Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

Macron à Davos ? Philippe de Villiers en parle aussi bien que possible... :
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Macron à Davos ? Philippe de Villiers en parle aussi bien que possible... :
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
Voici la "Une" du Vendredi 21 Janvier 1910 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7567887
Comme la veille, pas grand chose sur la "Une", si ce n'est ces quelques lignes dans la rubrique "Dernière heure", elle-même en plein milieu des deux colonnes centrales : on ne parle plus, cette fois, du "mauvais temps" et "à l'étranger", mais bien des "inondations" et en France (Besançon, la Marne, Châlons...) :
Les nouvelle se poursuivent en page trois (bas de la quatrième colonne, intégralité de la cinquième et partie supérieur de la sixième), dans une sorte de répertoire des mauvaises nouvelles, et reprenant le titre de la veille :
Cannes 2023 : L’Innocence, un film japonais de Hirokazu Kore-Eda
L’Innocence… ce très long (2h06) et ennuyeux métrage a obtenu le « prix du scénario » au Festival de Cannes, et mon épouse ponctue : « le prix du scénario compliqué » !
Nous n’y avons rien compris, et je ne peux donc pas en écrire plus avant, sauf à préciser que son titre original est Monstre, et qu’effectivement je m’y suis très vite monstrueusement ennuyé.
il paraît qu’il porte sur le harcèlement scolaire… peut-être…
Dieu me garde en tout cas de vous harceler en prolongeant ces quelques lignes.
C’est, pour conclure, mon 8ème Kore-Eda, dont cinq que j’aurais pu, au mieux, ne pas voir.
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
Il est à la fois intéressant et très émouvant de s'intéresser à cet épisode tragique pour la France et pour Paris, et de bien remarquer l'attitude qu'adopta la toute jeune Action française en ces circonstances dramatiques...
• d'abord parce que, en 1910, tout est "jeune" à l'Action française : le quotidien, fondé le jour du printemps 1908 (le samedi 21 mars), n'a même pas deux ans (à un jour près, il a un an et dix mois) ! Les Camelots du Roi, fondés par Maxime Réal del Sarte le 16 novembre 1908, ont à peine un an et deux mois ! On est donc en plein dans cette toute nouvelle et toute jeune "première Action française", et dans la période d'effervescence intellectuelle et militante dans laquelle Jacques Paugam plaçait "l'âge d'or du maurrassisme"...
• ensuite, parce que tous ces jeunes Camelots dont on va parler n'ont plus que quatre années à vivre "normalement", pour une très grande part d'entre eux : dans la fleur de leur jeunesse, de leur enthousiasme, de leur ardeur et générosité, en 1910, ils seront "appelés" - dans quatre ans et demi - à partir sur le front, et la moitié d'entre eux ne reviendra pas...
Ce sont nos aînés, nos prédécesseurs et, pour toujours, "les premiers de cordée" de notre mouvement, et leur magnifique exemple nous inspire encore aujourd'hui, modèle qu'ils ont su être de cet engagement et de ce don de soi que, précisément, nous essayons de perpétuer, aujourd'hui, à notre tour...
C'est à partir du Jeudi 20 Janvier et pendant sept numéros - jusqu'au Mercredi 26 inclus - que L'Action française - journal d'opinion et non d'informations générales - évoqua ces pluies incessantes et cette montée de la Seine, qui n'en finissait pas... Et ce fut à partir du numéro du Jeudi 27 que le journal relata les interventions multiples, généreuses et courageuses des tous jeunes "Camelots du Roi", venant au secours des sinistrés...
Avant de commencer notre lecture, on pourra visionner ces 2'40 offertes par (Re)découvrez Paris, qui montrent bien l'ampleur de la tragédie :
https://x.com/AFRoyaliste/status/1909686132318912734
Voici la "Une" du Jeudi 20 Janvier 1910, premier numéro dans lequel L'Action française parle de l'inondation :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k756787v
Il s'agit simplement, dans la "Une", d'un court communiqué, et encore, pour évoquer "le mauvais temps à l'étranger" ! :
Il faut aller en page trois pour avoir des nouvelles du "mauvais temps", en France, et c'est en bas de la cinquième colonne et sur un peu plus de la moitié de la sixième et dernière :
https://www.parismatch.com/.../entre-le-comte-de-paris-et...
... vous pourrez reprendre la lecture des Grandes "Unes" de L'Action française, comme nous l'annoncions après la publication de celles qui racontèrent la Croisière du Campana, la semaine tragique - qui vit la mort de Jacques Bainville et la machination ourdie par Blum le jour de ses obsèques, pour obtenir la dissolution de la Ligue d'Action française et des Camelots du Roi - et les douze premiers jours de la Guerre d'Espagne...
Il s'agira de relire cette page glorieuse, pour notre mouvement, pendant laquelle les tous nouveaux Camelots et le tout nouveau journal se dépensèrent généreusement et admirablement pour venir en aide aux sinistrés parisiens, lors de la cataclysmique inondation de 1910 : c'est volontairement que, après les trois premières séries précédemment citées, nous avons attendu le 20 janvier, puisque ce sera le jour anniversaire du premier numéro du quotidien consacré en bonne part à ce désastre, puis à l'action généreuse de nos anciens et "premiers de cordée"...
L'évocation de cette page glorieuse nous emmènera jusqu'à la moitié du mois de février : nous publierons alors notre cinquantième Grand Texte, puis nous entrerons dans la période de notre dix-septième anniversaire : nous le célèbrerons, cette année, en lançant notre deuxième feuilleton sur nos Maîtres : après le Feuilleton Maurras, celui-ci sera consacré à Léon Daudet (1), et nous garderons le troisième Feuilleton (Bainville) pour notre prochain anniversaire !
Ensuite, nous donnerons l'intégralité des comptes rendus des Rassemblements Royaliste en Provence, dans notre Catégorie "Documents pour servir à une Histoire de l'URP...", entre 1918 et 1939...
Et, ensuite... nous verrons ! De nombreux sujets sont en préparation, nous en reparlerons, évidemment...
(1) ndlr : ce sujet a été réalisé à partir d'extraits tirés des dix livres de souvenirs suivants de Léon Daudet : Paris vécu (rive droite), Paris vécu (rive gauche), Député de Paris, Fantômes et vivants, Devant la douleur, Au temps de Judas, l'Entre-deux guerres, Salons et Journaux, La pluie de sang, Vers le Roi...
Goldnadel a très bien réagi à l'hénaurmité de ce lamentable Bruno Le Maire, qui a "sorti" un propos aussi minable que misérable, en réponse (?) à un Député RN du Var :
1. Le propos débile de ce pauvre ministre (?), sur ce coup, très "bas de plafond" :
"Nous n'aurions pas eu de problème de flambée des prix de l'électricité et du gaz si votre ami Vladimir Poutine n'avait pas attaqué l'Ukraine"
2. La réponse toute simple, toute pleine du plus élémentaire bon sens, de Goldnadel :
... vous pourrez reprendre la lecture des Grandes "Unes" de L'Action française, comme nous l'annoncions après la publication de celles qui racontèrent la Croisière du Campana, la semaine tragique - qui vit la mort de Jacques Bainville et la machination ourdie par Blum le jour de ses obsèques, pour obtenir la dissolution de la Ligue d'Action française et des Camelots du Roi - et les douze premiers jours de la Guerre d'Espagne...
Il s'agira de relire cette page glorieuse, pour notre mouvement, pendant laquelle les tous nouveaux Camelots et le tout nouveau journal se dépensèrent généreusement et admirablement pour venir en aide aux sinistrés parisiens, lors de la cataclysmique inondation de 1910 : c'est volontairement que, après les trois premières séries précédemment citées, nous avons attendu le 20 janvier, puisque ce sera le jour anniversaire du premier numéro du quotidien consacré en bonne part à ce désastre, puis à l'action généreuse de nos anciens et "premiers de cordée"...
L'évocation de cette page glorieuse nous emmènera jusqu'à la moitié du mois de février : nous publierons alors notre cinquantième Grand Texte, puis nous entrerons dans la période de notre dix-septième anniversaire : nous le célèbrerons, cette année, en lançant notre deuxième feuilleton sur nos Maîtres : après le Feuilleton Maurras, celui-ci sera consacré à Léon Daudet (1), et nous garderons le troisième Feuilleton (Bainville) pour notre prochain anniversaire !
Ensuite, nous donnerons l'intégralité des comptes rendus des Rassemblements Royaliste en Provence, dans notre Catégorie "Documents pour servir à une Histoire de l'URP...", entre 1918 et 1939...
Et, ensuite... nous verrons ! De nombreux sujets sont en préparation, nous en reparlerons, évidemment...
(1) ndlr : ce sujet a été réalisé à partir d'extraits tirés des dix livres de souvenirs suivants de Léon Daudet : Paris vécu (rive droite), Paris vécu (rive gauche), Député de Paris, Fantômes et vivants, Devant la douleur, Au temps de Judas, l'Entre-deux guerres, Salons et Journaux, La pluie de sang, Vers le Roi...
L’essai d’Herbert van Leisen sur Mirabeau a la valeur d’une découverte. Car il y a des découvertes en histoire comme dans les sciences. Et les pages qu’il a écrites renouvellent en entier l’histoire des origines de la Révolution.
Il n’est pas excessif de dire que, jusqu’à une date tout à fait récente, ces origines ont été incomprises et méconnues. En étudiant Mirabeau, en pénétrant sa pensée, en expliquant son action, M. Herbert van Leisen fait apparaître et corrige une longue suite de contresens.
En gros, Mirabeau a été le seul vrai monarchiste de son temps. Il était dans l’esprit de Louis XV, selon une conception dont Louis XVI s’était écarté, comme nous l’avons indiqué brièvement dans notre Histoire de France. Ceci demande un mot d’explication.
Plus les affaires militaires de l’OTAN vont mal en Ukraine, plus l’Europe se lance dans une ahurissante fuite en avant pour intégrer à marche forcée un pays en guerre.
C’est bien sûr la Commission de Bruxelles qui est à la manœuvre, représentée par sa sémillante présidente, Ursula von der Layen. Elle n’est élue par personne, mais agit comme un véritable président d’une Europe qui n’en possède pas. Ne nous en étonnons pas, c’est le fonctionnement normal du « machin » où les élus du Parlement européen ne semblent pas servir à grand-chose et avalisent, quand on leur demande leur avis, les décisions concoctées par la toute puissante Commission. Les élections à venir changeront peut-être certains fonctionnements mais la Commission poursuivra son œuvre.