Grande soirée des Eveilleurs, ce vendredi 29 septembre...
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Il faut que ce soit un terroriste assassin, musulman fanatique et fier de l'être, qui vienne apprendre à "populo gobe tout" (la formule est de Maurras) ce que c'est qu'être Français; et que ce n'est pas parce que le Système-destructeur-de-la-France distribue à tour de bras et à n'importe qui des petits rectangles de plastique appelés "CNI" que les personnes qui reçoivent ce petit bout de plastique sont françaises...
Au procès de l'attentat de Magnanville, l'accusé, Mohamed Lamine Aberouz déclare :
"...pour moi un Français, c'est ethnique, administrativement je suis un franco-marocain, mais je me considère comme un musulman d'origine arabe...".
L'excellente réponse/commentaire de la toujours excellente Charlotte d'Ornellas :
(extrait vidéo 11'20)
https://x.com/F_Desouche/status/1706750537868177460?s=20
Jean-Frédéric Poisson répond calmement, sagement et justement aux lubies faciles et démagogiques, mais aussi suicidaires, du pape François :
(extrait vidéo 1'16)
"...La question n'est pas de savoir si on peut avoir le cœur sec devant la misère humaine, la question est de savoir si toutes les conditions d'accueil sont réunies pour pouvoir accueillir davantage de migrants en France aujourd'hui : la réponse est non..."
https://x.com/jfpoisson78/status/1706361643129598206?s=20
C'est "ça" qu'il veut, le Pape François ?
C'est "ça" qu'il appelle "l'accueil de l'autre" ?
Des malheureux entassés sous des bretelles d'autoroute, sans hygiène, sans travail, sans maison, sans argent, sans autre perspective que les divers trafics pour survivre, comme des bêtes ?
NOUS, ON N'EN VEUT PAS, DE "ÇA" !
Quand Philippe de Villiers "démolit" Jacques Attali !...
(retrouvez notre sélection de "Documents..." dans notre Catégorie "Documents pour servir à une histoire de l'URP"...)
Voici la statue, dans son état actuel, plus de quatre-vingts ans après son installation; elle est l'oeuvre de Louis Botinelly (1883 - 1962).
Il s'agit d'une statue en pierre, sur le parvis de l'église Saint Vincent de Paul ("Les Réformés), en haut de La Canebière, représentant Jeanne d'Arc vêtue en bergère, les mains au niveau de la taille. Le piédestal sur lequel repose la statue est décoré de quatre bas-relief représentant :
•Jeanne d'Arc et Charles VII,
• le sacre de Charles VII,
• la levée du siège d'Orléans,
• le martyre de Jeanne d'Arc.
C’est à partir de 1941, que Botinelly travailla à ce monument. Le commandant Louis Dromard, assisté du jeune Pierre Chauvet - qui devait lui succéder comme Président de l'URP - avait lancé une souscription pour l'érection de ce monument à la Sainte de la Patrie. Dromard était devenu président du Comité Jeanne d’Arc après le décès - en décembre 1941 - de Dominique Piazza, Pierre Chauvet devenant secrétaire général du Comité. C'est ce Comité qui, la souscription ayant rapidement atteint son but, offrit cette statue au Conseil municipal, l’archevêque de Marseille, Mgr Delay, acceptant évidemment de la bénir...
Comité Jeanne d'Arc, Clergé, Municipalité (qui participa pour 5.000 francs à l’érection du monument, estimé à 200.000 francs) : il y eut donc une belle unanimité à Marseille, en cette époque-là, pour honorer Jeanne !
Le dimanche 10 mai 1942, pour la première fois, donc, le Cortège traditionnel qui se dispersait, jusque là, au monument appelé "Les Mobiles" (1) se dispersa devant la toute nouvelle statue.
C'est en page deux du mardi suivant, 12 Mai, que L'Action française relate la Fête de Jeanne d'Arc à Marseille, particulière, pour la raison que l'on vient de dire, cette année-là :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k768365z/f2.item
(1) Devenu, au fil du temps, lieu de commémoration habituel à Marseille pour les évènements de la première et de la deuxième Guerre mondiale, le Monument des mobiles, construit par le sculpteur Constant Roux, a été érigé en mémoire du sacrifice de plus de mille "enfants des Bouches du Rhône" qui furent enrôlés dans la guerre franco-prussienne de 1870-1871, dont un bon nombre étaient des Gardes mobiles, ne relevant pas du service militaire. Il est situé lui aussi en haut de La Canebière, à une petite centaine de mètres, à peine, de l'église des Réformés et de sa statue de Jeanne d'Arc; mais il se trouve de l'autre côté de la rue...
Le Père Viot, du Diocèse de Paris ?
Un prêtre, comme le Pape (qui n'est Pape que parce qu'il est prêtre, comme le rappelait Jean-Paul II, à Paris même, dans Notre-Dame)...
Mais un prêtre qui a les pieds sur terre, beaucoup plus que le Pape !
"Qui veut faire l'ange fait la bête", disait Pascal, avec raison. Les propos et la politique insensée du Pape sur les envahisseurs, qu'il appelle "migrants" comme toutes les ONG islamo-gauchistes (à quoi il réduit ou veut réduire l'Eglise catholique) ne sont heureusement pas partagés par tout le monde : ici, le père Viot, par exemple, tient des propos beaucoup plus raisonnables, et "raccord" avec la réalité (comme en dit aujourd'hui dans le jargon) :
"...Il faut empêcher les gens de monter sur les bateaux de la mort... c'est à la racine qu'il faut prendre le problème, nous ne pouvons pas accueillir tout le monde sinon, nous aurons une guerre civile..."
Juste une nuance, mais de taille : ce ne sera pas une "guerre civile" mais une "guerre de libération nationale", ce qui est tout à fait différent...
(extrait vidéo 1'05)
https://x.com/dobsky33/status/1705603506655089075?s=20
A l’affiche : Retribution, un film allemand, de Nimrôd Antal, avec Liam Neeson
Remake d’ Appel inconnu, de Dani de La Torre (2016).
Nous n’avons pas vu le thriller espagnol original, mais cette « réplique » mérite d’être vue, en tout cas par les amateurs de film d’action et de cascades en voiture, en l’occurrence dans les rues de Berlin. Il y a bien évidemment quelques invraisemblances, mais c’est du cinéma…
Inutile d’en écrire davantage quand on n’a rien à dire (et à écrire), et qu’on ne reçoit aucune rétribution pour le faire, sauf peut-être, précisément, que je ne suis pas convaincu par le titre de ce long-métrage.
Peut-être, aussi, faut-il recommander aux spectateurs de regarder au-dessous de leur siège avant de s’asseoir dans la salle !
(Dans Boulevard Voltaire)
Il faut se rappeler la teneur des deux débats de second tour entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen. L’actuel président de la République se campait lui-même en expert responsable et féru d’économie face à l’incompétence et la démagogie faites femme. La chanson gobée par les élites autoproclamées risque d'être plus difficile à interpréter lors des campagnes européenne et présidentielle.
Dans un éditorial sans concession sur RTL, le journaliste François Lenglet parle de « racket », de « brigandage », de « rançonnage » et s'inquiète : « Le président dépense sans compter », dit-il...
Double mauvaise action/mauvaise politique du Pape François avec ses propos à Marseille (et l'ensemble de sa "politique" (!) vis-à-vis des envahisseurs) :
1. Il dit : "Nous ne pouvons plus assister aux tragédies des naufrages provoqués par le fanatisme de l’indifférence" mais jamais il n'a mentionné depuis les débuts de son pontificat le fanatisme, l'expansionnisme et la férocité de l'Islam, qui s'empare de terres chrétiennes qu'il grignote (Haut Karabakh aujourd'hui, Kosovo hier...) et/ou qui persécute les chrétiens et les chasse de leurs terres (un million et demi de chrétiens en Irak avant la sale guerre des USA, même plus 200.000 aujourd'hui : il est vrai que, là, pour une fois, ce n'est pas directement ce Pape qui est fautif; persécutions constantes au Pakistan et dans maints pays musulmans, même en Égypte, malgré le très bon Maréchal Sissi, à la tête de l'État...)... Et pas un mot pour les victimes du terrorisme islamiste : ce Pape a "ses" stèles" (celles des envahisseurs) mais il ne se recueille pas devant celles des victimes de l'islamisme (Laura et Maurane, à la Gare Saint Charles, pourtant toute proche...)
2. En réalité, et de fait, la continuité de l'action pro-envahisseurs du Pape revient à légitimer le pillage de l'Afrique par les néo-colonialistes d'aujourd'hui : au moins ceux d'hier annonçaient la couleur, et Pizarre disait carrément aux Incas qu'il était venu prendre leur or. Là on pille le continent africain de sa richesse en hommes, afin de se constituer une armée sans nombre de quasi esclaves, exploitables à l'envi, à qui l'on ne donnera que des sous-salaires de misère; mais on ajoute à ce crime l'hypocrisie/tartuferie consistant à dire que l'on agit au nom de principes en eux-mêmes justes et bons, mais dévoyés. Nous le rappelions hier : optima corruptio pessima...
On pourrait dire de ce voyage papal éclair :
Pendant la visite papale, le pillage de l'Afrique par le néo-colonialisme continue !...
Et ce Pape le cautionne et le bénit...
PS : pour corriger un oubli du Pape, qui s'est incliné devant la plaque des envahisseurs, rappelons que Brahim Aouissaoui (ci desssous) venait de Lampedusa; arrivé à Nice, il n'a rien trouvé de mieux à faire que de massacrer trois fidèles catholiques dans une église de la ville (ci dessous, après la photo de leur assassin...
Il y a 500 ans que cela ne s'était pas produit : un Pape est à Marseille !
Le dernier Pape à s'être rendu dans la cité phocéenne (1) fut Clément VII, et il vint pour célébrer, dans la cathédrale romane de La Major, en présence du roi François premier, le mariage du futur Henri II - fils du roi - avec sa nièce, Catherine de Médicis (voir notre Éphémeride du 28 octobre)...
De nouveau, donc, cinq siècles après, un Pape - François - est à Marseille, aujourd'hui et demain...
Mais il vient "à Marseille, pas en France..." a-t-il précisé et fait préciser...
Et pas pour parler du message évangélique, mais... des envahisseurs, qu'il appelle "migrants", comme toute la caste politico-médiatique...
Nous pensons qu'on peut appliquer à ce Pape le propos de Bainville et de l'Action française, au sujet du calamiteux Traité de Versailles de 1919 : "Trop fort dans ce qu'il a de faible; trop faible dans ce qu'il a de fort...". Appliqué au Pape François, cela pourrait donner : "Trop faible dans ce qu'il a de bon (Laudato, si' !...), trop fort dans ce qu'il de mauvais (son acharnement contre la liturgie traditionnelle et ceux qui y sont attachés : il se montre, là, "pape de guerre civile", en détruisant l'oeuvre de paix et de cicatrisation de son prédécesseur Benoît XVI; et sa réduction de l'église à une banale et désolante ONG pro-envahisseur...)
Et nous nous permettons deux réflexions :
1. François n'aime pas la France, ni l'Europe. Saint Jean-Paul II est venu huit fois chez nous, et Benoît XVI à peine moins. François n'est pas venu une seule fois et, à priori, il ne viendra pas. Il préfère "aller aux marges" dit-il, et il a raison : il faut "aller aux marges", aller chercher les gens là où ils sont et, contrairement à une idée répandue, le christianisme progresse dans plusieurs parties du monde, notamment, et justement, "aux marges". Qu'il y aille donc, il a raison et c'est son rôle ! Voir un Pape en Mongolie, c'était "parlant", émouvant, beau...). Mais, est-ce une raison pour ne pas aller, aussi, ailleurs ? Pour "jeter" la France et l'Europe, au motif qu'elles seraient déchristianisées ? C'est absurde, et Saint Jean Paul II et Benoît XVI, au contraire, ont eu raison de sillonner l'une et l'autre pour - au moins - tenter d'y rallumer le feu qui couve encore, sous les cendres du grand incendie laissé par la diffusion des fausses lumières de la secte des Encyclopédistes, prêchées depuis les années 1750 (pour faire court...).
Et, de toutes les façons, dans cette Europe et cette France où tout s'effondre, l'Église est la seule Institution où l'on voit poindre des signes d'un renouveau toujours possible : les 17.000 jeunes pèlerins de Chartres le montrent (encore a-t-il fallu limiter leur nombre, pour des raisons pratiques d'intendance, sinon ils auraient dépassé les 20.000, peut-être les 25.000...) comme les 50.000 jeunes partis à Lisbonne pour les JMJ : quelle "force" (politique, religieuse ou autre) peut annoncer de tels chiffres, une telle adhésion ?
Abandonner l'Europe et la France, et les déclarer "stériles" ? À jamais ? : première erreur, selon nous...
2. La deuxième erreur est tout aussi grave, voire plus : François transforme l'Église en une ONG, terrain sur lequel il est battu d'avance par les professionnels : les Mafias de passeurs, les organisations islamo-gauchistes, les patrons véreux désireux de se payer une main d'oeuvre de quasi-esclaves...
Et il nous ressert et ressort le mielleux discours "gnan-gnan" sur "l'accueil de l'autre" et autres niaiseries mortifères et suicidaires, à laquelle répond depuis deux millénaires le vieil adage : Optima corruptio pessima...
Mais, pendant qu'il pousse follement dans le sens du mouvement de dilution/submersion de la culture européenne en général, et française en particulier, il ne dit quasiment rie - ou si peu ! - sur les Arméniens qui se préparent à vivre un deuxième génocide, un siècle après, ni sur la formidable reprise de l'expansionnisme agressif et barbare de l'Islam "sûr de lui et dominateur", comme aurait dit de Gaulle...
Alors : François ?
Nous sommes tout à fait d'accord pour reconnaître le peu de "bon" qu'il y a chez lui, mais nous serons toujours là pour dénoncer le "beaucoup/beaucoup trop de mauvais", et nous désoler de voir ce Pape - qui ne cesse de prêcher "l'accueil de l'autre" et le "non-rejet" - se hâter de se contredire lui-même par ses actes, en rejetant et en excluant, notamment tout ce qui se rapproche, peu ou prou, de la Tradition...
(1) il faut faire une sorte d'exception pour Jean-Paul II : alors qu'il n'était encore que simple prêtre, Karol Wojtila est passé par Marseille, où il célébra une Messe à Notre-Dame-de-la-Garde (voir notre Ephéméride du 7 juillet)...
Arts & Ciné : Le Gang des Bois du Temple, Un film français de Rabah Ameur-Zaïmeche, avec Régis Laroche (Pons, ancien tireur d’élite) et Philippe Petit (Bébé, le chef du gang).
Le Gang des Bois du Temple … le titre et le générique ne m’inspiraient pas et la bande-annonce annonçait un film d’action… mais la critique était favorable qui évoquait un fait divers de 2014 en Seine St Denis.
En fait le réalisateur a transposé l’événement à Marseille que l’on reconnaît assez rapidement, tandis que le quartier des Bois du Temple à Clichy-sous-Bois aurait été filmé à Bordeaux !
Tout ça pour dire qu’il n’y a rien à dire, ni à écrire, sur ce long-métrage (1h54) voulant apparemment traiter de l’amitié entre un truand et un militaire à la retraite.
Le cinéaste bâcle le scénario pour se complaire dans les gros plans en accumulant les raccourcis et les invraisemblances.
A nouveau sans intérêt.
lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...
Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...
Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...
Aujourd'hui : Comme presque toute la France, Lyon en révolte contre la Convention...
(tiré de notre Éphéméride du 8 Août)
(retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :
À la découverte du "Fonds lafautearousseau")
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Nouveau fiasco pour le semble-gouvernement et pour Macron : les grands distributeurs de carburant refusent de vendre à perte !
La vraie solution est de baisser la démentielle TIPP (52 centimes de taxes pour un euro à la pompe !), ce qui ne peut se faire - puisque la perte de recette fiscale pour le gouvernement sera colossale - qu'en commençant par le commencement :
FAIRE DES ÉCONOMIES !
ET RÉDUIRE LE TRAIN DE VIE DE L'ÉTAT !
EN RÉDUISANT LA DÉMENTIELLE SUR-ADMINISTRATION,
EN ARRÊTANT L'IMMIGRATION,
EN REFONDANT L'ÉCOLE ET EN CESSANT D'Y METTRE TANT DE JEUNES QUI NE SOUHAITENT PAS Y ÊTRE...
(début de liste évidemment non limitative...)
https://www.lefigaro.fr/societes/carburant-les-enseignes-refusent-de-vendre-a-perte-20230919