43ème jour de "Censure facebook" pour notre Page "Lafautearousseau Royaliste" !...

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Paris, le 2 août 2023
Soutien inconditionnel aux bouquinistes parisiens
Pour organiser les J.O. en toute sécurité, faudrait-il raser Paris ?
Les bouquinistes parisiens, plus grande librairie du monde à ciel ouvert, présents depuis 450 ans sur les quais de Seine, refusent d’être déplacés par les autorités pour assurer la sécurité de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques.
Pour la première fois de l’histoire olympique, la cérémonie d’ouverture se déroulera à l’extérieur d’un stade, sur la Seine, au cœur de la capitale, le 26 juillet 2024. Dans un courrier adressé aux bouquinistes le 25 juillet 2023, la préfecture de police de Paris estime « indispensable »pour sécuriser l’événement que les boîtes dans lesquelles ils commercialisent des livres d’occasion et qui sont situées dans le périmètre de la cérémonie soient « enlevées ».
L’Association culturelle des bouquinistes de Paris, qui regroupe plus de 80% de l’ensemble de ces professionnels, assure qu’ils n’ont « nullement l’intention de bouger ». « Lors d’une réunion organisée le 10 juillet à la mairie, l’adjoint à la Seine nous a clairement expliqué que nous allions gêner la vue le jour de la cérémonie », fustige le président de cette association, Jérôme Callais. « On est un symbole majeur de Paris, ça fait 450 ans qu’on est là. Vouloir nous gommer du paysage alors que la célébration de ces Jeux doit être la célébration de Paris, ça paraît un peu fou ».
On pourrait aussi retirer la Tour Eiffel et le Trocadéro pour mieux voir la Seine ajouterons nous, pour rester dans la cohérence des petits hommes gris de la préfecture et de la ville de Paris. Paris regorge en effet de bizarreries gênantes et inutiles, comme le Pont Neuf par exemple, on ne devrait pas s’embarrasser de ces fadaises pour les Jeux olympiques 2024.
Si l’on enlève les bouquinistes, c’est une partie de l’âme de Paris que l’on va soustraire aux regards des touristes, comme si on en avait honte. On savait que nos instances officielles cachent derrière leur arrogance une misère culturelle affligeante, mais on n’osait envisager qu’ils passent aussi vulgairement à l’acte.
L’Action française soutient sans réserve la résistance des bouquinistes et se joindra à eux le cas échéant, dans leur juste combat.
En guise d'excellente réponse aux propos insensés et déments d'un Macron totalement "hors-sol" et "ailleurs", prônant follement et pêle-mêle "une meilleure intégration", "un meilleur peuplement assumé dans nos quartiers", une concorde nationale pour faire avancer le pays" alors que les violences urbaines et les razzias prennent une ampleur stratosphérique partout en France... :
À Marseille, le policier restera en prison, au moins jusqu'à fin août ! Comme elle sait être inflexiblement dure, notre (in)Justice, quand il s'agit de policiers et là où une assignation à résidence suffisait; elle qui se montre si scandaleusement douce envers les délinquants/razzieurs/casseurs...!
Encore un mauvais signal envoyé par la partie de la magistrature gangrenée par l'idéologie et la politique (d'extrême-gauche, évidemment !) : même Mitterrand s'en était rendu compte, qui disait "Méfiez-vous des Juges : ils ont détruit la Monarchie, ils détruiront la République..."
Nul n'est au-dessus des lois, nous bassine-t-on en ce moment. Donc, les Juges non plus ? Qui les jugera ?
Voilà l'une des réformes majeures de la révolution à mener : établir la responsabilité des Juges, qui devront rendre compte de leurs actes et décisions (comme celui qui à laissé en liberté le violeur afghan dans le Cotentin parce qu'il "n'avait pas les codes" !
N'est-ce pas un certain Éric Dupond-Moretti qui disait, à peine nommé ministre de la Justice : "...il faut aussi mettre en place un système de responsabilité des juges, qui passent à travers les mailles du filet, quoi qu'il se passe..."
Au boulot, Éric !
Pas mieux !
En 58 secondes, notre ami Bernard Lugan dit ce qu'il faut penser (et, surtout faire) en ce qui concerne nos "relations" (?) avec l'Afrique, qui - de toutes les façons - pèse si peu dans notre économie et notre commerce, et... pour quoi, au juste ?
https://twitter.com/BonneDroite/status/1686430248341032987?s=20
Et, pour ceux qui en "veulent" davantage :
(47'48)
lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...
Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...
Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...
Aujourd'hui : Diverses figures, du Front populaire à Marc Bloch...
(tiré de notre Éphéméride du 15 juin)
(retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :
À la découverte du "Fonds lafautearousseau")
1. Le Président du Mali s'adresse à Emmanuel Macron sur le Niger :
"Rappelons au petit Emmanuel Macron qu’il comprenne enfin que le Niger n’est pas la France et que l’Afrique n’est pas l’Europe. Dégagez du Niger et du Sahel car vous êtes le problème"
2. Nous nous adressons au président du Mali :
"100.000 Maliens vivent en France : vous les leur envoyez quand, leur billet de retour pour le Mali ? Dégagez de la France et de l'Europe, qui ne sont pas le Mali..."
A l’affiche : Barbie, un film américain de Greta Gerwing, avec Margot Robbie dans le rôle-titre et Ryan Gosling (Ken).
« Je suis une poupée de cire, une poupée de son (…)
Sous le soleil de mes cheveux blonds (…)
Je vois la vie en rose bonbon ».
Les « poupées Barbie », les vraies, en chair et en os, ne sont pas mon type féminin, tandis que celles « de cire et de son » (et de plastique) n’ont jamais fait partie de mon univers de Dinky toys ou de Norev.
Je ne serais donc pas allé voir ce long-métrage (1h55) sans l’apostrophe d’une de mes nièces attendant « avec impatience » ce que j’allais en dire. Il est vrai qu’Oppenheimer et Barbie font la une de l’actualité cinématographique, et que je ne pouvais peut-être pas me défiler… j’ai donc relevé le gant malgré les précédents Lady Bird et autres filles du Docteur March de la même réalisatrice, que j’aurais déjà pu ne pas voir.
Je le regrette, très chère nièce, et mon commentaire vous décevra sans doute. Deux heures d’ennui à bailler devant un film qui se veut engagé avec, par-ci, par-là, pour qui ne s’endort pas, des propos « féministes », que j’ai vaguement entendus, contre le « patriarcat », absolument sans intérêt.
Ce « Barbie land » de Mattel, Barbie (Barbara Millicent Roberts) et Ken, m’est absolument inconnu, et le restera.
De rose, d’ailleurs, je n’aime que celui du Rosé.
"À bas la Françafrique !" crie-t-on au Niger ?
À BAS L'AFRIQUE EN FRANCE !
RÉPOND L'ÉCHO...