À la découverte du fonds lafautearousseau (8) : Philippe de Villiers règle leur compte à Jean Monnet et Robert Schuman...
lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 22 Albums, 48 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...
Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...
Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...
Aujourd'hui : Philippe de Villiers règle leur compte à Jean Monnet et Robert Schuman...
(retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :
Á la découverte du "Fonds lafautearousseau")
2019 : Philippe de Villiers règle leur compte à Jean Monnet et Robert Schuman...
Avec le talent qu'on lui connaît, Jacques Trémolet de Villers a brillamment rendu compte, dans nos colonnes, de cet ouvrage magistral, dans lequel Philippe de Villiers brise les tabous entourant ces deux prétendus "pères de l'Europe", dont l'oeuvre aura été, en réalité, malfaisante et pernicieuse dès ses origines, et dans son esprit et son essence même :
Présentation de l'éditeur :
À la fin d’une conversation qui roulait sur la « construction européenne », l’ancien ministre des Affaires étrangères du général De Gaulle, qui savait tout sur tout le monde, laissa tomber d’un air entendu : "Philippe, il vous suffira de tirer sur le fil du Mensonge et tout viendra…"
Des décennies plus tard, en y consacrant un temps discret et beaucoup d’ardeur, bénéficiant par ailleurs de complicités au plus haut niveau des arcanes de l’Europe, Philippe de Villiers décide de tirer sur le fil.
Alors tout est venu.
Il a mené ses recherches jusqu’au bout du monde, à Stanford, à Berlin, à Moscou et partout où pouvaient se trouver des documents confidentiels récemment déclassifiés. Et les archives ont parlé. Elles ont livré des secrets dérangeants.
L’envers de l’Europe est apparu. Ce n’est pas du tout ce qu’on nous avait dit.
De ce travail d’enquête, Philippe de Villiers a fait un livre de révélations sur le grand Mensonge. Il a résolu de publier les preuves. Elles sont accablantes. Tout y passe : les Mémoires apocryphes, les dollars, la CIA, les agents, le passé qu’on efface, les allégeances qu’on dissimule, les hautes trahisons.
Le récit est parfois glaçant. Mené au rythme d’une enquête haletante, il se lit comme un polar. On n’en ressort pas indemne. C’est la fin d’un mythe : ils travaillaient pour d’autres et savaient ce qu’ils faisaient, ils voulaient une Europe sans corps, sans tête et sans racines. Elle est sous nos yeux.