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Regards sur la crise, avec Chantal Delsol et Michel Maffesoli

         Le sens de la crise : une crise du sens ?

         Il y a peu, Chantal Delsol était à Marseille, pour y réfléchir avec Jean-François Mattéi et Jean-Baptiste Donnier sur Le mal contemporain : recherche des sources. C'était à l'invitation de la Fédération Royaliste Provençale.

          Le 19 mars, elle sera à Paris, avec Michel Maffesoli, à l'invitation des Epées, cette fois (1).

           Chantal Delsol est philosophe, membre de l'Académie des sciences morales et politiques, professeur à l'université de Marne-la-Vallée, où elle dirige l'Institut Hannah Arendt.

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            Michel Maffesoli est sociologue, membre de l'Institut universitaire de France, professeur à l'université Paris Descartes, directeur de la revue Sociétés.

 
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(1) : Jeudi 19 mars, à 20 heures, Salle Pierre Nicole, 9 rue Pierre Nicole, 75005 Paris (entrée libre).

            Y a-t-il un bilan ou une morale à tirer des évènements que nous traversons ? Notre société occidentale va-t-elle en sortir renforcée ou bien encore plus affaiblie ? Chantal Delsol et Michel Maffesoli apporteront leur regard ou leur jugement sur une crise qui ne se résume pas, loin s'en faut ! à une lutte pour le pouvoir d'achat. C'est ce qu'a expliqué avec beaucoup de talent Yvan Blot, à Marseille également, lorqu'il a prononcé une brillante conférence sur cette même crise (Crise économique ou crise de l'occident ?...)

           

            Un sujet radicalement différent sera traité, le 19 mars, par José-Alain Fralon : il sera invité par la Nar à parler de l'avenir de la Belgique. Longtemps correspondant du Monde à Bruxelles, J-A Fralon vient d'écrire un nouvel ouvrage La Belgique est morte, vive la Belgique ! Lui qui pense, et prévoit, que les flamands prendront leur indépendance, il y pose ces questions dont les dirigeants de l'Union Européenne ne semblent pas se soucier : l'avenir de la Wallonie, avec plusieurs options possibles; l'avenir de Bruxelles; l'avenir d'Albert II..... 

 

            Dans tous ces cas, il s'agit de contacts qui se nouent, ou qui se prolongent et s'approfondissent, entre les royalistes et des intellectuels venant d'horizons divers. Cette dynamique est un signe positif et porteur d'espoir(s). 

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