51ème jour de "Censure facebook" pour notre Page "Lafautearousseau Royaliste" !...

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Le bel exemple de Comblot, petit village de l'Orne, 64 habitants à peine...
En vingt-cinq ans, la commune a dépensé l’équivalent de dix fois son budget annuel pour sauvegarder son église et sa chapelle, dont la construction a commencé à la fin du XIIème siècle.
Une action qui vaut à ce village du Perche ornais, de concourir au prix Trévise 2023 de la fondation La sauvegarde de l’art français. Candidature que le public est invité à soutenir par un vote avant le 25 août.
A l’affiche : Sous le tapis, un film français, le premier long-métrage réalisé par l’actrice Camille Japy, avec Ariane Ascaride et Bernard Alane (Odile et Jean), Bérénice Béjo et Thomas Scimeca (leurs enfants Sylvie et Lucas).
« Arthur, où t’as mis le corps ? » (S. Regiani)
Sous le tapis… je ne vous cacherai pas que nous avons parcouru 60 km pour le chercher… et nous ne le regrettons pas.
Pourtant, Sous le tapis paraît un titre de comédie, et nous redoutions un navet, mais la marseillaise Ariane Ascaride (malgré son gauchisme militant), mais la très jolie Bérénice Béjo…
Nous avons assisté à un drame, merveilleusement interprété et réalisé (« pour un coup d’essai, ce fut un coup de maître »), avec une excellente bande son.
C’est le drame de la mort, de l’attitude de chacun devant la mort d’un proche, et particulièrement devant la « mort subite », à un moment où, précisément, elle fait souvent l’actualité. De quoi Jean est-il mort ? D’une piqûre de rose, d’un arrêt cardiaque, ou des deux, et pourquoi ?
Ce film fait preuve d’une certaine promotion de la famille et souligne l’amour profond qui lie le vieux couple, même si – Deo gratias ! - la bien-pensance « politiquement correcte » est bien présente avec famille recomposée ou liaisons éphémères, un « joint » que l’on se passe, et surtout, face à la mort, une laïcité « impeccable » sans aucune évocation de la vie après la mort ni, évidemment, une esquisse de prière.
C’est la religion… Sous le tapis !
Ce Système pourri, non seulement admet la fraude et la laisse prospérer, mais, en plus, punit deux fois les Français, qui sont ceux qui payent, au final :
• une première fois en les faisant financer, par leurs impôts, les fraudeurs...
• ... et une deuxième fois en leur donnant chaque fois moins de choses (de "retour sur investissement", dit-on chez les économistes !...) en échange de leurs impôts de plus en plus lourds (le Système a fait de nous le pays le plus taxé au monde...)
Un exemple fourni par CNews :
https://www.cnews.fr/sante/2023-08-10/sante-des-medicaments-bientot-moins-rembourses-1385489
On marche sur la tête, et ce Système est bien un système de folie et en folie !
La seule question à poser est : quand est-ce qu'on en change ?
Et la seule action politique à mener qui vaille est "une action réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime" (Léon Daudet)
Sarkozy, "Président de passage" du Système, a supprimé la "double peine pour les envahisseurs délinquants; le Système - qui dure et perdure, lui... - a instauré, en la matière, cette double peine pour les Français...
Encore Libé et son mauvais esprit, tordu...
• Déjà le titre : il fallait écrire "Décès de deux délinquants qui refusent d'obtempérer", et non "décès de deux jeunes"...
• Ensuite, ils sont morts car ils ont roulé comme des fous, mettant en danger la vie d'autrui (de nombreuses vies) et la leur propre : c'est cette folie qui est cause de leur mort, pas la police...
• Enfin, Libé a perdu une bonne occasion de se taire car, justement, étant donnée l'attitude de folie adoptée par ces deux inconscients dangereux pour eux-mêmes et pour les autres, la police avait arrêté de les poursuivre...
Certains ont célébré Jean Monnet, ces jours-ci.
• Rappelons ce qu'en disait de Gaulle :
"L’Europe intégrée, ça ne pouvait pas convenir à la France, ni aux Français… Sauf à quelques malades comme Jean Monnet, qui sont avant tout soucieux de servir les États-Unis...
• et proposons de nouveau au lecteur notre note :
lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...
Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...
Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...
Aujourd'hui : Sur de Gaulle et Maurras...
(tiré de notre Éphéméride du 17 juin)
(retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :
À la découverte du "Fonds lafautearousseau")
La partie pourrie de notre Magistrature continue inlassablement de faire son sale boulot : alors qu'elle place sans hésiter des policiers en détention (Nanterre, Marseille...), elle relâche sans vergogne des assassins "jusqu'à leur procès" !!!!!.
Car, oui, pour nous, une "personne" (?) qui traîne un policier (ou qui que ce soit) sur plusieurs centaines de mètres, est un assassin.
Qui va juger le(s) soi-disant Juge(s) ayant pris une décision aussi écoeurante ? : à Lyon, l’automobiliste qui a traîné un policier municipal lors d’un refus d’obtempérer vendredi dernier a été placé sous contrôle judiciaire jusqu’à son procès en décembre prochain !
A l’affiche : Sur la branche, un film français de Marie Garel-Weiss, avec Daphné Patakia (Mireille, dite Mimi), Benoît Poelvoorde et Agnès Jaoui ( avocats « associés »), Raphaël Quenard (Christophe).
J’entends le petit oiseau
Gazouiller là-haut, dans l’ombre,
Sur la branche au bord de l’eau.
Il me dit : « Reprends courage,
L’espérance est un trésor ».
Ce chant de L’Espérance illustre, selon moi, bien davantage le film de Marie Garel-Weiss que la Mimi du synopsis qui « rêve toujours à ce qu’elle pourrait faire quand elle sera grande »…
Le petit oiseau, c’est évidemment Mimi – Mimi Pinson ? – qui, de sa petite voix, répond à Christophe accusé d’avoir volé un livre, et lui promet justice et vérité.
J’aurais très bien vu Sara Giraudeau dans le rôle de Mimi, mais convenons que Daphné Patakia l’interprète à merveille.
Un long-métrage « déjanté » autour de quatre personnages eux-mêmes « déjantés » qui nous intriguent, nous émeuvent, nous font sourire et même rire.
La première "Une" du nouveau JDD, "façon Geoffroy Lejeune".
Elle a été très critiquée, à gauche, notamment à Libé, comme de bien entendu !
Nous, nous la trouvons très bien, et même, aggravant notre cas, on en redemande !!!!!