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marseille - Page 3

  • Le Prince Jean en Provence (3/3) : Au coeur des traditions vivantes.....

                Nous réunissons ici des photos issues de deux voyages différents du Prince : celui de 2002, où il s'est rendu aux Baux-de-Provence (ci dessous), et celui de 2006, où il fut reçu à Marseille par le sénateur-maire de la ville, Jean-Claude Gaudin, avant de se rendre à Cadarache puis à la Vallée des Merveilles (voir nos deux notes précédentes), et enfin aux Iles de Lérins.

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  • Monseigneur Pontier, Archevêque des sans-papiers ?...

    "La charité ne se vante pas, ne s'enfle pas ; elle ne fait rien de malhonnête, elle ne cherche pas son propre intérêt, elle ne s'irrite point, elle ne soupçonne point le mal, elle ne se réjouit point de l'injustice, mais elle se réjouit de la vérité".  (Saint Paul, 1 Corinthiens 13)

     

                La Provence nous l’apprend, dans son édition du mardi 7 Avril : deux pleines pages, s’il vous plaît, les pages 2 et 3, presque les meilleures, celles que tout le monde lit ou, du moins, celles que l’on ne peut pas rater.

                La Une, se voulant accrocheuse, annonce un reportage alléchant : « Ils hébergent des familles dans des paroisses de Marseille. Sans-papiers : des prêtres bravent la loi. Une action de désobéissance approuvée (c’est nous qui soulignons, ndlr) par l’archevêque de Marseille… ».

                On ajoutera d’ailleurs, dans la suite des articles, « Ils ont l’aval de Mgr Georges Pontier, Archevêque » ! Les pages deux et trois ne sont donc pas en reste : « La profession de foi de ceux qui aident les sans-papiers » ! Comme détournement du sens  de Pâques, bonjour !

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  • La république danse sur un volcan...

              Lu dans "La Provence" du lundi 16 juillet (1): "Des voitures retournées en flammes, en guise de remparts. Des grappes d'individus, le visage sous une cagoule ou une capuche, armés de cocktails Molotov dans une main et de pierres dans l'autre. Des barrages de poubelles incendiées....Dans plusieurs quartiers marseillais, samedi soir, la Fête nationale avait des allures de "révolution urbaine" avec un goût amer de déjà vu...En milieu de nuit, vers 3 heures du matin, une quarantaine de véhicules et quelques 150 poubelles avaient été incendiées. Les marins-pompiers ont en outre traité 200 feux d'herbe et 13 feux de détritus..." L'article évoque les 602 appels et 585 interventions concernant les pompiers, victimes d'une trentaine de "caillassage", les cinq feux urbains, les 12 arrestations opérées par les 200 policiers, appuyés par 96 "municipaux", tandis que les CRS, pour la troisième année consécutive, ont dû intervenir à la Cité Air Bel "pour calmer et refroidir les esprits" (sic!). Voilà pour Marseille...

              En France, on n'a recensé "que" la bagatelle de 199 véhicules incendiées et 76 arrestations, autant dire rien, puisque la république nous a donné l'habitude de vivre habituellement avec des choses que nos ancêtres n'auraient pas admis à leur époque, et nous non plus il y a une vingtaine ou une trentaine d'années: mais on s'habitue à tout, n'est-ce pas? surtout lorsque l'opinion, à qui l'on ne dit pas tout -quand on ne lui ment pas carrément- est quotidiennement anesthésiée par les mensonges de la "vérité officielle" et le bourrage de crâne opéré par le parti immigrationniste...Et pendant ce temps là, l'arbre des délinquances et des Mafias pousse ses racines, silencieusement mais inexorablement; il prend toute sa place et s'installe confortablement et efficacement; il prospère, et la république accepte l'inacceptable; elle tolère l'intolérable; elle "gère la délinquance", elle n'y répond absolument pas: comment le pourrait-elle, d'ailleurs, puisque c'est elle qui, en trente ans, a opéré ce prodigieux transfert de population qui est directement à l'origine de l'apparition de ces cités, dangereuses aujourd'hui, explosives demain....

    (1): page 4: "Le 14 juillet, prétexte pour mettre le feu dans les cités."