Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
La scandaleuse attitude de Pierre Moscovici : pour qui se prend-il, et de quel droit s'autorise-t-il à publier, ou non, un rapport de la Cour des Comptes, parce que ce rapport lui plaît, ou pas ?
Face à Darius Rochebin, Moscovici a "justifié" (?) ainsi sa décision concernant le "report de publication" (!) du rapport de la Cour des comptes sur l’immigration :
"C'est une décision que j'ai prise personnellement et que j'assume totalement"
(extrait vidéo 2'10)
https://x.com/EugenieBastie/status/1743726730966139255?s=20
"Je n'ai pas voulu que ce rapport soit utilisé..." : mais, alors, à quoi servent les rapports de la Cour des comptes ? En réalité, c'est "le fait du Prince" : Moscovici se prend, en somme, pour le grand Manitou, le Chef suprême, celui qui sait ce que nous pouvons et devons lire, ou pas !
Il parlera, ensuite, "ad nauseam" de "république" et de "démocratie" mais n'envisage pas une seconde - le triste et sinistre comique ! - l'éventualité que le peuple puisse se faire sa propre idée par lui même à partir d'éléments objectifs !
Scandale absolu ! Pays légal pourri juqu'au trognon...
1. Après les obsèques de Jacques Delors, cet utile mise au point de Michel Onfray :
(extrait vidéo 0'28)
"L' « Europe puissance », c'est un mythe. Et ça l'a toujours été..."
1 BIS. Et, pour Guillaume Bigot (qui a tout à fait raison)
"La souveraineté européenne : c'est un attrape-nigaud !"
(extrait vidéo 2'08)
https://x.com/ElisaMaFrance/status/1743713124543316084?s=20
L'intégralité de son intervention sur le sujet, dans Face à l'info (8'56) :
3. Les escrolos n'en feront jamais d'autres ! D'Officiers et Commissaires de police (sur tweeter) :
"La souveraineté nationale peut en prendre un coup : la direction d’Atos a rouvert en ce début d'année le dossier de la vente de sa branche stratégique BDS (valorisée entre 1,5 et 1,8 milliard d'euros) qui regroupe ses activités dans le big data, la cybersécurité et les supercalculateurs.
Le démembrement d’Atos se précise. Malgré les appels du pied de plusieurs parlementaires pour sauver ce fournisseur stratégique de nos armées, le gouvernement ne bronche pas. C’est à se demander s’il a réellement pris conscience de l’importance de ce dossier. Aucune communication, aucun début de piste côté gouvernemental. Vous avez dit souveraineté nationale ?..."