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Documents Vidéos - Page 205

  • Société • Où Éric Zemmour évoque « La mort de Hallyday et d'Ormesson, comme Cocteau et Piaf »

     

    BILLET - La mort de Jean d'Ormesson a précédé de quelques heures celle de Johnny Hallyday. Deux monstres sacrés de notre époque dont le décès concomitant en rappelle d'autres. Ce sont, en octobre 1963,  ceux de Piaf et de Cocteau (dans l'ordre) que Lafautearousseau avait aussi rapprochés, quelques heures plus tôt, de l'événement que tous les médias célèbrent en ce moment. A l'envi. Comme toujours, quelques mots brefs et lucides, suffisent à Eric Zemmour [RTL 7.12] pour caractériser les illustres disparus, leur époque et les évolutions intervenues au fil des cinquante et quelques dernières années ...  LFAR 

     

     

    Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge

    L'Histoire bégaie. Il y a plus de cinquante ans, le 11 octobre 1963, Jean Cocteau et Edith Piaf mouraient à quelques heures d'intervalle. Le poète et la chanteuse, l'homme des salons et la femme des rues, le créateur mondain et l'artiste populaire. C'était la France des années 40 et 50 (...) qui disparaissait avec eux. Tout recommence avec les décès de Jean d'Ormesson et de Johnny Hallyday. L'écrivain et le chanteur, le fils de la haute et celui des faubourgs, l'homme qui murmurait à l'oreille des présidents et celui qui beuglait dans des stades.

    C'est la France des années 60-70 qui faisait des heures sup'. Ceux qui n'avaient pas fait la guerre et ceux qui étaient nés pendant la guerre. D'Ormesson, c'était Françoise Sagan au masculin ; Johnny, c'était Elvis Presley en tricolore.

    Les deux hommes étaient des inventions de la télévision. S’ils étaient de magnifiques têtes de gondole médiatiques, c'est qu'ils appartenaient à une époque où les êtres n'avaient pas encore été entièrement façonnés par l'écran-roi : le livre pour d'Ormesson, la salle de concert pour Johnny. Mais Johnny n'avait plus envie d'avoir envie. Tandis qu'on croit entendre la voix fluette de « Jean d'O s'égosiller » : « Mourir en même temps que Johnny, mais c'est épatant ! »  

    Éric Zemmour

    A lire dans Lafautearousseau ...

    La France est une nation littéraire

  • Éric Zemmour : « La Françafrique, toujours supprimée, mais toujours de retour »

     

    BILLET - « Il n'y a plus de politique africaine de la France » : tel est le message que le Président Macron a voulu faire passer lors de son premier voyage en Afrique. Eric Zemmour donne son analyse [RTL 30.11], comme toujours renseignée, lucide et éclairante. Elle diffère cependant quelque peu de la nôtre (cf. ci-dessus) parce qu'elle n'envisage pas - ce n'est pas son sujet - les raisons, les enjeux, les aspects positifs d'une politique africaine de la France qui serait bien conduite. Nous ne critiquerons rien, en revanche, car rien n'y est hélas inexact, de ce qu'Eric Zemmour a choisi d'exposer ici ...  LFAR 

     

     

    Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge

    « La Françafrique, c'est fini ». Le Président Macron l'a dit et répété. Tout le monde a compris. D'autant mieux que François Hollande, Nicolas Sarkozy, Jacques Chirac et François Mitterrand (lors de son discours de la Baule en 1991) l'avaient déjà dit. La Françafrique, cent fois tuée et enterrée. Mais tel le Phénix qui renaît cent fois de ses cendres.

    Mais la Françafrique n'est plus ce qu'elle était. La Françafrique a une apparence : un groupe de pays africains, manipulés par l'ancien colonisateur qui, devenu puissance moyenne, se hausse du col sur les épaules du géant africain. Mais elle a une réalité : un instrument que les dirigeants africains utilisent habilement pour défendre leurs intérêts.
      

    Éric Zemmour

  • « Balance ton porc » ? En voilà un justement : Alex Vizorek. Et il sévit sur France Inter. Ecoutez !

     

    Oui, écoutez donc les cochonneries qui suivent dans cette vidéo. Elle ne dure que 3 minutes et 8 secondes. Cela se veut de l'humour. Un humour qui fait surtout rire l'équipe de la matinale de France Inter, Nicolas Demorand et compagnie. Rires forcés et plutôt niais. Mais vulgarité assurée ! Harcèlement garanti. Y compris sexuel. C'était hier matin, 27 novembre. Mais c'est tous les jours comme ça. Alors « Balance ton porc » ? Oui,, en voilà un justement, Alex Vizorek. Et il sévit sur France Inter [Service public]. Ecoutez !    Lafautearousseau

     

     

    Présentation France Inter 

    Jusqu'à hier soir Alex Vizorek pensait écrire une chronique sur le contrôle de la pornographie sur Internet. Quand il a appris que le sujet de la matinale changeait, il a été surpris.

  • Éric Zemmour : « Macron rime avec raison, mais pas avec action »

     

    BILLET - Depuis quelques jours, le chef de l'État multiplie les propos qui font polémique. Ce qui n'est pas pour déplaire au polémiste [RTL 23.11].  Eric Zemmour en donne le détail, les passe en revue, les approuve pour la plupart et montre en quelles contradictions se trouve Macron. L'action ne suit que rarement ses paroles...  LFAR 

     

     

    Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge

    Ce n'est pas une rime riche, mais Macron a raison. Macron a raison quand il dit à cette femme marocaine qu'elle doit rentrer chez elle et non demander un asile qui n'est fondé en rien. Macron a raison de serrer la vis des collectivités locales qui, depuis trente ans, ont contribué largement à la hausse des impôts et des emplois publics (...) Macron a raison lorsque le Premier ministre interdit l'usage de l'écriture inclusive dans l'administration.

    Macron a également raison lorsque son ministre de l'Éducation nationale tance les profs qui veulent changer les règles d'accord grammaticaux au nom d'un féminisme militant, alors qu'elles ne sont même pas capables d'enseigner à leurs élèves les règles existantes. Macron a raison lorsque le même Blanquer annonce des sanctions contre un syndicat d'enseignants qui refuse l'entrée aux blancs.

    Enfin, Macron a raison de nommer directement Castaner comme patron de son parti, sans passer par les faux-semblants de la démocratie partisane. C'est l'esprit même de la Ve République avec lequel il renoue. Sauf que Macron rime avec raison, mais pas avec action.  

    Éric Zemmour

    A voir sur Lafautearousseau ...

    « Si vous n'êtes pas en danger, il faut retourner dans votre pays », répond Macron à une Marocaine

  • Patrick Buisson [2] répond aux auditeurs de France Inter

     

    Mercredi dernier, vous avez été nombreux à apprécier l'entretien de Patrick Buisson,  diffusé la veille, sur France Inter. Nous écrivions : « Fête de l'Histoire hier matin sur France Inter avec Patrick Buisson qui ne mâche pas ses mots pour dire les quatre vérités de la Révolution française, de la Terreur et du massacre de la Vendée. Avec les implications qui s'en suivent : les totalitarismes du XXe siècle, la crise de notre démocratie, notre identité malheureuse et menacée ...»  Voici la seconde partie de cette émission où Patrick Buisson répond aux questions des auditeurs. La discussion est aussi d'un grand intérêt même si, par définition, elle prête davantage au débat. Que de magistrales leçons d'Histoire et de politique très actuelle y donne Buissson ! A écouter absolument.  Lafautearousseau.   

     

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    A lire, à voir ou revoir sur Lafautearousseau ...

    Patrick Buisson sur France Inter : « En matière de terrorisme d'État, la Terreur, c'est nous qui l'avons inventée »

  • Éric Zemmour : « Pourquoi les difficultés d'Angela Merkel ne sont pas un drame »


    BILLET - La chancelière allemande ne parvient pas à forger une majorité parlementaire. Eric Zemmour décrypte, avec sa lucidité coutumière, les conséquences pour la France.[RTL 21.11].  Sur ce même sujet, on lira avec profit deux articles de Lafautearousseau : celui qui suit, Avec ou sans Merkel, l'Allemagne ..., et un second, en lien ci-dessous, Le couple franco-allemand s'éloigne ... Et l'Europe avec lui...  LFAR  

     

     

    Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge

    « La joie mauvaise ». C'est la traduction d'une expression allemande qui veut dire qu'on se réjouit de la peine du voisin. Un sentiment pas très moral, mais tellement humain. Exactement le sentiment que doit éprouver Emmanuel Macron. Officiellement, il reprendra à son compte la doxa dominante des médias français : la France souhaite qu'Angela Merkel sorte rapidement de ses difficultés, car le maintien de la chancelière est ce qu'il y a de mieux pour l'Allemagne et pour l'Europe.

    Mais au delà de ce baratin médiatico-diplomatique, Macron peut savourer l'instant. Une fois encore, il est servi par la chance. La chancelière, qui a écrasé - et souvent humilié - ses deux prédécesseurs, vacille. Elle est à terre, elle est fichue, elle est sortie du jeu. Et comme les Anglais sont partis, il ne reste qu’un seul grand pays debout pour diriger l'Europe : la France. Et la France, c'est Macron. 

    Éric Zemmour

    Lecture recommandée ...

    Le couple franco-allemand s'éloigne ... Et l'Europe avec lui ...

  • « Si vous n'êtes pas en danger, il faut retourner dans votre pays », répond Macron à une Marocaine

     

    En déplacement dans un centre des Restos du Coeur à Paris mardi, le président a été interpellé par des habitants sur sa politique d'asile. Et il a choisi de reprendre une célèbre formule : « La France est un pays généreux, mais elle ne peut pas accueillir toute la misère du monde ».

     

     

    La Vidéo qui indispose la Gauche 

    Il était venu lancer la campagne hivernale des Restos du Coeur, mais Emmanuel Macron s'est retrouvé à devoir défendre sa politique d'asile. À la sortie du centre de la Grange-aux-Belles, dans le 10e arrondissement de Paris, le président s'est fait interpeller par une demandeuse d'asile marocaine, à qui le président a dit : « Si vous n’êtes pas en danger, il faut retourner dans votre pays ». « Je ne peux pas vous mentir : en France, on va protéger tous les gens, qui relèvent de l'asile et qui ne sont pas en sécurité chez eux (…) Mais on ne peut pas accueillir tous les gens qui viennent avec des visas de commerce ou d'étudiants et qui restent après. Donc après, il faut retourner dans son pays, je vous le dis franchement », a-t-il dit à cette femme marocaine. 

    « Je ne peux pas donner des papiers à tous les gens qui n'en ont pas, sinon comment je fais avec les gens qui sont déjà là », a-t-il ajouté.  

    Source LCI

  • Patrick Buisson sur France Inter : "En matière de terrorisme d'État, la Terreur, c'est nous qui l'avons inventée"

    Fête de l'Histoire hier matin sur France Inter avec Patrick Buisson qui ne mâche pas ses mots pour dire les quatre vérités de la Révolution française, de la Terreur et du massacre de la Vendée.

    Avec les implications qui s'en suivent : les totalitarismes du XXème siècle, la crise de notre démocratie, notre identité malheureuse et menacée ...

    À écouter absolument. 

    lafautearousseau  

     

     Cliquer pour agrandir (icone inférieure à droite)

     

    Ce que France Inter a retenu des propos de Patrick Buisson  ... Mieux vaut l'écouter 

    Patrick Buisson, ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, auteur de « La grande histoire des guerres de Vendée » (Perrin) est l'invité de Nicolas Demorand.

    L'ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, qui publie « La grande histoire des guerres de Vendée » (Perrin) explique sa démarche : « je crois que l'Histoire enseigne la vie (...) La France a inventé les tribunaux révolutionnaires ».

    Si on prend la juridiction du Tribunal International sur le Rwanda ou la Somalie, les Vendéens ont été massacrés exactement comme ça

    Patrick Buisson poursuit : « Le mot Républicain permet d'évacuer l'idée de nation, un mot-valise dans lequel on met des principes universels. Aujourd'hui la dimension de républicanisme est évacuée, qui renvoie à des principes abstraits ». L'ex-conseiller de Nicolas Sarkozy ose même un rapprochement dans son ouvrage (« C'est Oradour sur Vendée ») et s'explique : « le bolchevisme et le nazisme font référence à la Révolution Française ».

    Patrick Buisson estime que le rapport est « évident » entre la Terreur et le terrorisme dont la France est victime. 

  • Éric Zemmour : « Puigdemont rappellera aux amoureux de l'histoire de France le destin tragi-comique du général Boulanger »

    Oriol Junqueras (à gauche) et Carles Puigdemont sur les bancs du Parlement régional catalan à Barcelone, le 26 octobre

    BILLETPour Éric Zemmour la crise en Catalogne présente plusieurs intérêts, à l'échelle espagnole comme à l'échelle européenne  [RTL 2.11].  Sur ce même sujet, on lira avec profit le Lundi de Louis-Joseph Delanglade : Comédie ou tragédie ?  LFAR 

     

     

     

    Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge

    L’indépendance de la Catalogne semble fort compromise par la fermeté du gouvernement espagnol et la maladresse des indépendantistes. Le voyage du leader catalan, Puidgemont, suscite beaucoup d’interrogations.

    Il paraît que le ridicule ne tue pas. Mais il peut blesser mortellement. Les indépendantistes pourront encore se refaire lors des prochaines élections. Les autorités espagnoles seraient bien embêtées si une majorité d’électeurs leur confirmait son soutien. Mais en attendant, comme au football, Madrid a battu Barcelone à plate couture. La déroute des indépendantistes catalans a réussi le prodige de donner une aura à Rajoy, le premier ministre espagnol, qui avait jusque-là montré le charisme d’un expert-comptable. 

    L’affaire catalane a eu aussi un autre intérêt : contraindre les institutions européennes à sortir de l’ambiguïté. Et comme l’avait annoncé le cardinal de Retz, on ne sort de l’ambiguïté qu’à son détriment.  

    Éric Zemmour

    Lecture recommandée ...

    Comédie ou tragédie ?

  • Éric Zemmour : Sélection à l'université, le choix du gouvernement, analyse ...

    L'affaire Malik Oussékine 

     

    BILLET - Comme un baigneur qui renonce à plonger dans l'eau après l'avoir longtemps tâtée du pied, le gouvernement a finalement renoncé.  [RTL 31.10]

    Sur ce même sujet, celui de la sélection à l'université, on lira ci-dessus l'analyse de François Marcilhac ...   LFAR 

     

     Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge

    « L'eau du Rubicon était trop froide.» Éric Zemmour analyse le choix du gouvernement de ne pas mettre en place de sélection directe à l'université. « Comme un baigneur qui renonce à plonger dans l'eau après l'avoir longtemps tâtée du pied, le gouvernement a finalement renoncé », analyse-t-il.

    Pour Éric Zemmour, le sujet est au point mort depuis des décennies politiques. « Le dernier à avoir osé s’appelait Jacques Chirac. Il était Premier ministre d’un gouvernement de cohabitation en 1986 », rappelle-t-il. 

    Le ministre des Universités d'alors, Alain Devaquet, « était un naïf audacieux ». « En politique, on appelle ça un candidat au suicide. (...) Dans la fureur des manifestations étudiantes, on releva un mort sous les coups de la police : Malik Oussékine. Depuis, le syndrome Malik Oussékine tétanise tous les politiques », estime Éric Zemmour.  

    Éric Zemmour

  • TV Libertés • Prince Jean de France : le retour de l’idée monarchique

    Hier soir, le prince Jean de France, Duc de Vendôme était sur TV Libertés. 

    Présentation de TV Libertés

    Jean d’Orléans, duc de Vendôme, a pour devise : « Je pense en prince chrétien, j’agis en prince français ». Celui qui se veut l’héritier des 40 rois de France s’exprime très rarement à la télévision. Il a choisi TV Libertés pour évoquer son parcours, la restauration de la monarchie mais aussi le président Macron ou la Vème République finissante.  

    Une émission à regarder absolument.  •

  • Instants d'intelligence et de plaisir avec Elizabeth Lévy sur et à propos de France Inter et de ses « humoristes » 

     

    Elisabeth Lévy était l’invitée de « L’Instant M » de France Inter hier matin. Elle s’est expliquée de ses propos tenus dans l’émission « Salut les Terriens » de Thierry Ardisson, dans laquelle elle regrettait que les humoristes de la radio publique soient devenus « les chiens de garde de la pensée unique ».

     

    « L’Instant M » présenté par Sonia Devillers 

     

    Mardi, Alex Vizorek, l’un des amuseurs de la station qui officie également dans l’émission de Thierry Ardisson, s’était senti visé. Visiblement, le comique belge a mal pris le fait que son employeur télévisuel ait donné raison à Elisabeth Lévy lorsqu’elle déplorait le panurgisme des humoristes d’Inter.

     

     

    Pincé, il s’en est pris à la directrice de Causeur : 

    Lafautearousseau recommande la lecture de Causeur ...

    Causeur

  • Éric Zemmour décrypte la victoire des populistes en Europe centrale

    Prague sur la Moldau

     

    BILLET -  Après l'Autriche, la Pologne ou la Hongrie, la République tchèque vient de voter pour le leader d'un parti classé très à droite. [RTL 24.10]

    On se trompe si l'on oublie que les pays qu'évoque Zemmour ont tous fait partie - même la Pologne, pour une part - de l'Empire d'Autriche-Hongrie. L'Histoire, la géographie, la politique, les rassemblent. Zemmour a raison de le rappeler. Et l'Allemagne se trouve assez isolée entourée de ces voisins et partenaires si différents. Comme nous le disons, nous-mêmes, dans l'article qui précède.  ...   LFAR 

     

     

     Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge

    « Cela s'appelle une série. La République tchèque vient après l'Autriche, qui vient après la Pologne, qui vient après la Slovaquie, qui vient après la Hongrie », décrypte Éric Zemmour. « Même élections qui tournent autour de la question migratoire et de l'islam. Même victoire d'une droite qui les rejette sans état d'âme. Même rapprochement électoral avec l'extrême droite, qui fait fi de tous les tabous issus de la Seconde Guerre mondiale », poursuit Zemmour.

    « Mais les mots ne veulent plus rien dire », prévient-il. « On les croit hostiles au libéralisme, mais ils sont en réalité d'autant plus pour l'économie de marché qu'ils ont connu les ravages du système communiste ». On les appelle « eurosceptiques » ? « Mais ils sont d'autant plus favorables à l'Europe que leur entrée dans l'Union leur a donné d'office le droit de se glisser sous le parapluie américain », ajoute-t-il. Pour Éric Zemmour, « l'Histoire comme la politique rassemblent » tous ces pays.
     

    Éric Zemmour

  • Zemmour : « Macron est un moderne. Il ne sait pas que l'Histoire est tragique »

     

    BILLET -  Dimanche 15 octobre au soir, Eric Zemmour a vu du Giscard dans Emmanuel Macron : efficace et technique. [RTL 17.10]

    Ce n'est pas de bon augure. Le septennat délétère de VGE n'est ni pour Zemmour ni pour nous une référence. Nous nous souvenons que lors de son élection à la présidence de la République en 1974, contre le soulagement droitier de l'époque provoqué par la défaite de François Mitterrand, nous avions titré quant à nous à peu près ceci [dans Je Suis Français] : « A compter du 27 mai, l'ennemi s'appelle Giscard ».  C'était à la veille du deuxième rassemblement royaliste des Baux de Provence. Nous n'avons été compris et approuvés que quelques temps après ...   LFAR 

     

     

     Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge

    Le président Macron répondait dimanche 15 octobre pour la première fois aux questions de journalistes sur TF1. « C'était clair et net. De l'excellent travail. Sans notes et sans bavures. Tout dans la tête et rien dans les mains », analyse Éric Zemmour. « Pendant une heure, on comprenait mieux pourquoi Emmanuel Macron avait tant séduit nos élites, de Jacques Attali à François Hollande. À la fois rapide et limpide. Une Ferrari de l'intelligence à la française », raille-t-il.

    « Il rappelait irrésistiblement aux plus vieux Giscard », constate Zemmour . Il note que « si Macron a les qualités de Giscard, il en a aussi les défauts et les lacunes ». Ainsi « au bout de 50 minutes consacrées à l'économie, on en avait assez d'être à Bercy en compagnie du directeur du Budget ».

    « Comme Giscard, Macron est un moderne, c'est-à-dire qu'il pense que nous sommes dans un âge de l'Humanité où tout se règle par l'économie et le droit. La négociation et le deal », ajoute Éric Zemmour : « On songeait encore à Giscard et à la fameuse sentence de Raymond Aron sur l'ancien président : il ne sait pas que l'Histoire est tragique », conclut-il.  

    Éric Zemmour

  • Jean-Michel Blanquer : L'écriture inclusive «  une façon d'abîmer notre langue » 

      

    Jean-Michel Blanquer, invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, s'est montré opposé à l'écriture inclusive. [Lundi 16 octobre].

    Il considère que cette façon d'écrire « ajoute une complexité qui n'est pas nécessaire » à la langue française.

    « Je ne pense pas que ce soit le juste combat (du féminisme) de mettre ça sur une façon d'abîmer notre langue », a lancé le ministre de l'Education nationale. •

     

     

     A lire sur ce même sujet dans Lafautearousseau ... 

    Quand une secte veut régenter la langue