Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

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A l’affiche : Une Affaire d’honneur, un film français de Vincent Perez, avec Vincent Perez (le colonel Louis Berchère), Roschdy Zem (le Maître d’armes Clément Lacaze) et Doria Tillier (Marie-Rose Astié de Valsayre).
Une Affaire d’honneur… Le titre n’est pas anodin puisque depuis bientôt deux siècles, selon le dictionnaire de l’Académie française, l’expression « signifie quelquefois Duel ». C’est en effet, de la salle d’arme au pré, à partir de faits réels, l’histoire, le fonctionnement et la chorégraphie de l’institution du duel que nous présente Vincent Perez.
Interdit par des édits depuis le XVIème siècle, passible de la peine de mort depuis Richelieu, le duel perdura jusqu’après la deuxième guerre mondiale, avec des « temps forts » notamment à la fin des années 1880, allant jusqu’à devenir une revendication féministe…
Cette Affaire d’honneur se révèle un docufiction où l’on apprend que, si tous les coups sont permis, le duel doit répondre à la défense de son honneur et jamais à un esprit de vengeance.
« Une femme ne peut-elle pas défendre son honneur ? » interroge Marie-Rose Astié de Valsayre – qui ne figure ni dans mon dictionnaire historique Mourre, ni dans mon Larousse en 10 volumes de 1960, mais sur Wikipédia -.
Je retiens pour ma part qu’un homme ne se bat pas contre une femme, et j’avais précisément été choqué de voir en duel d’Artagnan et Milady.
J’en reste donc à la seule idée qu’une femme s’honore, et c’est l’homme qui se déshonore à déshonorer une femme.
Remaniement : Gabriel, le choix fatal
CONTRIBUTION / OPINION. Jeune, dynamique, clairvoyant… Au centre droit comme au centre gauche (bref, au centre), on ne tarit pas d’éloges pour le nouveau Premier ministre. Mais la majorité des Français ne sont pas dupes.
Sonnez l’Attali. Enfin, Gaby va pouvoir nous chanter la mer et nous montrer son amour sans Borne pour la France. Être né à Clamart, petit, c’est déjà une suspicion d’anti-gaullisme primaire.
Ah ben il y a des points positifs : dommage qu’ils ne soient que purement spectaculaires. Logique pour un garçon qui se destinait à la comédie. Tartuffe en herbe, l’épopée napoléonienne lui aurait été comptée. Gageons qu’il ne doit pas en rester grand-chose, à moins qu’il ne vît en Waterloo une étape sur la route de Bruxelles…
Les huiles de la machine à couronner des laquais d’outre-Lescaut ne tarderont pas à faire de lui le Mozart de l’école publique. Nul n’est prophète en son pays, la solution ne pouvait venir que d’un pur produit de la méritocratie de l’école privée. Flûte enchantée, sciences popogeno.
Si l’on peut imaginer qu’il connaît l’Alsace par son école, connaît-il la France périphérique ? Nous en doutons. De la Touraine, il ne connaît que le cabinet… Azay, rideau ! Alors le reste.
Une question reste néanmoins en suspens : refuserons-nous de mourir d’amour enchaîné ? Ô Gabriel, archange francophobe, tu annonces, à ton corps défendant, la fin de l’oppression du peuple.
Natalité/Immigration-invasion...
Du toujours excellent Dimitri Pavlenko, dans Face à l'info :
"...Si vous combinez cette mutation de la natalité française à une poursuite de l'immigration massive, vous avez un scénario de mise en minorité du peuple historique français sur son sol à un horizon 2070..."
(extrait vidéo 1'49)
https://x.com/Livrenoirmedia/status/1745354252954845492?s=20
Voilà donc les prévisions, des prévisions, pour dans trente cinq ans, c'est-à-dire demain.
Mais le pire n'est jamais sûr et nous préférons l'espoir jusqu'au bout que le fatalisme destructeur. Ces prévisions sont justes... "À MOINS QUE..." comme le disait Maurras, en conclusion de son magistral "L'Avenir de l'Intelligence" (cet "immense petit livre", disait Boutang) :
Si vous voulez - et pouvez - prendre quelques instants, et si le sujet vous intéresse, nous avons préparé cette "Page - résumé" à votre intention...
Elle vous semblera, au début, éloigner du sujet alors que, au fond, elle y ramène en allant à l'essentiel : comment en est-on arrivé là, à cette catastrophe qui nous menace, et, surtout, comment pourrait-on en sortir...
Charles Maurras : L'Avenir de l'Intelligence...
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L'état calamiteux de la culture générale, en France (et de tout ce qui va avec) : ce qui nous étonne, c'est qu'on s'en étonne !...
Le Parisien et les médias sont tout attristés, et font grand bruit autour du fait que 46% des 16-24 ans ne savent pas en quelle année a eu lieu la Révolution française (et, accessoirement, tout un tas d'autres choses !...) :
"Que voulez-vous, Monsieur le préfet, soixante-dix ans de démocratie, ça se paie...", disait Maurras au préfet de la Vienne, en juin 1940, après la victoire allemande.
Nous vivons sous le règne d'une République idéologique qui n'est qu'un totalitarisme masqué/déguisé; une Nouvelle Religion Républicaine, déguisée en soi-disant "république" et "démocratie", alors que nous ne sommes ni en République, ni en démocratie, comme le sont par exemple, les Suisses.
Et cette République idéologique s'est construite non seulement "sans" et "en dehors" mais, surtout, "contre" nos héritages millénaires gréco-romain et judéo-chrétien; et dans le rejet et même la négation de cette simple constatation : ce sont les Rois qui ont fait la France (pas la République !) et qui en ont fait la première puissance du monde, sous Louis XVI.
Or, à partir de son installation, ce funeste mois de janvier 1875, la République idéologique n'a eu de cesse - et elle continue aujourd'hui - de "dé-franciser" le peuple français, au moyen de l'école, dont elle s'est servie comme d'une machine à dé-cerveler un peuple chrétien et royaliste, racontant aux enfants une Histoire de France trafiquée et mensongère, pensant naïvement pouvoir vider les têtes de Dieu et du Roi, pour les remplacer par des mots creux tels que :
• "liberté" (alors que nous sommes devenus le pays le plus imposé au monde, avec très largement plus de 300.000 Lois, normes et règlements)...
• "égalité" (alors que l'INSEE elle-même, dans son rapport pour 2021, constate que les inégalités ne cessent de se creuser)...
• ou "fraternité" (elle qui a commis le premier Génocide des temps modernes - le Génocide vendéen - auquel elle ajoute le crime de mémoricide, puisqu'elle continue de le nier, deux siècles après !...)...
Et on viendrait s'étonner, après ce dé-cervelage massif, intensif depuis 1875, que tant de jeunes et moins jeunes ne sachent plus rien sur rien ?
En "cassant" volontairement la transmission des principe et idéaux qui nous faisaient vivre - et grands... - depuis deux millénaires, la République idéologique et le Système ont lancé, avec Jules Ferry, une entreprise de démolition/substitution qui revenait à scier la branche sur laquelle ils étaient assis : car, à nos principes et idéaux bi-millénaires, ils se sont crus malins de substituer des "valeurs" (?) républicaines qui n'étaient qu'en plas...toc. Ils ont voulu tuer un héritage, comme le cancer tue un corps; mais, une fois le corps mort, la cancer meurt aussi, du même coup, s'étant tué lui-même, en vertu du vieux principe bien connu : "morte la bête, mort le venin..."
CQFD...
Et, aujourd'hui, ils viendraient s'étonner ?
Le grand de Lattre disait : "À la Grèce, nous devons surtout notre raison logique. À Rome, nos maximes de droit et de gouvernement. Mais à l'Évangile nous devons notre idée même de l'homme. Si nous renions l'Évangile, nous sommes perdus." La République idéologique a renié l'Évangile, remplacé par son "plastoc" : elle est perdue !...
...avec notre Page Lafautearousseau Royaliste :
(Photos David Niviere)
Un remaniement ministériel ? Dans ce "semble-gouvernement" ?
L'édito politique cruel, mais juste, de Vincent Trémolet de Villers, sur Europe 1 :
La scandaleuse attitude de Pierre Moscovici : pour qui se prend-il, et de quel droit s'autorise-t-il à publier, ou non, un rapport de la Cour des Comptes, parce que ce rapport lui plaît, ou pas ?
Face à Darius Rochebin, Moscovici a "justifié" (?) ainsi sa décision concernant le "report de publication" (!) du rapport de la Cour des comptes sur l’immigration :
"C'est une décision que j'ai prise personnellement et que j'assume totalement"
(extrait vidéo 2'10)
https://x.com/EugenieBastie/status/1743726730966139255?s=20
"Je n'ai pas voulu que ce rapport soit utilisé..." : mais, alors, à quoi servent les rapports de la Cour des comptes ? En réalité, c'est "le fait du Prince" : Moscovici se prend, en somme, pour le grand Manitou, le Chef suprême, celui qui sait ce que nous pouvons et devons lire, ou pas !
Il parlera, ensuite, "ad nauseam" de "république" et de "démocratie" mais n'envisage pas une seconde - le triste et sinistre comique ! - l'éventualité que le peuple puisse se faire sa propre idée par lui même à partir d'éléments objectifs !
Scandale absolu ! Pays légal pourri juqu'au trognon...
N'étant pas des charognards, nous n'allons pas "cracher sur vos tombes", inspirateurs de Jacques Delors et Jacques Delors vous-même, qui vous revendiquiez "successeur de Jean Monnet et Robert Schumann"...
• Nous nous contenterons de ne pas nous associer à cette palinodie d'hommage national pour quelqu'un qui ne se pensait plus - politiquement, mentalement... - comme "français" mais comme "européen";
• nous nous contenterons de rappeler ce que disait de Gaulle de Monnet :
"L’Europe intégrée, ça ne pouvait pas convenir à la France, ni aux Français… Sauf à quelques malades comme Jean Monnet, qui sont avant tout soucieux de servir les États-Unis..."
• et nous proposerons de nouveau au lecteur notre note :
Pour le reste, nous sommes entièrement d'accord avec Guillaume Bigot :
A l’affiche : Les Trois mousquetaires : Milady, un film français de Martin Bourboulon, avec Eva Green (dans le rôle-titre), François Civil (d’Artagnan), Vincent Cassel (Athos), Pio Marmaï (Porthos), Romain Duris (Aramis), Louis Garrel (Louis XIII), Vicky Krieps (la Reine Anne d’Autriche), Lyna Khoudry (Constance Bonacieux), Eric Ruf (le Cardinal de Richelieu), Marc Barbé (le Capitaine de Tréville), Patrick Mille (le Comte de Chalais), Julien Frison (Gaston de France) et Jacon Fortune-Lioyd (le Duc de Buckingham).
Les Trois mousquetaires : Milady, et les autres… ils sont (re)venus, ils sont tous là, après le bon premier volet sur d’Artagnan, mais bis repetita non placent…
Une succession d’images sombres, de chevauchées, de duels et de bagarres entre des individus que l’on distingue mal les uns des autres , cachés sous leurs feutres et « grands manteaux qui (les) calfeutrent ». Il a été trop long le temps qui nous sépare du film d’Artagnan, celui qui nous sépare de la lecture d’Alexandre Dumas, et enfin et, peut-être surtout, celui de nos cours d’Histoire. Ne faudrait-il pas, pour entrer véritablement dans l’action, réapprendre Henri IV et l’Edit de Nantes avec ses garanties territoriales qui ont imposé à Richelieu le siège de La Rochelle contre les Protestants et un Gaston d’Orléans, frère et héritier présomptif (jusqu’à Dieudonné) de Louis XIII ?
Je ne suis pas sûr d’aller voir le troisième volet que suggère la fin de ce long-métrage.