Autour du prince Jean.....
UA-147560259-1
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Voici trois semaines, maintenant, que nous préparons à notre façon le prochain mariage du Prince Jean.
Nous avons d'abord tâché de montrer d'où venait la légitimité de la Famille de France; puis nous avons voulu donner un rapide aperçu de tous les symboles de Senlis et de Chantilly, choisis par le couple pour ce mariage, et l'on a vu que ces symboles étaient nombreux et qu'ils étaient forts. Et cela nous a fait à nouveau plonger au coeur de notre Histoire et de notre Culture, de notre Civilisation.
Au stade où nous en sommes arrivés, il ne sera pas inutile, dans notre familiarisation avec la Famille de France, de nous arrêter maintenant quelques instants sur ceux qui la composent depuis le siècle dernier, et de faire un petit peu de généalogie, afin de bien savoir qui est qui, et qui vient d'où.....
Le roi Louis-Philippe avait cinq fils.....
Deux syndicats de police ont exprimé dimanche leur inquiétude et réclamé plus de fermeté face aux "agresseurs" de policiers après deux incidents distincts aux Mureaux et à Montgeron.
"La violence monte crescendo depuis Villiers- le-Bel et les évènements en Outre mer", a assuré Frédéric Lagache, secrétaire national d'Alliance, second syndicat de gardiens de la paix.
Ex-PS et désormais proche de l'UMP, l'élu marseillais Philippe Sanmarco peut mériter des reproches, mais en tout cas pas ceux de pratiquer la langue de bois ou de manquer de franchise.
Intéressant, le reportage du Figaro sur Mayotte (1).
Thomas Michaud, vice-procureur de Mayotte, y fait preuve d’une grande lucidité et d’un grand bon sens. N’a-t-il pas tout dit, lorsqu’il déclare au journaliste :
(1) : de Jean-Louis Tremblais (texte) et Noël Quidu/Gamma (photos), le 13 mars.
Deux jours après qu'Yavn Blot ait prononcé sa conférence sur la Crise à Marseille, La Tribune de Genève (du vendredi 13 mars, donc) publiait l'article de Jacques Sapir que nous reproduisons intégralement ci-après.
On le verra : la réflexion du second (dans le cadre étroit d'un article, finalement assez court) ne peut pas avoir la même envergure que celle du premier, qui a pu développer sa réflexion pendant une bonne heure. L'angle d'analyse, surtout, est très diffèrent, et c'est justement ce qui fait que la réflexion de Jacques Sapir complète, et fait comme une une sorte d'écho, et donc prolonge, en un certain sens, celle d'Yvan Blot.
Nous avons donc jugé utile de la porter à la connaissance de nos lecteurs, afin de poursuivre, de préciser et d'enrichir en quelque sorte la réflexion entamée avant hier.....

Aujourd'hui : les trésors de Chantilly, patiemment accumulés, avec un goût des plus sûrs par le duc d'Aumale.
Il s'agit, on l'a vu, de la deuxième collection d'art en France, par son importance et sa qualité, après le Louvre.
Le duc d'Aumale n'a pas cherché à constituer un musée traditionnel, un de plus. Il a simplement voulu rassembler une belle collection, groupant les oeuvres au hasard, en fonction de ses acquisitions, voire en réunissant dans une même pièce celles qu'il préférait. Les conservateurs ont respecté cette façon de faire, et c'est un charme supplémentaire de Chantilly.
Il est à noter, enfin, que, suivant les termes mêmes du legs fait à l'Institut, ce dernier a l'obligation "de n'apporter aucun changement dans l'architecture extérieure et intérieure du château" et qu'il a interdiction formelle de prêter quelque objet que ce soit. Les amateurs d'Art doivent donc venir à Chantilly, s'ils souhaitent voir les merveilles que le château renferme.
L'extra-ordinaire Cabinet des Livres se trouve dans le Petit Château. Les non moins extra-ordinaires collections dans le Grand Château.
Sur la photo ci dessous, le Château d'Enghien est le long rectangle, au fond à droite; le Petit Château est devant, en bas à droite, et se reflète dans la pièce d'eau; le Grand Château est derrière, à côté des deux bassins rectangulaires et du bassin circulaire.
Le site Maurras.net ( http://maurras.net/ ) rappelle que, sous la direction d’Olivier Dard, Michel Leymarie et Neil McWilliam, se tiendra à l’I.E.P. de Paris du 25 au 27 mars prochain le troisième colloque « L’Action française - Culture, société, politique » sous le titre
Le Maurrassisme et la Culture.
On trouvera sur le site un compte-rendu du premier de ces colloques, ainsi que la façon de se procurer les Actes du deuxième colloque (Charles Maurras et l’Étranger, l’Étranger et Charles Maurras), publiés chez Peter Lang.
"De tous les lieux que le soleil éclaire, il n'y en a point de pareil à Chantilly"( Madame de La Fayette ).
Maintenant que l'histoire du domaine de Chantilly nous est, dans ses grandes lignes, un petit peu plus familière; et avant de nous plonger dans la découverte d'une partie des inestimables trésors artistiques qu'il renferme (ce sera dans notre prochaine note...), faisons un peu plus ample connaissance avec la ville elle-même, son château et celui qui, ici, règne partout en maître, tant il est la passion d'une ville entière : le cheval.....
Mais, Capitale du cheval, Chantilly mérite aussi le détour pour le Parc naturel régional Oise -Pays de France, sa flore et sa faune exceptionelle :
Le sens de la crise : une crise du sens ?
Il y a peu, Chantal Delsol était à Marseille, pour y réfléchir avec Jean-François Mattéi et Jean-Baptiste Donnier sur Le mal contemporain : recherche des sources. C'était à l'invitation de la Fédération Royaliste Provençale.
Le 19 mars, elle sera à Paris, avec Michel Maffesoli, à l'invitation des Epées, cette fois (1).
Chantal Delsol est philosophe, membre de l'Académie des sciences morales et politiques, professeur à l'université de Marne-la-Vallée, où elle dirige l'Institut Hannah Arendt.
Michel Maffesoli est sociologue, membre de l'Institut universitaire de France, professeur à l'université Paris Descartes, directeur de la revue Sociétés.
(1) : Jeudi 19 mars, à 20 heures, Salle Pierre Nicole, 9 rue Pierre Nicole, 75005 Paris (entrée libre).
Dans le numéro 72 de Politique Magazine (mois de mars), Yvan blot propose la note de lecture suivante à propos de l'ouvrage de Daniel Lefeuvre et Michel Renard (1):
Parce que Chantilly est au coeur de l'histoire de France, avec la famille des Condé.
Et parce que Chantilly tient une place de tout premier plan dans la Famille de France : n'est-ce pas elle qui - à travers la générosité du duc d'Aumale - a offert à l'Institut, donc à la France, ce joyau du patrimoine mondial que le monde entier nous envie ?
Chantilly est comme une accumulation irréelle et véritablement stupéfiante de beautés : un château (plusieurs, en fait...); une forêt; un champ de course et, plus généralement, l'univers et la passion du cheval; des collections artistiques dont il est superfétatoire de dire qu'elles comptent parmi les plus belles du monde; et pour finir cinq cents ans de gloire puis de tragédie, s'achevant dans un mécénat et une générosité non moins éblouissantes.
Nous n'aurons pas trop de trois haltes dans notre balade pour avoir un faible aperçu de cette merveille inestimable que possède la France avec Chantilly.
Aujourd'hui, la gloire des Condé, puis leur fin tragique, avant que le duc d'Aumale n'offre ce joyau à sa patrie.
Un caporal du 27e bataillon de chasseurs alpins (27e BCA) a été tué samedi par un tir de roquette contre son blindé lors d'un accrochage avec des insurgés dans l'est de l'Afghanistan, a annoncé l'état-major des armées à Paris.
Pour être tout à fait francs, nous n'avons pas d'avis sur la nomination de François Pérol à la tête du groupe Caisse d'Epargne/Banque Populaire. Du moins, pas d'avis technique, sur les compétences ou l'absence de compétences dudit François Pérol, et si c'est lui qui est le plus à même de... ou si c'est un autre qu'il fallait nommer pour...
Par contre nous avons un avis sur le tumulte et le tollé provoqué par cette nomination, et sur celles et ceux qui l'orchestrent...
Dans le dernier numéro de Politique Magazine ( http://www.politiquemagazine.fr/ ) Hilaire de Crémiers se livre à une analyse longue et fouillée de l'action de Nicolas Sarkozy, en particulier, et de l'état de la république, en général (1).
Il s'y demande si, au final, Nicolas Sarkozy sera Hercule ou Sysiphe et débute, sagement, son article en faisant remarquer : "Tout ne dépend pas de la seule volonté des hommes. Il faut tenir compte de la nature des choses."
Nous nous sommes souvent demandé, ici-même, si nous n'étions pas en 1789; si le nombre et la puissance des mille Bastille que la République a générées, jointes au caractère idéologique de cette même République, ne rendaient pas impossible(s), comme en 1789, toute réforme(s); et si, donc, les mêmes causes produisant les mêmes effets, on ne finirait pas par assister, mutatis mutandis, à une explosion -demain- comparable à celle d'hier.
Sauf que, cette fois, ce serait la République qui, sauterait..... Extraits...
(1) : Numéro 72, mars 2009.