Solidarité Kosovo !

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La déclaration "hénaurmément" scandaleuse, mais révélatrice, de Gabriel Attal :
"Le rôle de l'école française est de former des républicains... Jamais je n'accepterai qu'à l'école de la République on refuse de regarder un tableau. Une procédure disciplinaire a été ouverte à l'endroit des 3 élèves à l'origine de cette situation...".
Si Attal a raison, dans "l'affaire du tableau", de s'opposer frontalement aux trois énergumènes manipulées par leurs non moins énergumènes de parents butés et bornés, sa déclaration est évidemment scandaleuse pour le reste, c'est-à-dire pour l'essentiel : en proférant son "hénaurmité", il définit tout simplement le Totalitarisme, à la Pol Pot, Mao, Staline etc... et les camps de "ré-éducation" !
Non, le rôle de l'école n'est pas de former des républicains, ni des royalistes, ni des impérialistes, anarchistes ou quoi que ce soit du même tonneau : le rôle de l'école est d'instruire, d'apprendre à lire, à écrire et à compter, pour commencer : en aucun cas "la politique", ès-qualité, n'y a sa place.
S'agirait-il d'un lapsus, comme on tâchera, peut-être, d'essayer de nous le faire croire, pour réparer le dégât de cette déclaration ahurissante ?
En tout cas, et si tel était le cas, le lapsus serait révélateur, car, oui, notre Système, la République idéologique, sont totalitaires...
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
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Voici la "Une" du Mardi 28 Juillet 1936 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k766408s
Ce numéro ressemble assez à celui de la veille : Daudet et les nouvelles du front sur les deux colonnes de gauche; et un article incendiaire, comme la veille, mais signé, de Pujo ("Le crime va s'accomplir") sur le mauvais coup de Blum (à l'international cette fois, après son mauvais coup "à l'intérieur", lors de sa sordide machination durant les obsèques de Bainville, il y a six mois à peine...).
Puis on aura les nouvelles de la guerre sur les quatre premières colonnes de la page trois; et un sujet nettement plus long et plus technique de la Revue de Presse en page quatre; à noter : une courte note en page deux, dans la rubrique "Les faits du jour" : "Allons-nous armer le Front populaire espagnol ?"...
La manchette de ce numéro est encore, comme les précédentes, et toujours à bon droit, une "manchette anti-Blum" :
Élizabeth Borne a "le sentiment que la violence augmente".
La réponse cinglante de Philippe de Villiers :
"Sentiment que la #violence augmente" / Elisabeth Borne est dans le narratif de l'esquive : par idéologie, elle nie le réel. Ses trois présumés coupables sont : l’#ultradroite, les psychiatres et le peuple se laissant aller à ses sentiments. La mission de Madame #Borne est d’installer des paravents : elle est la princesse Potemkine du déni de réalité !
(extrait vidéo 2'13):
https://x.com/PhdeVilliers/status/1734295171431313528?s=20
Pour suivre l'émission entière (46'12) :
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
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Voici la "Une" du Lundi 27 Juillet 1936 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k766407d
Dans cette "Une", sur la Guerre d'Espagne, "il n'y a que", si l'on peut dire, l'article de Daudet, qui met en garde contre un possible "embrasement européen" (et, de fait, c'est bien ce qui se passera, peu de temps après la fin de cette guerre en Espagne...); puis les nouvelles du front (qui se poursuivent sur les trois premières colonnes de la page cinq) et un court article, non signé, sur les livraisons d'armes déguisées du Front populaire français à son homologue du "front crapulaire" espagnol...
Voici d'abord la manchette de cette "Une"... :
...et l'article non signé, véritable mise en garde et dénonciation de l'action "pro Frente popular" de Blum, obligé de reculer, en apparence, mais qui ne se résout pas à ne pas aider - en leur livrant des armes - ses comparses du Frente crapular... : ce serait de "la contrebande révolutionnaire", est-il écrit dans cet article, qui demande par ailleurs la démission de Pierre Cot, pour "forfaiture" !... :
Cannes 2023 : Le Théorème de Marguerite, un film d’Anna Novion, avec Jean-Pierre Darrousin (le professeur Laurent Werner), Ella Rumpf et Julien Frison (les étudiants Marguerite et Lucas).
Mathématiques quand tu nous tiens !
Après avoir passé difficilement mon Bac Mathélem (« je vous parle d’un temps… »), j’ai décidé d’en finir définitivement avec les sciences et de me tourner vers le Droit. A bien y réfléchir j’ai eu tort : j’aime les règles écrites (les articles) et déteste la jurisprudence de la même façon que j’aime les postulats et les théorèmes mais déteste les sciences expérimentales, chimie et physique, qui constituaient le « panier garni » de ce deuxième Bac.
C’est d’ailleurs une question qui me revient souvent : quelles études voudrais-je faire si je devais repartir à O ? Histoire ? Lettres ? Mathématiques ? et même tout simplement comptabilité ?
Il se trouve qu’il y a quelques jours j’ai suivi avec intérêt une vidéo sur YouTube qui traitait du calcul d’une hauteur à partir de 2 triangles, et j’ai été particulièrement déçu de constater que j’avais tout oublié des sinus et des cosinus. J’ai aussi lu cet été le Claudine à l’école de Colette, et comme je ne savais plus rien je me suis surpris à rechercher les cours d’arithmétique pour faire, comme Claudine, les exercices préparatoires à l’École Normale d’Instituteurs. J’ai ainsi retrouvé les nombres entiers et les nombres premiers avec les PGCD et autres PPCM…
C’est aussi sur les nombres premiers que planche Marguerite, au niveau cette fois-ci de l’École Normale Supérieure, pour tenter de démontrer la conjecture de Goldbach selon laquelle « tout nombre entier pair supérieur à 2 peut s’écrire comme la somme de deux nombres premiers ». inutile d’écrire qu’avant Marguerite, Je n’en avais jamais entendu parler.
Mathématiques, quand tu nous tiens… C’est donc le sujet du film et précisément parce que celui-ci peut paraître rébarbatif, Anna Novion a réalisé une œuvre curieuse et, au sens propre, « extraordinaire ». Même mon épouse a beaucoup aimé, alors que le seul mot « chiffre » lui hérisse le poil et qu’elle cauchemarde encore sur les robinets qui fuient, les baignoires qui débordent et les trains qui se suivent à des vitesses différentes. Ce film, véritablement pour tous, plaira évidemment particulièrement aux étudiants et aux anciens des prépas et des grandes écoles qui y retrouveront la peinture de la vie qu’ils vivent ou qu’ils ont vécue. Il paraît même que les mathématiciens peuvent faire des arrêts sur l’image pour vérifier que tout ce qui est écrit au tableau noir est juste.
Comme avec les nombres, même premiers, nous sommes dans le domaine de l’infini, il ne me paraît pas possible de donner une note / 20 à ce long-métrage, mais avec les Félicitations du jury, on peut sans doute écrire le commentaire contraire à celui que je lisais sur mes livrets scolaires : « Ne peut pas mieux faire ».
lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...
Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...
Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...
Aujourd'hui : 1986 : René Sédillot publie Le coût de la Révolution française... (tiré de notre Éphéméride du 1er Décembre)
(retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :
À la découverte du "Fonds lafautearousseau")
Le CENTRE LESDIGUIERES, associé au Cercle Dauphinois de Documentation et de
Communication Culturelle , vous convie, ce mardi 19 décembre à 19 heures, à la conférence de PHILIP BOYER /
CHARTREUX, VEILLEURS SILENCIEUX...
qui se déroulera à la salle des vignes, 3 bis avenue Maréchal Randon, à l’Ile Verte
38000 GRENOBLE ( station tramway ligne B « la Tronche Hôpital » )
Allo : 0612344339
Philip BOYER
Ancien journaliste Figaro Lyon, directeur des relations presse et publiques de la Chartreuse puis directeur du Musée de la Grande Chartreuse jusqu’en 2021.
« La vocation des chartreux reste un paradoxe pour beaucoup. A la suite de saint Bruno, ils traversent le temps, solitaires dans le coeur du monde, sans rien en ignorer, sans rien en mépriser. Depuis 1084, ils excellent même dans tout ce qu’ils abordent. Un secret ou un mystère ? Une hyper-absence ou une hyper-présence ? Laquelle ? Et qu’a-t-elle a à nous dire, à nous, aujourd’hui ? »
Merci de vous inscrire. N’hésitez pas à inviter vos proches
courriel : centrelesdiguieres@gmail.com
Merci de prévoir votre participation aux frais et buffet !
5,00 euros pour les adhérents, chômeurs et étudiants, lycéens
10,00 pour les autres
Une bien belle image de la France, envoyée par les supporteurs du club lyonnais...
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
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Voici la "Une" du Dimanche 26 Juillet 1936 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7664061
Comme celle du Vendredi précédent, elle est quasiment toute consacrée aux affaires espagnoles, avec un Daudet ("L'état de danger de guerre"), un Pujo ("La trahison en panne"), les nouvelles du "front" et les deux premiers des cinq paragraphes de "La Politique", de Maurras...
Ce sont toujours Blum et Cot qui sont - à juste titre - le plus attaqués : par solidarité idéologique révolutionnaire (!), eux qui n'arment pas la France contre une Allemagne nazie qui se sur-arme depuis des années, essaient d'aider militairement leurs compères du "Frente popular / Frente crapular"...
Dans ce numéro, l'article de Pujo et les nouvelles du "front" se poursuivront sur la quasi totalité de la page trois; et, en page quatre, Pierre Tuc consacrera à l'Espagne deux des sujets de sa Revue de presse
Voici la manchette anti-Blum du numéro :
Assassinat de Samuel Paty par des terroristes islamistes :
Ni la jeune menteuse qui avait accusé à tort Samuel Paty d'islamophobie, ni les autres élèves qui ont aidé le terroriste à se cacher, identifier et tuer leur professeur ne feront de prison ferme !
Ce nouveau scandale écoeurant illustre à nouveau la pourriture d'une part importante de cette (in)Justice qu'a créée, à son image et à sa ressemblance, le Système pourri qui nous a mis dans la situation dramatique où nous nous trouvons...
Commentaire de Geoffroy Lejeune :
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
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Voici la "Une" du Samedi 25 Juillet 1936 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k766405n
Léon Daudet y explique "Le cas de Gibraltar" et Maurice Pujo y relate comment "Blum-la-guerre a dû reculer"; Maurras aimerait "en parler" (de la guerre en Espagne) mais est pris par d'autres sujets; enfin les nouvelles de ce qui devient un "front" sont bien là, et se poursuivent en troisième page (quasiment cinq colonnes sur les six) :
Enfin, en page sept, Pierre Tuc ne consacre, cette fois, qu'un seul de ses onze sujets à "La guerre civile en Espagne"...
Voici d'abord la "manchette" de ce samedi :
Entièrement d'accord avec Philippe de Villiers :
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
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Voici donc, de nouveau, la "Une" du Vendredi 24 Juillet 1936 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7664048
Après avoir donné, dans notre livraison précédente, les articles de Daudet, Maurras et Pujo, voici aujourd'hui le reste de ce qui, dans ce numéro très "dense" sur le sujet, traite de la guerre civile qui vient de commencer :
• d'abord (en "Une", et se poursuivant sur quatre colonnes, en page trois) les nouvelles militaires sur la situation, qui évolue très rapidement...
• Ensuite, en page quatre, le premier des onze sujets de Pierre Tuc, dans sa Revue de Presse...
(cliquez à chaque fois sur les images pour les agrandir)
1. Dans la partie inférieure des deux premières colonnes (de gauche) :
et, donc, "la suite en troisième page"... :
A l’affiche : Et la fête continue, un film de Robert Guédiguian, avec Jean-Pierre Darroussin et Lola Naymark (Henri et sa fille Alice), Ariane Ascaride, Robinson Stévenin et Grégoire Leprince-Ringuet (Rosa et ses deux fils, Sarkis et Minas).
Et la fête continue… Eh bien non ! Nous n’étions pas à la fête, et après m’être demandé où était « la fête » et quelle était l’histoire, j’avais hâte que ce lent et long-métrage (1h46) s’arrête.
J’avais pourtant deux raisons d’aller voir ce film avec plaisir, à savoir Ariane Ascaride, que j’aime bien en tant qu’actrice malgré son militantisme gauchiste, et Marseille où se déroule l’action… pour autant qu’il y ait une action…
C’est en effet le gros défaut de cette réalisation.
Robert Guédiguian, sous l’égide de la révolutionnaire allemande Rosa Luxembourg, veut nous parler de tout, allant de l’effondrement d’immeubles, rue d’Aubagne le 5 novembre 2018, jusqu’au génocide arménien qui perdure au Haut-Karabakh, en passant par l’union de la gauche aux élections municipales de 2020, avec une histoire d’amour particulièrement factice et quelques gros plans qui se veulent intellectuels et poétiques. Finalement un ensemble décousu pour un scénario cousu de fil blanc, dans lequel – reconnaissons-le – Guédiguian règle quelques comptes avec les militants des partis de gauche tout en déversant un discours humanitariste et gauchisant.
On peut d’ailleurs s’étonner de la contradiction de ces « nationalistes » arméniens que sont Minas et Sarkis (qui veut des enfants pour l’Arménie), en même temps militants des Sans-Papiers et, finalement, du Grand Remplacement en France.
Bref un film sans intérêt, au cours duquel on s’ennuie, qui ne me laisse pas d’autre issue que de lui faire sa fête.