Emmanuel Macron, c’est Demolitor ! par Jean-Yves Le Gallou
La séquence de Noël s’inscrit dans cette logique.
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La séquence de Noël s’inscrit dans cette logique.
Nous sommes le jeudi 26 décembre 2019 et Emmanuel Macron n’a pas eu un mot pour les chrétiens et plus généralement sur la fête de Noël. Étrange au vu de ses propos sur une autre fête religieuse…
Le 20 juin 2017 Emmanuel Macron écrivait sur compte Twitter « L’Iftar est un moment de partage. Je le partage ce soir avec la communauté musulmane française. »
Le Président de la république, si prompt d’habitude à s’occuper des fêtes religieuses a « oublié » de souhaiter un joyeux Noël aux français. Pas un mot, pas un geste à l’occasion de l’une des fêtes les plus importantes du christianisme.
Ni politique, ni respectueux, ni cohérent. C’est ainsi que nous pourrions résumer l’attitude du Président le 25 décembre. Pourtant avec les grèves, des familles étaient divisées à cause des trains annulés ou des imprévus liés au mouvement social. La moindre des choses aurait été de s’adresser à ces gens là. Mais surtout Noël est une fête héritée de nos racines chrétiennes pourquoi l’ignorer ?
Chrétiens, familles, travailleurs qui n’a pas été humilié par ce Président ?
Paris est devenu un enfer, sauf pour la garde verte d’Hidalgo. Des foules compactes de piétons se bousculent sur les trottoirs, ou guettent avec angoisse la surprise d’un vélo ou d’une trottinette qui slaloment à toute vitesse et dans tous les sens, et bien sûr ne s’arrêtent pas aux feux rouges. Le passage d’une rive à l’autre est une aventure, soit parce que les voitures, et plus encore les motos, tentent d’échapper aux embouteillages, soit parce que le flux étant figé, il faut passer entre deux voitures en zigzagant et en évitant les deux roues qui font la même chose, mais en sens inverse.
Le dysfonctionnement judiciaire n’est pas une fatalité. Il résulte d’une technique érigée en science exacte, régie par des lois écrites et non écrites auxquelles sont initiés des acteurs, les uns opérant en col blanc dans le domaine économique et financier, les autres, officiant en robe noire dans le domaine judiciaire. Tous défendent une même communauté d’intérêts et tous sont issus de sanctuaires élitistes qui les "dressent" à l’art subtil de la spoliation crapuleuse assurée d’impunité par la perversion des décisions judiciaires.
Invité de "Politique-Eco", Ernest Pardo, chef d'entreprise et expert en dysfonctionnement judiciaire, présente son ouvrage "La supercherie judiciaire - De la criminalité en col blanc à la criminalité en robe noire".
François-Bernard Huyghe, politologue, essayiste français et auteur de ce livre "L'art de la guerre idéologique" (ed du Cerf) est l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio !
Le Premier ministre a dévoilé ce mercredi son projet de réforme des retraites. Un projet flou et trompeur pour Joseph Thouvenel, secrétaire confédéral de la CFTC.
À 2.415 milliards d'euros, la dette est à nouveau en hausse de 0.9 point et dépasse le seuil fatidique des 100% du PIB.
STOP, LE SYSTEME, OU ENCORE ?
POUR NOUS, C'EST : STOP !
VIVE LE ROI !
Affiche de l'Union Royaliste Provençale, décennie 70/80...
Le mandat présidentiel en cours dans notre pays est une mystification, une tromperie sur la marchandise électorale vendue en 2017. La publicité annonçait le dépassement de l’affrontement idéologique stérile entre la gauche et la droite au profit d’un rassemblement des compétences et des bonnes volontés pour redresser le pays et l’adapter au monde actuel, à la modernité économique et politique.
Nos auditeurs se sont sans doute aperçus de ma réserve sur la querelle des retraites et le mouvement qui paralyse une partie du pays. Ce n’est pas que je m’en désintéresse et que je n’ai pas d’avis sur le fond. Ma réticence tient à deux causes. La première, c’est mon incompétence ou mon manque de compétence. Il y a des éléments techniques que je ne maîtrise pas, notamment sur la question des financements. La seconde cause tient au respect que j’ai à l’égard de mes amis auditeurs et qui m’interdit de leur imposer un avis qui relève de leur propre appréciation.
Audrey Sauvajon était l'invitée d'André Bercoff pour présenter son livre "La Tête haute". Dans cet ouvrage, elle raconte l'histoire de son fils Marin, tabassé après avoir pris la défense d'un couple victime d'agression.