicaines », ce dernier adjectif n’indiquant pas grand-chose, en fait, sur l’attachement des susdits aux institutions de la République…