Le Carrefour des acteurs sociaux communique...

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L'horreur absolue en baie de Saint Brieuc...
Nous, nous sommes au contraire résolument d'accord avec Vent debout :
"N'avez vous pas HONTE de saccager l'horizon de cette baie si unique ? Comment pouvez-vous défendre l'intérêt de grands groupes industriels étrangers qui détruisent nos côtes ? HONTE à vous !"
Berlinale 2023, Ours d’Or du Meilleur film : Sur l’Adamant, un long-métrage français de Nicolas Philibert, et je m’interroge sur les critères du festival Berlinois qui attribue ses distinctions.
Sur l’Adamant… je n ‘y suis pas allé par hasard… Après Je verrai toujours vos visages et Temps mort, on m’avait parlé d’un « sujet dur encore sur la prison »…
Néanmoins, la lecture du synopsis mentionnait un centre d’accueil pour les « adultes souffrant de troubles psychiatriques », et la bande annonce n’annonçait rien de tentant… j’ai donc longuement hésité, et durant la projection, en pensant au Principal, j’ai regretté de ne pas avoir joué ma décision aux dés ! Peut-être aurais-je eu la chance de tomber sur un impair… « je n’y vais pas » !
Je n’ai, en effet, ni l’empathie, ni la bienveillance, ni la charité, de passer près de deux heures dans des « ateliers » au milieu de personnes « en situation de handicap » psychiques, comme on dit maintenant comme si le substantif « handicapés » était « discriminatoire »… J’ai failli sortir de la salle au bout d’un quart d’heure, furieux de perdre mon temps, et persuadé que les plus fous étaient le réalisateur, les producteurs et distributeurs qui voulaient attirer un public avec un tel « documentaire »… C’est le revers de la médaille du cinéma subventionné.
Il paraît en outre que c’est le premier volet d’un triptyque… Il faudra s’en souvenir pour éviter les suivants.
Avouons, néanmoins, que malgré mon ennui je suis sorti de la salle moins coléreux qu’au début. Je n’avais, c’est vrai, jamais entendu parler de cet Adamant, un bâtiment flottant sur la Seine, en plein cœur de Paris, affecté au traitement de malades mentaux… Sans doute cette thérapeutique est-elle préférable, quand elle est possible, à la « prison » - mon interlocutrice n’avait pas tort - des hôpitaux psychiatriques.
L'édito politique de Vincent Trémolet de Villers, reçu sur Europe 1 par Dimitri Pavlenko :
(extrait vidéo 3'14)
https://twitter.com/vtremolet/status/1671407199787032576?s=20
lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...
Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...
Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...
Aujourd'hui : Sur le Félibrige...
(tiré de notre Éphéméride du 21 juin)
(retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :
À la découverte du "Fonds lafautearousseau")
En ce pénible moment pour lui, mais aussi pour nos idées et nos combats, lafautearousseau assure Geoffroy Lejeune de son soutien, de son estime et de ses remerciements pour l'action qu'il a menée si longtemps et si bien au sein de Valeurs actuelles...
Bravo, "Monsieur" Geoffroy Lejeune !
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
Voici la Une du Mercredi premier Février 1933 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7651377
Maurras , Bainville et Daudet sont là, comme d'habitude, à leurs places habituelles, et aussi J. Delebecque, avec un article sur les élections en Allemagne, qui se prolonge en page deux et se termine par cette lucide et accablante question :
"...Couloir polonais, remilitarisation de la zone rhénane, Hongrie, Yougoslavie ? La matière inflammable est accumulée de tous les côtés. Où plaira-t-il aux incendiaires de jeter l'allumette ?".
En 1918, après notre belle victoire trop chèrement payée, Clemenceau - le "Perd la Victoire" comme l'appela alors Maurras - ne voulut pas démembrer l'Allemagne, comme il avait démembré l'Autriche-Hongrie; Bainville avait aussitôt prévenu : c'est "la guerre pour dans vingt ans", avec une Allemagne revancharde qui créera un parti "socialiste-national" (il ne se trompait que sur l'ordre des mots !)... et, maintenant que le Pays légal, poussé par les traîtres pacifistes et les anglo-saxons, a gâché la paix, voilà qu'Hitler est élu !
Eh, oui ! L'élection, cela peut donner... des Frères musulmans (terroristes islamistes) ou... un Hitler ! Pardon pour la digression : on n'a pas pu s'en empêcher !
Dès la conclusion du calamiteux Traité de Versailles, L'Action française, mais aussi l'Armée et, même non royalistes, tous les patriotes sincères et lucides avaient demandé le démembrement de l'Allemagne... (Voir Grandes "Une" de L'Action française : 29 juin 1919, signature du calamiteux Traité de Versailles...)
Puis Bainville, dans son Journal, avait dénoncé Hitler, le premier de tous, le premier au monde, dès 1930 !...
Dans notre Catégorie Lire Jacques Bainville, lire ses deux notes :
Maintenant, donc, après toutes ces folies et ces occasions perdues, la nouvelle guerre, après la victoire de 18, est pour demain : et c'est Léon Daudet qui se taille la part belle dans cette "Une", avec son article intitulé : "Hitler et l'oeuvre de Briand".
Mais on va voir qu'il y aussi d'autres choses intéressantes dans ce numéro du premier février, en plus des "articles phares" "Daudet/Maurras/Bainville" :
• la revue de presse, signée Pierre Tuc, en page trois...
• et, en page trois et quatre, dans la rubrique "L'activité de nos sections", la relation de la Fête des Rois dans les onze "zones" militantes du mouvement : l'occasion de voir un peu comment nous étions organisés à ce moment-là; et aussi, de lire une "séquence émotion", de "nostalgie/nostalgérie" avec la onzième et dernière de ces zones, les sections d'Algérie : Sidi bel Abbès, Mascara, Mostaganem, Blida et Tlemcen...
A l’affiche : L’Île rouge, un film français de Robin Campillo, avec Quim Gutiérrez, Nadia Treszkiewicz et Charles Vausselle (Robert, ou Roberto, Colette et leur fils Thomas Lopez).
L’Île rouge… Le titre est accrocheur, alors que le film m’a déçu.
L’Île… Avec à l’ouest le canal du Mozambique qui la sépare du continent africain, et à l’est l’océan Indien, les 587 000 km2 de Madagascar constituent un territoire légèrement plus étendu que la France métropolitaine (544 000 km2).
Rouge… c’est le « surnom » de l’île en raison de la couleur de la terre.
Le synopsis qui évoque « les dernières illusions du colonialisme », m’avait pourtant laissé imaginer une ambiguïté volontaire pour aborder l’action des communistes en faveur de l’indépendance, le 26 juin 1960, jusqu’au renvoi définitif de l’armée française 12 ans plus tard..
Bref, j’espérais un film – certes, engagé – mais néanmoins intéressant sur presque un siècle d’Histoire française à Madagascar, des années 1880 aux années 1970.
Il s’agit en fait du regard du réalisateur, fils d’un sous-officier de l’armée de l’air, sur les deux années qu’il a vécues, enfant, à Madagascar, avant que la France n’en soit chassée… cela m’a paru lent et peu intéressant, et je partage l’avis du critique qui écrit qu’ « on ne saisit pas toujours les tenants et les aboutissants ».
Rassurez-vous la case antifrançaise est quand même bien cochée. Le long-métrage se conclut par une charge particulièrement violente contre l’armée, et un fort relent anticolonialiste, qui nous cache l’état actuel de Madagascar indépendant : ce pays bat aujourd’hui tous les records de pauvreté avec notamment des infrastructures en ruine et la survivance du pousse-pousse et de son homme-cheval (qui, lui, a du mal à survivre).
J’avoue néanmoins que cette chronique autobiographique de Robin Campillo a plu à mon épouse qui a apprécié une réalisation originale et, surtout, qui y a retrouvé la Fantômette de la Bibliothèque rose, mais moi, à la même époque, je m’intéressais davantage aux fantômettes du lycée d’à côté.
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Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...
Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...
Aujourd'hui : Sur Balzac...
(tiré de notre Éphéméride du 20 mai)
(retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :
À la découverte du "Fonds lafautearousseau")
La Chronique de Mathieu Bock-Côté, dans Le Figaro (extrait) :
"Tandis qu’elle fait usage de l’idéologie universaliste pour détruire ce qu’il reste de l’école libre, la République tolère la progression de la civilisation islamique en France.
Cela fait quelques mois, déjà, que l’abaya est devenue le symbole de l’offensive islamiste à l’école et, plus encore, de la sécession culturelle d’une partie de la jeune génération issue de l’immigration, qui entend marquer visiblement une forme de différence conquérante. Certains veulent voir dans sa présence une «atteinte à la laïcité». Cela nous rappelle à quel point le discours public français n’envisage le commun que sous le signe de la laïcité, comme s’il s’agissait de la seule identité collective autorisée.
Mieux vaudrait, si ce vocabulaire était autorisé, parler d’une atteinte à l’identité française, d’une agression symbolique explicite contre le peuple français ou, plus exactement, de l’effet inévitable d’un changement démographique qui ne peut s’accompagner que d’un changement culturel. Un pays ne change pas de peuple sans changer d’identité. La laïcité ne survivra jamais à la mutation démographique française..."
A l’affiche : L’Improbable voyage de Harold Fry, un film anglais (vostf) de Hettie MacDonald, avec Jim Broadbent et Penelope Wilton (Harold et Maureen Fry),
adapté du premier roman de Rachel Joyce : La Lettre qui allait changer le destin de Harold Fry (2013).
Je suis toujours très étonné par le manque d’imagination des auteurs et des réalisateurs et leur incapacité à attribuer un titre simple – éventuellement énigmatique – à leurs œuvres. Le roman ne pourrait-il pas s’intituler tout simplement La Lettre ?
Rachel Joyce vient de publier un nouveau livre : L’Inoubliable voyage de miss Benson…
A la lecture de ces deux titres on s’interrogera sur la volonté du réalisateur avec son Improbable voyage de Harold Fry.
Il n’empêche que la bande-annonce était tentante, et c’est ensuite le qualificatif « ennuyeux » du sempiternel critique de La Provence qui a achevé de m’y faire courir marcher… d’autant plus que nous avions bénéficié de l’excellent entraînement des Sentiers noirs de Sylvain Tesson mis en marche par le réalisateur Denis Imbert.
« Je vais marcher et tu vivras »… l’enthousiasme, la « foi » (même si elle n’est pas religieuse) que révèle cette « promesse » constitue le sujet et l’intérêt du film.
800 km à pied, « ça use, ça use », et davantage que « les souliers »… Harold ne chante pas mais il subit – peut-être d’autant plus - ces handicaps physiques et psychologiques, dont la publicité et la popularité ne furent pas les moindres.
On pense aux marcheurs de Compostelle, et d’ailleurs, dont la solitude les protège de ce que l’Evangile appelle « les sollicitudes de ce siècle et l’illusion des richesses ».
« La route est longue, longue, longue.
Chante si tu es fatigué.
(…)
Si la route est souvent austère,
Garde toi jamais d’oublier
Qu’elle te mène à la lumière,
A la joie, à la vérité ».
À Nice, des groupes d’élèves de plusieurs écoles ont organisé des prières musulmanes sur leur temps de pause méridienne. Une "minute de silence à la mémoire du prophète Mohammed" a, par exemple, été respectée par des enfants scolarisés en CM1 et CM2...
Ces prières à l’heure du déjeuner concernent dix élèves de CM1, le 16 mai, et trois enfants du même niveau dans une autre école, le 5 juin, a précisé le Rectorat de Nice au Figaro. Dans un troisième établissement, un élève de CM2 a pris l’initiative, le 8 juin, d’organiser la minute de silence à la mémoire de Mohammed, en appelant ses camarades à y participer.
En tout, une quinzaine d’élèves sont concernés, dans cinq établissements de primaire (Saint-Sylvestre, Fuon Cauda et Bois de Boulogne) et de secondaire (collège Pablo-Picasso, à Vallauris, et lycée d’Estienne-d’Orves, à Nice)...
Mais, soyons clairs : ce qui nous étonne, c'est...
que l'on s'étonne !
Des mots indignés ont été prononcés ici ou là, mais, pourquoi s'indigner ? : si l'on plante un arbre, s'indignera-t-on de le voir, à son heure, donner des fruits ?
Bossuet disait : "Dieu se rit des hommes qui maudissent les conséquences dont ils chérissent les causes...".
Le Système a imposé à la France, depuis cinq décennies, une greffe jamais vue de population étrangère, provenant très majoritairement d'Afrique du Nord et sub-saharienne; et dans laquelle on compte de très, très nombreux musulmans.
Quinze millions d'entrées - à la louche - en un peu plus de quarante ans : du jamais vu !
Certes, tous ces nouveaux venus ne sont pas musulmans, et même, chez les Noirs, compte-t-on de nombreux chrétiens.
Il n'empêche : dans ce trop grand nombre d'entrées en trop peu de temps, on compte forcément - on pourrait dire : statistiquement - une part forcément importante de musulmans. Et, dans le contexte d'incandescence qui est celui des mondes islamiques aujourd'hui, on aurait bien du se douter, en haut lieu, qu'un jour, forcément, il se poserait un certain nombre de problèmes, liés aux traditions et façons d'être et de faire, aux moeurs et coutumes (alimentaires, vestimentaires, religieuses et autres) de ces populations; et se dire que, peut-être, que, probablement, la greffe pourrait ne pas prendre...
Alors, maintenant que la masse est telle que partout fleurissent les abayas, les voiles et - dans le sujet qui nous occupe ici - des prières en plein air (peu importe que ce soit dans les rues ou dans les établissements scolaires) on ferait mine de s'étonner, de s'indigner, d'écrire au Préfet, voire, comme ce pauvre Estrosi, au Premier ministre, dame Borne, pour lui dire, l'air scandalisé, que, c'est bien connu, quand les bornes sont franchies, il n'y a plus de limites ?
Soyons sérieux : ce n'est pas le fait que quelques ados, manipulés de toute évidence par leurs parents ou par les groupes islamiques, aient organisé des prières en public et dans des écoles qu'il faut dénoncer : c'est la politique folle et suicidaire, mais voulue, du Système, qui nous a conduit là où nous en sommes. Et nous n'en sommes qu'au début, qu'à l'apéro, si on nous permet la familiarité !....
C'est donc ce Système lui-même qu'il faut accuser, lui qui change le Peuple, aujourd'hui dans sa composition ethnique, après l'avoir changé, hier, dans son esprit et son mental, en menant une lutte quotidienne contre nos Racines historiques et religieuses, qui sont chrétiennes...
À qui profite le crime ? Dans Atlantico, l'article de Guylain Chevrier :