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Documents Vidéos - Page 206

  • Eric Zemmour : « Wauquier se voudra Sarkozy et promettra le Karcher qu'il ne passera pas »

     

    BILLET - Eric Zemmour réagit au meeting de rentrée de Laurent Wauquiez, à Châteaurenard, mercredi 30 août [RTL 31.08]. Il lui conseille de se débarrasser de beaucoup de monde mais n'y croit guère : « Wauquier se voudra Sarkozy et promettra le Karcher qu'il ne passera pas ».  LFAR 

     

     

    Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge

    « Il y a pire que d'avoir un rival, c'est de ne pas en avoir. Il y a pire que d'être sûr de perdre, c'est d'être sûr de gagner », avertit Éric Zemmour. « La question n'est pas de savoir si Laurent Wauquiez deviendra le prochain président des Républicains, mais ce que deviendront les Républicains sous la présidence Wauquiez », insiste-t-il. « Depuis des jours et des jours, chacun y a va de son chantage, chacun y va de sa ligne rouge ou jaune. Alain Juppé, Jean-Pierre Raffarin, Xavier Bertrand, Valérie Pécresse : tous jouent à retenez-moi-ou-je-fais-un-malheur », constate Zemmour, qui ajoute : « Wauquiez devrait les écouter : qu'il ne les retienne pas et il fera un malheur ! »

    « C'est parce que Macron a jeté ses anciens amis socialistes dans un cul de basse-fosse qu'il a gagné. C'est parce que Mélenchon a craché sur la main tendue par Hamon qu'il l'a écrasé. C'est parce que Fillon n'a jamais osé se débarrasser de ses boulets juppéistes et de ses sangsues sarkozistes qu'il a perdu », décrypte Éric Zemmour.  

    Éric Zemmour

  • Travailleurs détachés : le plaidoyer d'Éric Zemmour pour la Pologne

    Cracovie, la capitale historique de la Pologne

     

    BILLET - Emmanuel Macron a entamé un vrai bras de fer avec le gouvernement de Varsovie, qui refuse de réformer la directive européenne sur les travailleurs détachés. Il a raison. Mais comment le fait-il ? Au nom de quels arguments ? Et quelle est leur valeur ? Eric Zemmour livre ici de justes réflexions [RTL 29.08].  LFAR 

     

     

     Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge 

    « Le plombier polonais est de retour. Mais pas où l’on attendait », constate Éric Zemmour. « Lors du referendum de 2005, la question des travailleurs détachés était agitée par les anti-européens, de droite et de gauche », rappelle-t-il. « À l'époque, les partisans du 'oui' dénonçaient leurs pulsions protectionnistes et chauvines. Comme les Polonais d'aujourd'hui », note Zemmour.

    Aujourd'hui, Emmanuel Macron et les institutions européennes reprochent à la Pologne de ne pas être solidaire dans l'accueil des migrants et de ne pas respecter les principes de l'état de droit. « Les Polonais ont-ils été consultés lorsque Angela Merkel a ouvert grand ses bras aux réfugiés ? La Pologne a-t-elle été consultée lorsque Sarkozy et Cameron ont liquidé Kadhafi, horrible tyran qui avait le mérite de tenir sa frontière ? », plaide Éric Zemmour. 

    Éric Zemmour

  • A propos du « Petit dictionnaire maurrassien » de Stéphane Blanchonnet

     

    TRAVAUX DIVERS - Largeur +.jpgLa parution du « Petit dictionnaire maurrassien » de Stéphane Blanchonnet - aux éditions Nouvelle Marge - suscite un intérêt certain et de nombreux commentaires tous azimuts.

    Nous avons lu notamment ceux, sympathiques, d'Amaury-Grandgil, sur son blog Mes Terres Saintes, sous le titre engageant : Lire Charles Maurras en 2017. 

    Se définissant à la fois comme hédoniste, anar de droite et catholique, il exprime - à deux reprises - une forme de nostalgie que l'on partage sans peine du temps où « Maurras, par l'Action Française, grâce également aux hommes de talent dont il a su s'entourer, créait dans ce pays un bouillonnement intellectuel d'idées politiques et esthétiques que l'on chercherait vainement aujourd'hui. » Il a d'ailleurs, nous semble-t-il, raison, s'agissant de Maurras, de ne pas laisser de côté les idées esthétiques. Elles sont à l'origine de sa vie d'esprit.

    Cependant, dans l'intention positive d'évacuer  « tout de suite les reproches que l'on peut faire à Maurras », il reprend à son compte de vielles critiques, venues en leur temps des milieux cléricaux de gauche, dont nous nous permettons de lui signaler confraternellement, au sens propre, l'inanité.

    Ainsi lorsqu'il écrit, à propos de Maurras : «  Il avait (...) une conception très positiviste du catholicisme, instrument de maintien de valeurs morales, un simple outil dans lequel il n'a jamais entrevu aucune valeur spirituelle ». Ce qu'il nomme, ailleurs, « sa conception fortement biaisée du catholicisme, très fortement teintée de positivisme ».  

    Or, s'il admirait la méthode comtienne, Maurras a toujours rejeté le positivisme en tant que philosophie. Il s'en exprime dans son chapitre sur Comte* repris dans ses Oeuvres capitales

    Quant à la conception du catholicisme de Maurras, il s'en est lui-même expliqué en des termes qui appellent à une réflexion profonde et mettent fortement en cause la critique - à ses yeux frivole - qui lui était déjà opposée. Elle l'est toujours, faut-il constater ! Est-elle fondée ? Amaury-Grandgil (et le lecteur du présent blog) s'en fera une idée s'il veut bien lire, sous le titre « Maurrassisme et Catholicisme »  la superbe réflexion de Maurras que nous publions à la suite ...

    Il est bon, en effet, nous le conseillons notamment aux plus jeunes, d'aller aux textes eux-mêmes !  

    Mes Terres Saintes - Le Blog d'Amaury - Grandgil

    *Auguste Comte, Bons et mauvais maîtres, Œuvres capitales, tome III, Flammarion, 1954 

     

    Bande annonce du « Petit dictionnaire maurrassien » de Stéphane Blanchonnet aux Éditions Nouvelle Marge, collection Mauvaise Nouvelle. http://www.nouvellemarge.fr/?collecti...

  • La popularité d'Emmanuel Macron chute fortement en juillet ... C'était à prévoir

     

    L'état de grâce est bref sous une république postmoderne. Le « dégagisme » est sympathique mais il est cruel : il s'applique à tout le monde. Au « chef » le beau premier. C'est ainsi que les Français ont consenti au coup de force d'Emmanuel Macron. Ce qui n'emporte pas leur adhésion ; encore moins leur constance. Le jeune président pourrait bien faire l'expérience en sa personne de cette « incomplétude » de notre démocratie qu'il avait lui-même signalée. La légitimité a d'autres sources qu'un coup de force rondement mené.  LFAR   

     

     

    Le commentaire de BFM TV

    La cote de popularité d'Emmanuel Macron est en forte baisse en juillet, avec 54% de satisfaits soit dix points de moins qu'en juin, selon un sondage Ifop pour le Journal du Dimanche (JDD).

    Celui qui semblait, à en croire certains, marcher sur l’eau pendant une médiatique séquence internationale et régalienne, est aujourd’hui en brutale perte de vitesse.

    Les causes

    Volte-face sur la fiscalité, tentatives de juguler l’exaspération des communes, inquiétude du milieu des affaires, premiers remous autour de la réforme du code du travail, et, dernière complication en date, la démission du chef d’état-major Pierre de Villiers à la suite de l’annonce de 850 millions d’euros d’économies sur le budget des armées.

    Lire aussi dans Lafautearousseau ... 

    Un mauvais coup porté à la France  

  • Défense • Eric Zemmour : « La messe technocratique des coups de rabot »

     

    BILLET - Le gouvernement a annoncé une réduction de 850 millions d'euros du budget de la Défense pour 2017. Un sacré coup de bambou à la veille du 14 juillet. Si l'armée est légitimement aux ordres de l'Etat, ce dernier doit être digne de sa mission nationale. Ce qui se dégage ici du billet d'Eric Zemmour, c'est que le nôtre ne l'est pas. Une brève analyse qui vaut mieux que des protestations. Sous les dehors de la rudesse et de l'autorité, qui eussent été justifiées en d'autres temps, Emmanuel Macron, méconnaissant l'état de nos armées et leurs mérites, n'a pas, en la circonstance, manifesté la dignité de l'Etat dont il est le chef.   LFAR

     

     

    Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge 

    Dans Les Échos (daté 13 juillet), le chef d'état-major des armées Pierre de Villiers a réagi violemment à l'annonce par le gouvernement d'une réduction du budget de la Défense (il aurait juré qu'il ne se fera pas « baiser » par Bercy). « Les oiseaux de mauvais augure avaient raison. Ils avaient estimé que le départ de Jean-Yves Le Drian, qui avait régné sur le ministère de la Défense pendant tout le quinquennat Hollande, n'était pas une bonne nouvelle », note Éric Zemmour.

    « Entre des militaires, qui ont le devoir de se taire, et leur ministre, qui est contrainte de parler pour ne rien dire, la messe est dite », lâche Eric Zemmour. « Une messe déjà célébrée sous Hollande, sous Sarkozy, et même sous Chirac : la messe technocratique des coups de rabot », poursuit-il. « Une messe des économies budgétaires sur le dos de la Grande Muette, qu'on envoie aux quatre coins du monde - et en particulier de l'Afrique - pour faire parler de soi et faire croire que la France est encore une grande puissance », déplore Éric Zemmour.  

    Éric Zemmour

  • Après que Junker a traité le parlement européen de « ridicule », l'Assemblée Nationale se vautre dans la grossièreté stupide

     

    « Putain, il est chiant lui ». Cette insulte de François De Rugy fait polémique à l'Assemblée (sic). Il ne se trouvera bientôt plus grand monde pour défendre les Institutions parlementaires discréditées. A regarder. 

      

     

    En fin d'après-midi ce mardi, alors que l'Assemblée nationale se penche sur le projet de loi d'habilitation à réformer le Code du Travail par ordonnances, François de Rugy donne la parole à Jean-Paul Dufrègne. Depuis le perchoir, le président de l'Assemblée soupire et siffle, la mine consternée: « Putain, il est chiant lui ». Près de deux heures plus tard, le député Sébastien Jumel demande des explications au micro pour ces propos grossiers. Le président de l'Assemblée assure alors que cela ne visait pas son collègue mais qu'il réagissait à un SMS. 

    Lire aussi dans Lafautearousseau ... 

    « Vous êtes ridicules » : Juncker face à un Parlement européen vide ...

  • Civilisation  • Le danger transhumaniste

    A ne pas manquer ! La passionnante causerie d'Antoine de Crémiers, responsable éditorial à la Nouvelle Revue Universelle, sur le danger transhumaniste.  •

     

     

    Antoine de Crémiers, est responsable éditorial à la Nouvelle Revue Universelle, mais aussi du Café Actualité d'Aix-en-Provence et conférencier. Il est également responsable de la formation d'Action Française Provence.

    Le transhumanisme qui arrive est-il le stade suprême du libéralisme ? Sommes nous devant cette France des robots que le grand écrivain catholique Georges Bernanos nous annonçait dès 1947 ? La nouvelle génération des jeunes catholiques contestataires de la passionnante revue LIMITE a-t-elle raison de nous alerter ? Que doit-on penser devant le danger transhumaniste ? Quel rapport avec l'encyclique Laudato Si ? C'est a ce véritable et nécessaire exercice de réflexion que l'animateur du Café Actualité d'Aix en Provence, Antoine de Crémiers, nous fait participer. 

  • Zemmour : « Le premier ministre est le reliquat du monde d'avant »

     

    Zemmour pointe ici, de fait, une contradiction jamais résolue des Institutions de la Ve république. La répartition et l'équilibre des pouvoirs entre le président et le premier ministre a toujours été un problème depuis l'origine de la constitution de 1958. Les légistes d'ancien régime savaient que la souveraineté n'est pas plus divisible que le point en géométrie.   LFAR

     

     

     Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge 

    « Et si on arrêtait les faux-semblants ? Et si on arrêtait l’hypocrisie ? Et si on débranchait l'hôtel Matignon ? Et si on renvoyait Édouard Philippe dans sa bonne ville du Havre ?», interroge Éric Zemmour. « Et si on prenait acte que le premier ministre ne sert plus à rien, qu'il est inutile, superflu ?», poursuit-il. Une question qui n'est pas nouvelle sous la Ve République. « Mais elle a pris une acuité nouvelle depuis l’instauration du quinquennat qui prive le président de ce temps long qui lui donnait de la hauteur et laissait l'espace de la gestion au premier ministre », analyse Zemmour.

    « Macron revient à la pratique de Sarkozy qui, selon le mot célèbre de Jean-Louis Borloo, s’était fait élire président pour devenir premier ministre », note Éric Zemmour. Pourquoi cette confusion ? « Le premier ministre est le reliquat du monde d'avant, celui d'un régime parlementaire qui s'identifiait jadis avec la République », répond-il. « Pour le meilleur et pour le pire », constate-t-il. 

    Éric Zemmour

  • « Vous êtes ridicules » : Juncker face à un Parlement européen vide ...

    Le président de la Commission européenne (gauche) Jean-Claude Juncker, le président du Parlement européen Antonio Tajani et le président du conseil européen Donald Tusk à Strasbourg, le 1er juillet 2017 © REUTERS

     

    C'est l'Express qui a révélé hier [4.06] cet échange - un véritable morceau de bravoure - entre Jean-Claude Junker et Antonio Tajani, respectivement présidents de la Commission et du Parlement européens. A lire, à voir et écouter. Comment voudrait-on que les peuples respectent les dirigeants de l'Union Européenne, alors qu'eux-mêmes ne se respectent pas ? Se considèrent comme ridicules ? Nous n'avons jamais, ici, été hostiles à un projet de construction européenne, conduite aussi loin que possible sur la base des réalités nationales et des Etats. Force est de constater que les institutions mises en place à ce jour ont failli et que, si cela reste possible, c'est une complète refondation de l'Europe qui s'impose. A partir de zéro, ou presque, s'agissant des institutions existantes.  LFAR  

     

    Les propos du président de la Commission européenne ont provoqué un vif échange avec le président de l'assemblée, Antonio Tajani.

    Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a fustigé mardi les eurodéputés, peu nombreux lors d'un débat en session plénière à Strasbourg, les qualifiant plusieurs fois de « ridicules », jusqu'à déclencher un vif échange avec le président de l'assemblée, Antonio Tajani. 

    « Je salue ceux qui se sont donné la peine de se déplacer ici, mais le fait qu'une trentaine de députés seulement [sur 751] assistent à ce débat démontre à suffisance que le Parlement n'est pas sérieux, et je voulais le dire aujourd'hui », a-t-il déclaré devant un hémicycle quasiment vide.

    « Veuillez utiliser un langage différent »

    « Le Parlement européen est ridicule, très ridicule », a-t-il martelé en français. « Vous êtes ridicules », « le Parlement est totalement ridicule », a-t-il ensuite insisté en anglais, à l'ouverture d'un débat matinal consacré au bilan de la présidence maltaise de l'UE, qui s'est achevée fin juin.

    Le président du Parlement, l'Italien Antonio Tajani, l'a interrompu pour le rappeler à l'ordre. « Monsieur le Président, je vous en prie, veuillez utiliser un langage différent, nous ne sommes pas ridicules, je vous en prie », lui a-t-il lancé sur un ton ferme.

    « Ce n'est pas la Commission qui doit contrôler le Parlement »

    « Vous pouvez critiquer le Parlement, mais ce n'est pas la Commission qui doit contrôler le Parlement. C'est le Parlement qui doit contrôler la Commission », a fait valoir Antonio Tajani, membre de la même famille politique européenne que Jean-Claude Juncker, le PPE (droite), dont le groupe est majoritaire au Parlement. « Il n'y a qu'un faible nombre de députés à la plénière pour contrôler la Commission », a rétorqué Jean-Claude Juncker, ironique, affirmant qu'il n'assisterait « plus jamais à une réunion de ce type ». 

     

     

  • Zemmour : « Blanquer, ou la course de vitesse contre le mammouth »

    Jean-Michel Blanquer et le mammouth

     

    Zemmour, bien-sûr, ne se contente pas de s'amuser de la dialectique du ministre et du mamouth, image, entre autres, des funestes et tenaces pédagogistes [RTL, 27.06]. Il ne se limite pas à retracer l'historique de ces relations inégales, où, même sous De Gaulle, le mamouth fut toujours vainqueur. Au prix du désastre éducatif que l'on sait. En sera-t-il de même face à Jean-Michel Blanquer, ce ministre qui tente de déconstruire les déconstructeurs ? Zemmour remonte alors aux causes systémiques et sociétales qui rendront la tache du ministre presque impossible. Zemmour va à l'essentiel, en quelques brèves minutes où tout ce qui compte est dit. Ecoute recommandée !  LFAR

     

     

     Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge 

    « ll y a quelques milliers d’années, l'homo sapiens sapiens a su faire preuve de ruse, de malice et de rapidité d'exécution pour survivre face à des animaux préhistoriques bien plus forts que lui. En l'an de grâce 2017, un descendant à lunettes et calvitie de l'homo sapiens sapiens continue le combat contre une forme redoutable d’animal préhistorique, le mammouth », raconte Éric Zemmour. « L'homo sapiens sapiens a pour nom Jean-Michel Blanquer, et le mammouth a pignon sur la rue de Grenelle », poursuit-il à propos du ministre de l'Éducation nationale.

    « Depuis des semaines, le ministre-toreador passe ses journées à agiter une muleta rouge devant le mammouth et à lui planter des banderilles sur tout le corps. Il a été particulièrement efficace », fait remarquer Zemmour. Mais si le mammouth a été « pris de vitesse et débordé », Éric Zemmour estime que « Blanquer a mangé son pain blanc, car le mammouth a de la ressource ».  •

    Éric Zemmour

  • CLASH : Alain Bauer atomise un militant antipolice !

     

    Cette vidéo tourne en boucle sur les réseaux sociaux depuis quelques semaines.

    Elle provient d'un débat lors d'une émission de Natacha Polony sur Paris Première, Polonium.  Débat au cours duquel Alain Bauer atomise, a-t-on écrit, un militant dit libertaire : en réalité, un de ces militants immigrationnistes qui sévissent, sous des dehors généreux, dans la nébuleuse de la gauche radicale. Ce n'est pas que, pour diverses raisons, nous ressentons une sympathie particulière pour la police. La leçon que reçoit ici ce jeune-homme vaut néanmoins la peine d'être vue et écoutée. 

    Rappelons qu'Alain Bauer est professeur de criminologie appliquée au Conservatoire national des arts et métiers et consultant en sécurité. Auteur d'une trentaine d'ouvrages sur la franc-maçonnerie et d'une quarantaine sur la criminalité, il est souvent consulté par les plus hautes autorités politiques. 

    Ajoutons qu'il a été grand maître du Grand Orient de France de 2000 à 2003.

    Le diable porte pierre.  LFAR   

     

     

  • Superbe analyse d'Eric Zemmour : « François Bayrou est le carbone 14 d'Emmanuel Macron »

    « Le petit confetti qatari tremble sur ses bases »

     

    Zemmour, bien-sûr, ne s'attarde pas ici [RTL, 20.06] aux turpitudes - fort banales - de François Bayrou, faisant du ministre de la Justice, Garde des Sceaux, chargé de préparer la loi de moralisation de la vie politique, partie prenante aux affaires - qui embarrassent Macron en ses débuts. Cela n'est pas ce qui est important. Ce qui est important, c'est la chose même, Bayrou soi-même, ce qu'il est politiquement, son rapport de fond à Emmanuel Macron. Et réciproquement.  Que Bayrou doive un jour  ou l'autre être lui aussi exfiltré du nouveau gouvernement, comme Richard Ferrand, Sylvie Goulard, Marielle de Sarnez, etc. ne change rien au fond des choses qui se retrouve en Emmanuel Macron. Et là, sur l'essentiel qui n'est pas moral mais politique, l'analyse de Zemmour est magistrale.    LFAR

     

     

    Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge 

    À côté de l'arrivée d'un énorme groupe La République En Marche, celle d'un groupe d'une cinquantaine de députés MoDem est l'autre nouveauté de cette Assemblée nationale sortie des urnes. « Les Trois mousquetaires étaient des Béarnais, comme François Bayrou. Il en a conservé le caractère, le goût des duels à fleurets pas toujours mouchetés ; mais aussi un penchant irrésistible pour la vantardise », constate Éric Zemmour. Ainsi, « quand Bayrou déclare que " c'est le groupe MoDem historiquement le plus fort qu'on ait connu ", il oublie seulement de préciser qu'il n'y a jamais eu de groupe MoDem à l'Assemblée nationale », poursuit-il.

    « Macron a réalisé le rêve qu'a porté Bayrou pendant vingt ans : celui d’une coalition mariant enfin le centre-droit et le centre-gauche », analyse Éric Zemmour, selon qui « Bayrou est le chaînon manquant entre Giscard et Macron ». Il ajoute : « Bayrou est le carbone 14 de Macron. C’est la force et la faiblesse de Bayrou. Une mémoire, on la célèbre ou on l'efface. Selon les besoins et les intérêts du moment ».

    Éric Zemmour

  • Zemmour : « Le monde arabe ne cesse de se désagréger » mais répand partout « la vraie religion »

    « Le petit confetti qatari tremble sur ses bases »

     

    BILLET - Zemmour reprend ici [RTL, 8.06] sa réflexion sur la situation du monde arabe - qui ne cesse de se désagréger - et de l'islamisme, lequel, malgré ses reculs sur le terrain, ne cesse de répandre « la vraie religion »  à travers le monde. On se reportera à l'analyse d'Eric Zemmour publiée ici mercredi dernier, des deux communautarismes britannique et français, l'un dans la loi, l'autre dans les faits.  LFAR

     

     

     Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge 

    « Quand un homme de 120 kilos parle, celui de 60 l'écoute ». Selon Éric Zemmour, « cette célèbre réplique, signée Michel Audiard, pourrait résumer les récents déboires du Qatar ». Car « quand l'Arabie saoudite rassemble tous les pays du Golfe pour l'isoler, le petit confetti qatari tremble sur ses bases, surtout quand l'ogre saoudien vient de se réconcilier avec son parrain américain », analyse-t-il.

    « Depuis des années, le monde arabe ne cesse de se désagréger », constate Éric Zemmour. « Soudan, Irak, Syrie, Libye, Yémen, interventions extérieures, guerres civiles, révolutions : la balkanisation du monde arabe fait de plus en plus ressembler chaque État à une tribu avec un drapeau », poursuit-il. « Arabie Saoudite, Iran, Turquie, sans oublier Daesh : cela fait beaucoup de califes, beaucoup de guerres et beaucoup d'argent distribué
    par tous pour répandre la vraie religion, et la religion la plus pure, dans le monde entier, jusque chez nous », note-t-il.
      

    Éric Zemmour

    Voir aussi dans Lafautearousseau  ...

    Zemmour : « le multiculturalisme britannique est dans la loi, le nôtre est dans les faits »

  • Zemmour : « le multiculturalisme britannique est dans la loi, le nôtre est dans les faits »

     

    BILLET - En quelques mots, quelques phrases, quelques brèves minutes, Zemmour a l'immense talent de caractériser une situation, un événement, de les comparer aux précédents, d'en marquer les filiations et les évolutions, d'en envisager avec lucidité les conséquences. Et de montrer, derrière les apparences, les réalités, qui décevront les naïfs.  En un sens, toutes proportions gardées, Zemmour aura été un peu notre Bainville, « le grand Bainville », comme il dit. Son maître, qui est aussi le nôtre. Cette analyse des deux communautarismes britannique et français, est, une fois de plus, est exemplaire  [RTL, 6.06].   LFAR

     

     

    Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge 

    « Theresa May n’a jamais aussi bien porté son surnom de "Theresa Maybe" (Theresa peut-être) », fait remarquer Éric Zemmour. « Ce n'est qu'un peut-être, mais ce peut-être ira droit au cœur des Français : depuis le temps qu'on subissait les leçons de morale des Anglo-saxons lorsqu'on interdisait le voile à l’école, et leurs sarcasmes lorsqu'on s'horrifiait de voir des burkinis à la plage, et qu'on se faisait traiter de ringard liberticide parce qu'on défendait notre bon vieux système d’assimilation », poursuit Zemmour.

    « Mais notre satisfaction sera de courte durée », avertit-il. Selon lui, « le multiculturalisme britannique est dans la loi, le nôtre est dans les faits ». 

    Éric Zemmour

  • Qu'a pensé Zemmour de la rencontre de Versailles ? Ceci : « Une belle image avec un bel acteur pour un beau film »

     

    BILLET - En quelques mots, quelques phrases, quelques brèves minutes, Zemmour a l'immense talent de mettre aussitôt en pleine lumière toute la nature d'un homme, de caractériser un événement, une situation, de les comparer aux précédents, de marquer les filiations et les évolutions, d'en envisager les conséquences. Et de montrer, derrière les apparences, fussent-elles somptueuses, les réalités, fussent-elles beaucoup plus médiocres, qui décevront les naïfs.  En un sens, toutes proportions gardées, Zemmour aura été un peu notre Bainville, « le grand Bainville », comme il dit. Son maître, qui est aussi le nôtre. Cette analyse de la rencontre de Versailles est, une fois de plus, est exemplaire  [RTL, 30.05].   LFAR

     

     

    Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge 

    Du G7 à la rencontre avec Poutine à Versailles, tous les médias saluent la performance réussie d'Emmanuel Macron. Et si ces rencontres n'offraient que de belles images ?

    « Les médias français et internationaux sont emplis de gestes de notre nouveau président », note Éric Zemmour à propos d'Emmanuel Macron. « Comme les alchimistes transformaient le plomb en or, les journalistes ont été transformés en historiographes du roi. Leur seule mission est désormais de louer et de glorifier le jeune monarque qu’ils se sont donné », poursuit-il. Le journaliste fait remarquer qu'on « n'a jamais vu un chef d'État manquer un G7 ou G8 ou G20 » (« même les plus gaffeurs des présidents américains ou les plus insignifiants des premiers ministres italiens s'en sortent toujours très bien »).

    Il note que c'est Valéry Giscard d'Estaing qui a inventé ces raouts diplomatiques il y a quarante ans. « Giscard c'était Macron avant Macron, sauf que l'un parle en chuintant et l'autre en zézayant », ajoute-t-il. « On ne discourt plus, on calcule. On ne tranche plus, on coopère. On met en scène le pouvoir dont il ne reste que l’image. Une belle image avec un bel acteur pour un beau film », conclut Éric Zemmour. 

    Éric Zemmour