Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

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"Un roi qui perd son fils de sang a-t-il le droit de pleurer comme un être de chair ? Si je cède à l'éploration, on va me suspecter de me distraire du malheur du peuple. Et si j'ai les yeux trop secs, on va me réputer insensible au malheur de ma famille. Tant pis. Je m'abandonne à mon chagrin qui emporte mon royaume, mon État, ma charge, ma vie. Je pleure comme un petit enfant du Bon Dieu qui ne comprend pas l'amputation si soudaine, si cruelle. Je pleure comme un père qui va mettre en terre une part de ses affections, comme un roi qui voit sa lignée brisée même s'il sait que dans le mot "souffrance', il y a encore le mot "France'. "
Avec le style et le panache qui ont fait ses succès littéraires, Philippe de Villiers brosse un portrait unique, époustouflant, du Roi-Soleil, monarque qui n'eut d'autre ambition que de hisser la France au pinacle des nations.
Plon, 484 pages, 23 euros
A l’affiche : Bernadette, un film français de Léa Domenach, avec Denis Podalydès (Bernard Niquet, conseiller en communication de Mme Chirac), Catherine Deneuve, Michel Vuillermoz et Sara Giraudeau (Bernadette, Jacques et Claude Chirac).
Bernadette… Bernadette Chodron de Courcel, l’épouse de Jacques Chirac, une « première dame » qui entend se faire respecter par un mari – caricaturé comme un benêt - qu’elle aime, et qu’elle soutient, malgré ses infidélités et le quasi mépris qu’il manifeste à son égard.
Une comédie amusante qui me permet d’affirmer tout le mal que je pense de Jacques Chirac… un long-métrage qui nous fait revivre quelques événements marquants de ses septennat et quinquennat, quinquennat qu’il a fait adopter par opportunisme, par référendum, alors qu’auparavant il s’était opposé à cette réforme – « le quinquennat, sous une forme ou sous une autre, serait une erreur et donc je ne l’approuverai pas » (14 juillet 1999). Mais n’est-ce pas une caractéristique de la classe politique, démocratique et républicaine, que de faire le contraire de ses promesses électorales – « les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent ».
Non pas tout, mais beaucoup y passe : le « Super-menteur » des Guignols de l’info ; la dissolution de 1997 ; la mort de Lady Diana ; la présidentielle de 2002 (Chirac 19.7 %, Le Pen 16.9 %, Jospin 16.1 %) ; la corruption et les affaires ; et sa haine de Sarkozy qu’il accuse de l’avoir trahi, comme si la trahison n’était pas dans l’ADN de la 5ème République depuis sa fondation – « vive l’Algérie française » - et de Chirac en particulier (Chaban – Delmas, puis Giscard d’Estaing).
Evoquons pour conclure l’excellente prestation – comme toujours – de Sara Giraudeau qui interprète à merveille le rôle néfaste de Claude Chirac, conseiller en communication, l’éminence « rouge » - s’il en était besoin – du Président.
L'invitation de SOS CALVAIRES :
"Il y a 230 ans jour pour jour, mourait Charles de #Bonchamps, #général de l'#Armée #catholique et royale pendant les guerres de #Vendée. Rejoignez-nous le 21 octobre prochain à 14h pour l'#inauguration du #calvaire de Bonchamps, à #Juvardeil !"
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À Marnes aussi, dans le , il se passera quelque chose d'important, ce samedi 21, avec SOS Calvaires...
"Rejoignez-nous à Marnes (79) pour cette superbe restauration de croix ! RDV samedi 21 octobre à 10h30 !"
(extrait vidéo 0'23)
https://x.com/soscalvaires/status/1714933825829019737?s=20
Bonne "Une"...
Sauf que Retailleau serait plus crédible s'il n'avait pas hurlé avec les loups, s'il ne s'était pas couché devant eux en approuvant le retrait de Maurras de la liste des personnalités à commémorer en 2018...
Comment peut-il dénoncer "la haine de soi" s'il commence par rejeter celui qui, justement, à montré d'où venait ce cancer, ce sida de "la haine de soi", de la haine de la France et de ses héritages gréco-romain et judéo-chrétien : la secte des Encyclopédistes et leur fille, la Révolution, aujourd'hui bien installée au pouvoir et qui, telle la tunique de Nessus, tue à petit feu notre malheureux pays ?
Retailleau n'a pas du entendre, ou lire, ce raccourci saisissant de Gustave Thibon, grand ami et admirateur de Maurras (et réciproquement) sur "le chaos figé des conservateurs du désordre" (aujourd'hui), qui a succédé au "chaos explosif des révolutionnaires" (hier)...
Alors, plutôt que de hurler contre "la haine de soi", mais, dans le vide, Retailleau ferait mieux de lutter contre elle avec la seule arme dont disposent ceux qui ont compris que ce ne sont pas simplement, pas seulement, les hommes qu'il faut changer, mais le Système, parce qu'il est révolutionnaire : Maurras !
Art et Essai : Les Fantômes d’Istanbul, Un film turc de Azra Deniz Okyay.
Byzance, Constantinople… Il y avait matière à un film magnifique et passionnant sur les Fantômes d’Istanbul ! Le synopsis annonçait « un portrait saisissant de la Turquie contemporaine »… et effectivement le vrombissement incessant des hélicoptères sur nos têtes donnait à penser sur le régime Erdogan, de même que l’allure « occidentalisée » des jeunes filles nous laissait perplexe en regard des fantômes en abaya qui revendiquent devant nos écoles !
Le long-métrage commence par une coupure de courant qui plonge la ville dans l’obscurité, et le reste est sans intérêt… une succession d’images aussi obscures que le fil conducteur, qui n’a rien d’électrique… jusqu’à une fin en « apothéose » qui chante les « droits LGBTQ » !
« Sans intérêt » vous dis-je !
C'est aujourd'hui, jeudi 19 octobre, que sont célébrées les obsèques de Dominique Bernard en la cathédrale d'Arras, à 10h. Le chef de l'État assistera à la cérémonie, présidée et conduite par l'Évêque.
Parfaite allégorie du
CORPS ENSEIGNANT
victime du
CORAN SAIGNANT
(ndlr : soyons honnêtes : nous avons hésité à passer cet humour, qui fait penser plutôt à Charlie hebdo qu'à l'Action française; mais, tout bien pesé, nous nous sommes dits que c'était - hélas... - tellement vrai !...)
lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...
Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...
Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...
Aujourd'hui : Création des "Bandes de Picardie"...
(tiré de notre Éphéméride du 9 Octobre)
(retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :
À la découverte du "Fonds lafautearousseau")
Danielle Obono ? Une députée LFI qui doit être poursuivie pour apologie du terrorisme ! Et son immunité parlementaire doit être levée ! Car le Hamas est une organisation terroriste !
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
Voici l'annonce de cette réunion dans L'Ordre provençal, qui précise :
"Nos amis sont invités à faire la plus active propagande pour cette réunion qui s'annonce, d'ailleurs, comme un très grand succès. Les portes seront ouvertes à neuf heures et l'on commencera à dix heures, exactement. On peut se procurer des invitations au local de la section, 60 rue Grignan."
Et, en effet :
Comme on peut le voir sur cette "Une" de notre mensuel de l'époque, le local de la section de Marseille était au 60 rue Grignan; notre mensuel en était à sa neuvième année (sa première parution est indiquée, par Gallica, "en 1925") et se présentait comme l' "organe mensuel de la Fédération provençale des Sections d'Action française"...
La réunion et le Banquet eurent lieu à la Place Jean Jaurès, connue des Marseillais sous le nom de "La Plaine"...
Voici la "Une" de L'action française du lendemain, lundi 20 novembre, qui rapporte l'évènement en première page, avec un "lire la suite en 2ème page)
La France pour qui veut, quand il veut, comme il veut : on ne voit une telle aberration nulle part ailleurs que dans notre Système et notre République idéologique : il faut rendre à la France un Régime qui soit français !...
L'édito politique de Vincent Tremolet de Villers, sur Europe 1 :
(extrait vidéo 4'08)
https://x.com/vtremolet/status/1713808203773858019?s=20
A l’affiche : Entre les lignes, un film anglais de Eva Husson, avec Odessa Young (Jane Fairchild, la femme de chambre de la famille Niven), Colin Firth (M. Niven), Joseph O’Connor (Paul Sheringham, l’amant de Jane),
adapté du livre de Graham Swift, Le Dimanche des mères (2016).
Entre les lignes… je m’interroge sur ce qu’il faut lire Entre (ces) lignes quand Jane Fairchild, la romancière, nous dévoile – nous déshabille – ses amours de petite bonne avec le fils du châtelain voisin.
« Once upon a time… », mon épouse aime toujours beaucoup l’atmosphère « so british » de ces films qui nous immergent dans la société aristocratique anglaise du XIXéme siècle.
Personnellement, j’y suis moins sensible, et j’éprouve une difficulté réelle à m’insérer dans un scénario fait de flash-backs incessants et inutilement compliqué notamment avec un cheval de courses qui évoque – nous dit-on - les fils de ces familles morts à la guerre (de 14).
J’avoue en revanche avoir éprouvé une certaine émotion par le simple appareil du drame tandis que sans aucune fausse pudeur l’héroïne visitait la demeure vide de son amant et caressait les livres de sa bibliothèque.
Ajoutons à cela les photos magnifiques dont nous gratifie la réalisatrice, à l’extérieur comme à l’intérieur … la beauté mise à nu.