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Actualité France - Page 424

  • Notre entretien sur Charles Maurras à Martigues, avec Georges Bourquard, du Dauphiné libéré...(III/V)

    FLEUR DE LYS SAINT LOUIS KANSAS.jpgQuels sont les rapports aujourd'hui, entre le royalisme et l'extrême-droite ?

    Comme pour sa question sur le nombre des royalistes en France aujourd'hui, nous avons fait une remarque préalable à notre interlocuteur : en prenant comme exemple "les trois François" (Fillon, Bayrou et Hollande), qui sont évidemment tous les trois républicains, mais fort opposés sur un grand nombre de sujets majeurs, il nous a été facile de lui faire comprendre que "les royalistes", cela n'existait pas; comme les républicains, les royalistes sont divers et variés, et il y a chez eux plusieurs sensibilités (au PS, on appelle cela des courants, non ?).

    Lors de la dernière élection présidentielle, il y a, ainsi, des royalistes, comme la Nouvelle Action Royaliste (Nar), qui ont appelé à voter Hollande au deuxième tour (après avoir appelé à voter Dupont-Aignan au premier); d'autres qui ont voté Sarkozy; d'autres qui ont voté Le Pen...

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  • Notre entretien sur Charles Maurras à Martigues, avec Georges Bourquard, du Dauphiné libéré...(II/V)

    maurras maison en entrant.jpgVous autres, royalistes, qu'aimeriez-vous voir en ce lieu ? Cette maison, qui vous est  si chère, que souhaiteriez-vous  la voir devenir ?

    Nous avons d'abord rappelé à notre interlocuteur que, désormais, depuis 1997, et conformément au voeu formellement exprimé par Maurras, "sa" maison de Martigues a été donnée à "sa" chère ville de Martigues ("Mon Martigues plus beau que tout" écrit-il dans l'un de ses plus beaux poèmes, Où suis-je ?).

    Maurras avait d'ailleurs réglé lui-même, dans les détails, cette donation, faisant même le compte de sièges que devraientt occuper les différents partis (MRP, Socialiste, Communiste...) dans le Conseil d'administration !

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  • Trop "gros", trop facile ! : Anne Hidalgo, ou comment parler de 45, pour ne pas parler, par exemple, du Système qui échoue, partout ?

    anne hidalgo,le pen,front national,nazismeAnne Hidalgo n'est pas n'importe qui. Premier Adjoint au Maire de Paris, elle aspire à devenir son successeur. Ses propos ne sont donc que très rarement anodins...

    Or, elle a cru bon, récemment, de devoir attaquer le Front national, "un parti qui a soutenu pendant la guerre la collaboration avec les nazis"...

    Dans un domaine un peu différent, mais qui rejoint notre propos malgré tout, on avait eu, il y a quelques mois, une autre savoureuse illustration d'inculture stupéfiante lorsq'un chroniqueur radio avait déclaré, sans sourciller, que les Antilles faisaient partie de la République française depuis le XVIème siècle... A ce stade, comme le disait Bainville, on n'a  qu'une envie, c'est de tirer l'échelle !

    Nous ne reprochons pas à Madame Hidalgo de ne pas aimer le Front national, ni Marine Le Pen, ni son père. Et nous n'avons pas pour but, ni pour désir, de nous substituer à ce parti pour le défendre, ce qu'il est parfaitement capable de faire tout seul.

    Notre but, il est bien connu, est de proposer une autre politique "étant réellement d'opposition, c'est-à-dire prêchant ouvertement la subversion du Régime"... (Léon Daudet).

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  • Notre entretien sur Charles Maurras à Martigues, avec Georges Bourquard, du Dauphiné libéré (I/V)

    maurras,chemin de paradisLa journée d'hommage à Charles Maurras du premier septembre a fait son petit effet, et a eu son petit retentissement...

    Une semaine après, Georges Bourquard, journaliste au Dauphiné libéré, qui avait lu les comptes-rendus de lafautearousseau, mais qui ne connaissait pas Martigues, a voulu venir se rendre compte par lui-même de ce que représentait le lieu, et profiter de l'occasion pour éclaircir quelques points sur Maurras et le royalisme. Il a pris contact avec nous, és-qualité en quelque sorte, pour savoir si nous accepterions de répondre à ses questions, ce qui, pour nous, allait de soi : tisser des liens de courtoisie et de respect mutuel avec des journalistes qui font l'effort de ne pas se satisfaire du "prêt à penser", ni du "politiquement correct", mais qui font au contraire l'effort de vérifier par eux-mêmes, c'est aussi cela aller à la rencontre de nouveaux publics, et travailler à faire sortir nos idées du ghetto; ne pas rester dans sa tour d'ivoire.  

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  • La Révolution française désavouée par François Hollande ?...

    hollande,revolutionSi les mots ont un sens, on notera avec gourmandise que la Révolution française, és-qualité, semble bien avoir été désavouée par son lointain héritier et successeur, François Hollande !

    Ou alors, on a mal entendu, mal lu...

    Ou alors, les mots n'ont plus de sens...

    Le président, lors de l'inauguration - mardi 18 septembre 2012 - du nouveau département des arts de l'Islam au Louvre à Paris, a dénoncé "l'insondable bêtise" des destructeurs de patrimoine, y voyant "une agression à l'égard de toutes les civilisations".

    Il y a des "grands ancêtres" qui ont dû se sentir mal...

    Illustration : l'une des têtes de la Galerie des Rois de Judas, sur la façade de Notre-Dame de Paris, mises à bas par les iconoclastes révolutionnaires : ajoutant leur ignorance à leur vandalisme, les révolutionnaires avaient pris ces têtes de rois de Judas pour des têtes de rois de France, et les avaient donc, purement et simplement, faites tomber, et mutilées, les abandonnant a même le sol.... "Insondable bêtise", donc, leur répond aujourd'hui le Président Hollande...

    Aujourd'hui, cette statue se trouve au Musée de Cluny, comme les autres. Sa photo a servi d'illustration de couverture au remarquable ouvrage de Pierre Boutang, Reprendre le pouvoir

    Pour ceux que l'Histoire intéresse, voir notre Epéhéméride du 26 octobre :  

    OCTOBRE 1793 :  Quand la Terreur s'abat sur Notre Dame….. ou : L'incroyable histoire des statues des rois de Juda.....

  • Prenons-le avec le sourire : les "crucifixions" que suppose, pour ses défenseurs, le "mariage gay"...

    Le sujet est sérieux et, comme tout sujet, politique. On se bornera, ici, à sourire des réactions indignées aux propos du cardinal Barbarin. Pourquoi en sourire ?  Parce que la très grande plupart de ceux qui vilipendent le Primat des Gaules n'a a la bouche, en temps normal, que ces autres mots : parité, rejet du sexisme, non au discriminant, diversité, différence...

    Mais, lorsque les mêmes qui nous cassent les oreilles vingt-quatre heures sur vingt-quatre avec les mots précités viennent prôner la mise ensemble de deux hommes, ou de deux femmes, on est tenté de leur demander, dans ce "couple"-là, ou est la sacro-sainte parité ? Et, tant qu'on y est, s'il n'est pas discriminant, mettant deux femmes ensemble, d'exclure un homme (ou, pour deux hommes, d'exclure une femme..) ? Serait-ce - horresco referens... - du sexisme ? Et où sont, là, la diversité et la différence, vertus sublimement transcendantales dans les bouches de la cléricature médiatique et du politiquement correct qui sévissent partout aujourd'hui ?

    On les plaint d'être ainsi crucifiés entre toutes leurs belles paroles, parfois contradictoires...

    Décidemment, on aura beau dire et beau faire, le rire reste bien souvent l'arme utile, l'arme ultime, l'arme fatale comme le dit le titre d'un film...

  • "La confusion des genres", Préface de Jean-François Mattéi pour "La querelle des genres", du docteur Christian Flavigny...

    Jean-François Mattéi nous avait signalé, il y a quelques jours, la sortie du livre du docteur Flavigny, en soulignant l'importance de cet ouvrage par le message que nous avions reproduit :

    Chers amis,

    Si la question des Gender studies vous intéresse, ne serait-ce que pour en réfuter les sophismes, reportez-vous à La Querelle du genre, du Docteur Christian Flavigny (pédopsychiatre)  que les PUF m'ont demandé de préfacer.

    L'ouvrage vient de paraître ou va paraître incessamment, et c'est l'exposé le plus remarquable que l'on trouve sur le sujet.

    Bien amicalement à tous,

    Jean-François Mattéi   

    mattei,theorie du genre,gender,gender studies 

    Presses universitaires de France, 168 pages, 15,20 euros

    Aujourd'hui, Jean-François Mattéi nous envoie la Préface qu'il a rédigée, accompagnée, du petit billet suivant (extrait) : 

    "...Je vous envoie ci-dessous la préface, intitulée "La confusion des genres", que j'ai rédigée pour le livre du Dr Christian Flavigny La Querelle du Genre qui vient de paraître. Je n'ai rédigé que la préface, mais elle est très critique sur les "gender studies". Cela pourra intéresser les lecteurs du site..."

    Nous l'en remercions vivement; voici le texte :

    La_confusion_des_Genres.pdf

  • Recyclage et ré-insertion : Harlem Désir à la tête du PS...

    harlem désir,psPeu importe à quoi, quand et pourquoi il a été condamné.

    L'important c'est qu'il a été condamné, qu'il a perçu un salaire pour un emploi fictif pendant un an, et qu'on avait cru comprendre que "Moi, président" il n'y aurait pas de condamnés à des postes importants. Ni à aucun poste tout court.

    Mais, ça, c'était "avant"...

    Il faut donc croire - puisqu'on le voit... - que "moi, normal" et "moi, président", ça fait deux !

    Maintenant, c'est vrai aussi que, au PS, si on vire tous les condamnés, ce ne sera plus un parti mais un "Emmenthal" (vrai nom du fromage que certains appellent "Gruyère"...)

    (Illustration : par René Le Honzec, "Un tramway nommé désir...)

  • Une couverture - et un bouquin - qui devraient "interpeller quelque part"...

    ...tous les déçus des "sans jours"...

    melenchon,hollande

  • Cahuzac se fait plein d'ennemis...

    cahuzac,duflotC'est normal : il doit trouver dix milliards en rabotant les dépenses de ce gouvernement tentaculaire (quarante, là où dix compétents, bien secondés, suffiraient...). Autant dire que "ça coince" dans tous les coins, et qu'on a très largement dépassé le stade des mots "aigres-doux" : maintenant c'est "aigre-aigre", toujours plus aigre...

    La pire, dans la rage, c'est Cécile Duflot (de cannabis) : vous savez, celle qui est arrivée en blue-jeans à son premier Conseil des ministres (très classe !); celle qui a écrit sur son compte Twitter, en apprenant la nouvelle de sa nomination (qui n'en n'était pas une) : "Waouh, ministre !" (en français dans le texte !); celle qui a demandé une bonne trentaine de décorations de la Légion d'honneur pour le 14 juillet (c'est sacré, les copains, ça ne s'oublie pas, c'est bien connu) : bref, comme disait Léon Daudet, "une authentique haute en toc".

  • L'entretien de François Hollande sur TF1 vu par... Léon Daudet !

    (Il a su se faire élire - plus "par défaut" et par rejet du président sortant que par adhésion... - grâce à la magie ou à l'enfumage du verbe, dont il a joué au maximum : magie qui, là non plus, n'aura pas duré cent jours : à peine élu, il bat déjà des records d'impopularité; le roi est, déjà, nu...)

            C'est le moment de se rappeler ce mot cruel, mais si juste de Léon Daudet : "On peut toujours assembler des mots. La difficulté commence quand il s'agit de faire marcher ensemble les choses représentées par ces mots..."

  • "Le changement c'est maintenant" : l'exquis "Je vous emmerde" d'Audrey Pulvar, sur Twitter...

            ...en réponse à quelqu'un qui lui avait fait une réflexion sur ses vacances de luxe, tout à fait conformes au style gauche caviar : "je suis pour les immigrés mais de loin et dès que j'ai fini mon numéro de "pub pour moi" devant les caméras je retourne vite fait à mon-caviar/foie gras à la louche..."

            Il a bonne mine, François "le normal", avec son "le changement, c'est maintenant", car si un "casse-toi, alors, pauvre con" n'était franchement pas terrible, on voit mal en quoi un "je vous emmerde" marque un réel progrès...

            Ah, au fait, celle qui "emmerde" avec tant de classe, de distinction et d'élégance est, accessoirement, la compagne du ministre du redressement productif.

            Pour l'instant, c'est plutôt "l'effondrement chômageux", mais bon...

  • François Normal : pour ses "Cent jours", un grand "couac" révélateur...

            Rendre hommage à deux gendarmes tués en service, quoi de plus naturel pour le Chef de l'Etat, chef des Armées ? Mais le faire deux mois après, n'est-ce pas une drôle d'idée ? Une idée (un "coup" ? ) que l'on pourrait qualifier de baroque, si elle n'était insultante, et en tout cas jugée telle par les familles, furieuses...

            Que Le Figaro soit critique sur ces cent jours, rien d'étonnant. Mias que L'Humanité titre "Le changement, c'est pour quand ? " ou que L'Est républicain écrive du Président Normal Premier qu'il s'agit de "posture" ou de "cabotage" pendant l'été, c'est plus inquiétant pour lui.

            La vérité est que le roi est nu. Il a cru et voulu croire, et voulu faire croire, lui et les siens, qu'il suffisait de parler, de "dire" et d'employer de grands mots, geste énergique du menton à l'appui; et que "la parole", "le dire", l'incantation seraient supérieurs aux dures réalités. Mais les choses ne marchent pas ainsi...

            François Normal éprouve aujourd'hui, cent jours après, à peine, ce que disait Léon Daudet : "On peut toujours assembler des mots. Le difficile commence quand il s'agit de faire marcher ensemble les choses représentées par ces mots..."

              Parfaite analyse de la situation actuelle de François-dit--le-normùal. Cent jours après, à peine...

  • C'est "Dallas à l'Elysée : hier, c'était "François contre François"; aujourd'hui, c'est "Christiane contre François"...

            1. Est-ce encore un PS ?

            2. Est-ce encore un gouvernement ?

    1. Le plus élémentaire respect des gens et des électeurs obligera bien, un jour ou l'autre, le PS a dire lequel des deux François a raison, puisque François le normal a dit et fait exactement le contraire de François Mitterand, sur un sujet "politique" majeur (la repentance de la France ...) : lequel a dit vrai ? Lequel le PS "garde"-t-il, et lequel "exclut"-il ?...

    2. Aujourd'hui, c'est le Garde des Sceaux qui contredit publiquement le Chef de l'Etat : le doublement des centres fermés d'éducation - promis par le candidat Hollande -  n'est pas une priorité pour Madame Taubira. En son temps, Chevènement avait dit qu'un ministre "ça fermait sa gueule ou ça démissionnait". Christiane Taubira ni ne la ferme, ni ne démissionne : ce n'est plus un gouvernement, c'est le bateau ivre.

    Avec, à sa tête, pour affronter cette tempête et les autres, un Président affaibli, "monsieur tiers", soutenu par une majorité à l'Assemblée qui a raflé 52% des sièges, mais avec à peine 16,5 des inscrits, soit 29% des suffrages exprimés pour le PS au premier tour...

  • Cécile Duflot : du flot de cannabis, et de la légion d'honneur...

            On connaît l'action de "la" ministre du Logement pour la légalisation du cannabis : les parents, familles et amis des victimes fauchés en ville ou sur les routes par des chauffards ayant consommé du cannabis apprécient...

             Mais la ministre fait toujours mieux : elle vient de décerner deux croix d'officier et vingt-huit croix de chevalier de la Légion d'honneur ! Un record !

              Elle porte biens on nom : Dufflot, du flot...

    PS : Certains se demandent si "la" Ministre avait "fumé" avant de donner sa liste: mais où vont-ils chercher tout ça ? Les gens sont vraiment méchants...