Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
Dans Le courrier des Amériques, un inattendu mais réjouissant et réconfortant
Pourquoi Jeanne d’Arc est-elle aussi une héroïne aux Etats-Unis ?
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Dans Le courrier des Amériques, un inattendu mais réjouissant et réconfortant
Hier, nous parlions ici-même de nos frères du Kosovo, pour, modestement et avec nos trop faibles moyens, au moins dire qu'ils sont chez eux, chez eux, dans leur terre du Kosovo serbe, et qu'ils sont fondés à reprendre, fût-ce par la force, ce qu'on leur a injustement enlevé, par la force...
Nous exprimons aujourd'hui - une fois de plus !... - notre soutien à d'autres frères : ceux d'Arménie, en général, et de l'Artsakh, en particulier : ils sont en première ligne face à l'agression brutale et haineuse de l'Islam expansionniste exterminateur, comme en 1915...
Au moins, nous ne les oublions pas, nous ne restons pas indifférents : mieux vaut allumer une lumière, si petite soit-elle, que de maudire l'obscurité...
VIVE LE KOSOVO SERBE !
VIVE L'ARTSAKH LIBRE,
PARTIE INTÉGRANTE DE L'ARMÉNIE !
La Marine nationale (la Royale...) rend hommage à l'un des siens, sur son excellent site, remarquablement fait et tenu :
https://www.colsbleus.fr/sites/default/files/2023-03/CB3110_Complet_Planche.pdf
A l’affiche : Le Principal, un film français de Chad Chenouga, avec Roschdy Zem et Yolande Moreau (Sabri Lahlali et Estelle, le Principal adjoint et le Proviseur), Heidi Bouchenafa (Saïd), d’après des faits réels.
Le Principal… A l’exception des Enfants des autres (2022), l’excellent Roschdy Zem joue principalement dans de bons ou très bons film dont on observe qu’ils reposent souvent sur la question de l’assimilation… Sabri Lahli en est un exemple qui a épousé une « de souche », mais il en est séparé certainement en raison de relations difficiles avec ses beaux-parents ? Quant à Saïd, son frère…
Ce n’est, néanmoins, pas là, le sujet principal de ce film et l’on m’a soufflé, avec amusement, qu’il fallait peut-être y voir le triste « pas de vagues » de l’Education nationale !
En fait ce film est médiocre – avec un début beaucoup trop long – qui ne met pas véritablement en exergue la question principale que le réalisateur a dû, sans doute, vouloir poser, tirée d’un roman américain de 1995, L’Homme-dé, de Luke Rhinehart : Peut-on jouer aux dés les décisions à prendre ?
Je n’ai pas lu le roman mais je déplore que cette idée ait été gâchée, à commencer par le titre même du film qui au lieu du banal Principal aurait pu mettre en éveil le spectateur : Le dé.
lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...
Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...
Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...
Aujourd'hui : la Sainte Chapelle...
(tiré de notre Éphéméride du 25 avril)
(retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :
À la découverte du "Fonds lafautearousseau")
Au Kosovo, la situation s'envenime et les tensions augmentent.
À lafautearousseau, on a choisi son camp dès le début de la crise dans cette province, et on n'en change pas : le Kosovo est Serbe, et doit le redevenir...
La Maison blanche, son bras armé (l'Otan) et les caniches de son arrière-cour européenne (au premier rang desquels, naturellement, nos ennemis allemands) ont mené - en 1999 - une action de piraterie internationale en portant la guerre au milieu de l'Europe, en bombardant un pays ami et historiquement allié de la France (la Serbie) et tout cela pour installer artificiellement un État croupion musulman/mafieu, arrachant le Kosovo à sa mère patrie, la Serbie.
Pour nous, toutes autres considérations sur la situation là-bas ne sont que des paroles verbales, nulles et non avenues...
Comme le laissaient prévoir les résultats du premier tour, Erdogan a remporté l’élection présidentielle turque. Avec 52% des voix sa marge est étroite mais le succès est là et le sultan est au pouvoir pour cinq ans de plus.
Cette victoire a surpris de nombreux observateurs en particulier les médias occidentaux qui avaient multiplié les prévisions favorables à l’adversaire d’Erdogan, Kemal Kiliçdaroglu pour qui ils avaient pris fait et cause.
Avec un humour qui tue, Geoffroy Lejeune revient sur ce bien triste et misérable "épisode Justine Triet", au Festival de Cannes; un épisode qui n'honore ni cette personne, ni le cinéma français, ni le Festival de Cannes :
"...Je rêve d'un monde où les gens comme Justine Triet se débrouilleraient tout seul et dans lequel ils seraient tributaires de leur public..."
Tout est dit, bravo !
(extrait vidéo 1'43)
https://twitter.com/GeoffroyLejeune/status/1663094999934746624?s=20
Par contre, s'il s'agit d'honorer le cinéma français, l'exception culturelle française, rappelons à nouveau ce que nous disons ici-même hier : un vrai, un grand, un beau film est maintenant disponible en DVD.
Et, là, il s'agit vraiment de cinéma...
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
Voici la "Une" du Dimanche 22 Janvier 1911 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k757155g
Pas de Maurras ni de Daudet dans ce numéro... Juste Maurice Pujo, qui écrit un court billet, "Le Régime politique, pour Lucien Lacour" et Léon de Montesquiou qui occupe quasiment les deux premières colonnes, avec un long article sur "La noblesse".
Seul des "trois", ce jour, c'est Bainville qui, jusqu'à la guerre, signe par un discret "Léonce Beaujeu" une sorte de rubrique intitulée "Au jour le jour".
L'article de la rubrique de ce 22 janvier est pétillante d'ironie et de profondeur - mais on dira que c'est toujours le cas, chez Bainville... - et s'intitule
"L'homme sans prénom"
Art et Essai : The Quiet girl, un fil irlandais de Colm Bairéad avec Catherine Clinch (Cait, la « Quiet girl »),
d’après une nouvelle de Claire Keegan, Les Trois lumières (2011).
The Quiet girl… un joli petit film, en VOSTF, d’une lenteur soutenue, dont j’ai longtemps pensé, avant et pendant, que j’aurais pu ne pas le voir… mais finalement, je me suis laissé attendrir par cette petite fille, gauche et soumise, qui se « reconstruit » (selon l’expression à la mode) chez des parents lointains qu’elle ne connaissait pas et qui ne la connaissait pas, mais qui s’avèrent beaucoup plus affectueux que sa propre famille.
Je ne dis pas qu’il faut y courir, mais on peut, avec elle, goûter dans la jolie campagne irlandaise les petite bonheurs que lui offrent ses « parents » d’adoption.
On avait déjà eu le Prix Nobel donné à Annie Ernaux, militante de la nullité vulgaire; voici que la Palme d'Or du Festival de Cannes est remise à une Justine Triet, qui profite de l’audience médiatique pour prononcer un misérable discours politique qui se veut gauchiste...
Profitons-en pour parler de vrai cinéma, Festival de Cannes oblige, et pour signaler ou rappeler qu'un vrai, grand et beau film est disponible en DVD, et qu'il n'a rien coûté au contribuable, lui.
Justine Triet, parfaite représentante de cette gauche-caviar bobo/gaucho, gavée de subventions publiques, a osé parler de "l'exception culturelle française" : "Vaincre ou mourir", film magnifique qui n'a reçu aucun centime de subvention, est un véritable représentant de cette "exception culturelle française", et fait honneur à la France et à l'esprit français, à la différence de la misérable bobote Triet et de son parterre de gavés !...
Ce à quoi l'on a assisté à Cannes ne montre qu'une chose : que le talent et la qualité sont inversement proportionnels aux subventions accordées par le Système (avec NOTRE argent)...
La saine et ravageuse ironie d'Arnaud Florac, dans Boulevard Voltaire, qui "démolit" Véronique Dubois-Bertrand, "mairesse" du troisième arrondissement de Lyon :
"À Lyon, le maire du troisième distingue le bon et le mauvais casseur…"