Sur Sud Radio avec André Bercoff : Emission spéciale 5 décembre - débat sur la grève !
André Bercoff reçoit Charles Gave, économiste, Rafik Smati et Mathieu Bock-Côté sur Sud Radio !
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André Bercoff reçoit Charles Gave, économiste, Rafik Smati et Mathieu Bock-Côté sur Sud Radio !
"Je porte ma condamnation pour rébellion comme une décoration", déclare Mélenchon, qui a oscillé entre le pitre et l'énergumène dans cette grotesque affaire qui lui a valu ses trois mois de prison (à peine). Et avec sursis, encore !
Et il se prétendrait "décoré" ? Il se croirait "rebelle" ?
Allons donc !
C'est Bayrou qui a rendu possible l'élection de Macron, en se ralliant à lui dès avant le premier tour de la Présidentielle.
Comme récompense, il fut fait Garde des Sceaux, et eut deux ministres Modem avec lui (Marielle de Sarnez et Sylvie Goulard) : leur mot d'ordre était "moraliser la vie publique", "plus d'ancien monde et ses turpitudes, vive le nouveau, tout propre, tout beau".
Bref, comme aurait dit Coluche, on allait laver plus blanc que blanc, et il y avait un nouvel Omo !!!!!
Las ! Un mois à peine après sa nomination, le trio devait démissionner pour une sombre affaire de casserole : on passait de la lessive au cuisiniériste, et en fait de nouvel Omo, on tombait chez Schmidt ou Mobalpa, évidemment en bien pire !!!!
Eh, oui ! C'est bien beau de moraliser à tout va, de faire la leçon à tous, toujours et partout, et de dire qu'on va voir ce qu'on va voir : on a vu...
Et aujourd'hui Bayrou, après les autres, est mis en examen.
Il aurait du méditer le proverbe africain, avant de se présenter en Monsieur propre (pardon : en Monsieur plus propre que propre) : quand le singe monte au cocotier, il faut qu'il ait les fesses propres !
Il aurait du lire aussi La tasse de Saxe, recueil de contes courts de Jacques Bainville : il aurait ainsi pu s'appliquer à lui-même la conclusion du conte La coutume des Samnites : "Gardons-nous de légiférer, lui répondit Tanore".
En l'appliquant à son cas, il aurait entendu une petite voix lui susurrer à l'oreille : gardons-nous de moraliser...
lafautearousseau
En politique, la désignation de l’ennemi est primordiale. C’est ce que le Président de la République avait heureusement rappelé au Secrétaire Général de l’Otan lors de sa visite à Paris. L’humanisme des démocraties décadentes répugne cependant à cette désignation même quand il ne manque pas de se désigner lui-même, comme l’islamisme le fait avec insistance. Le président de la république, lui-même, n’est pas très clair à ce sujet. Il se veut l’incarnation du progressisme et pointe les régimes autoritaires conservateurs comme étant les adversaires ou au moins les obstacles. Sans doute pourrait-on lui accorder que si les pays conservateurs sont pour lui des adversaires politiques, l’ennemi militaire est objectivement le terrorisme, et comme il l’a précisé dans sa conférence avec Trump, le terrorisme islamique. Mais cette réponse est pour le moins insuffisante.
Agnès Naudin, capitaine de police, et auteur du livre "Affaires d'ados - Porno, abus, sexualité" aux éditions du Cherche-Midi, est l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio.
Charlotte d'Ornellas rappelle que la France n'est pas la République, et que les "valeurs" (!) républicaines sont une construction parfaitement abstraite qui se croit être attachée à un type de gouvernance.
Quid des "valeurs" de la République islamique ou de la République populaire de Chine ?
Au matin d’une grève générale qui s’annonce de grande ampleur, bien malin qui pourrait établir un pronostic sur ses résultats, d’autant plus que les règles du jeu social ont été modifiées ces derniers mois avec le phénomène des Gilets jaunes. Il y a d’abord la crainte immédiate : comment va se dérouler cette journée ? Y aura-t-il les débordements que l’on redoute ? Le ministre de l’Intérieur lui-même annoncé la venue de plusieurs centaines de casseurs, ceux que l’on a vu à l’œuvre encore récemment. Est-il exact qu’on ne saurait les maîtriser alors qu’ils se fondent dans les cortèges ?
Le chef de la maison royale de France invité par la Marine nationale*. Le prince Jean d'Orléans, comte de Paris, prétendant au trône de France, invité aujourd'hui* à la cérémonie de remise de fanion de la promotion "Amiral de Joinville" suite à l'invitation de la "Royale", surnom que l'on donne à la Marine nationale .
Fils de Louis-Philippe Ier d'Orléans, prince du sang, François Ferdinand Philippe Louis Marie d’Orléans (1818-1900) fera ses classes respectivement à Toulon, avant de rejoindre brièvement la Corse, la Toscane, Naples et enfin Alger. Passionné par la Marine, il participera à la conquête des côtes barbaresques, future Algérie française. Voyageur infatigable, très populaire parmi les marins, le fils du roi des français s'illustre encore au Mexique et conduira le retour des cendres de l'empereur Napoléon Ier en 1840.
Marié à la princesse impériale du Brésil, Françoise de Bragance, il devient contre-amiral en 1843. Volontiers politique, il est un des rares princes à s'opposer à la politique du président François Guizot, président du Conseil jusqu'à la chute de la monarchie. Exilé, on pense alors à lui en 1852 afin qu'il prenne la présidence de la seconde république.Il faisait consensus face à Louis-Napoléon Bonaparte qui finit par s'emparer du pouvoir et proclamer le second empire.
Il participe à la guerre de sécession du côté du nord anti-esclavagiste et rejoint le duc de Chartres et le comte de Paris, Philippe (VII) d'Orléans, tous deux ses neveux engagés dans l'armée yankee. Il a d'ailleurs été croqué dans le n"53 des "Tuniques bleues", principal personnage de l'album intitulé "Sang bleu chez les Bleus ".
A la chute du second empire, il est élu député de Seine et Marne en 1871. La loi d'exil en 1886 le forcera à l'exil une nouvelle fois, entamant le dernier chapitre d'une vie qui aura été tumultueuse.
Le maire de Neuilly et le commandant de la Marine à Paris ont tenu à inviter le chef de la maison royale de France et honorer ainsi une dynastie qui a contribué à l'essor de sa marine durant la monarchie de juillet.
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*Photos suivront dans la journée.
Accompagné de Mustapha, Clément Martin est allé à Paris tester la sincérité des bobos sur leurs discours pro-migrants. Leurs réactions vont vous surprendre (ou pas).
« On a 150 milliards de réserve pour les retraites ! » Gilles Raveaud, professeur d'économie.
Extrait de l'émission « Les Experts », diffusée sur BFM Business le 25 Novembre 2019.
Les royalistes unis contre la réforme des retraites. La Nouvelle action royaliste (NAR) appelle les français à descendre dans la rue aujourd'hui afin d'empêcher "une réforme qui vise la destruction de notre système social" peut-on lire dans le dernier numéro de "Royaliste", le bimensuel de la NAR. "Défendre le principe de la solidarité nationale et la gestion paritaire de la sécurité sociale dans la perspective d'une augmentation générale des pensions, c'est pour nous autres royalistes et pour l'ensemble des citoyens une nécessité impérative" ajoute la NAR qui rappelle que lors de son congrès de mars 2003, elle s'est prononcée en faveur d'un régime universel.
L'Action française (AF ou CRAF) a , quant à elle, évoqué dans un tweet ce "prétendu État-providence (qui) a en fait adopté une règle unique : sauvegarder l'appareil d'État et rançonner les Français, "systémiquement" et "paramétriquement", tout en leur interdisant de se constituer une épargne sûre". Avant de dénoncer : "...la comédie de cette réforme grotesque annoncée, discutée, rediscutée, remise à plat est la pénible preuve de l'impossibilité à atteindre le Bien Commun dans un régime partisan où le parti au pouvoir n'a comme feuille de route que sa réélection et comme unique boussole le consensus".
"La réforme des retraites envisagée par (le Président Emmanuel) Macron et son gouvernement cumule les trois tares de la république française : une rage égalitaire, qui passe par la spoliation immédiate ou différée de certains Français" peut-on encore lire sur le compte Twitter du mouvement maurassien.
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L’avocat général a demandé la relaxe du Cardinal Barbarin, condamné en première instance pour non-dénonciation d’agressions sexuelles. Le journaliste Gérard Leclerc décrypte les enjeux de ce procès hautement symbolique.
45 milliards de Fraude sur les prestations sociales: L'Etat "ne veut pas connaître" la cause et donne des consignes aux administrations de ne pas répondre aux enquêteurs ... UN SCANDALE D'ETAT