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Comment un éditorialiste pourrait-il échapper à la situation d’un pays paralysé par la grève et au dossier épineux qui est à l’origine du mouvement social ? Difficile de se dérober ! Et pourtant, la difficulté technique de la réforme des retraites constitue déjà un fameux obstacle. Nous n’avons même pas encore le projet définitif du gouvernement.
Jean Yves Le Gallou, ancien député européen, président de la Fondation Polémia, animateur d'i média sur TV Libertés et auteur de "Album des Bobards d’Or" : 10 ans de Fake News des Médias ! (Via Romana) est l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio !
La semaine qui commence va être une nouvelle épreuve pour notre pays. Une fois de plus, va se poser le problème de la capacité de la France à mettre en oeuvre des réformes nécessaires. La question des retraites n’est pas nouvelle. Elle tient essentiellement à deux problèmes distincts : celui du financement de retraites capables d’assurer une vie digne à tous les retraités ; celui de l’équité des situations entre les retraités. L’espérance de vie, la démographie et le chômage ont creusé des déséquilibres entre les cotisations et les prestations. Les 42 régimes fondés sur la solidarité interne à une profession ont créé des inégalités issues de caractéristiques professionnelles qui ont changé et qui vont encore évoluer.
A l’automne 1991, le professeur Maurice Quénet déclarait, devant un amphithéâtre de la faculté de Droit de Rennes bondé d’étudiants attentifs et de quelques auditeurs libres, que désormais la France n’était plus en mesure de se nourrir par elle-même ! Le souvenir m’en est resté jusqu’à aujourd’hui, profondément ancré, et je l’évoque souvent devant mes propres élèves, en me désespérant de voir que, si j’en crois la lecture du dernier numéro de Marianne, les choses n’ont fait que s’aggraver, en ce domaine comme en d’autres. C’est Jean-Claude Jaillette qui en couronne son article d’un titre terrible : « Demain, la faim ? La France n’est plus capable de se nourrir elle-même. »
Un salon à consommer sans modération. Du 29 novembre au 2 décembre près d'un milliers de vignerons indépendants avaient rendez-vous avec la Porte de Versailles pour le salon des vignerons indépendants. Rien de moins que le plus grand salon de vente de vins de la planète. Du Jura au Rhône, de l'Anjou au Languedoc et de la Provence à l'Alsace, les amateurs de vins, il y en avait pour tous les goûts avec la possibilité d’échanger directement avec les vignerons. Pas de négociants, pas de caves coopératives, seulement des indépendants passionnés, proches de leurs terroirs et des consommateurs. En effet, le vigneron indépendant assure tout en totale autonomie. De la culture à la vente, il contrôle la qualité de ses vins, le tout dans le respect de la tradition et de l'environnement. A contre-courant de la logique financière des grands négociants, les vignerons indépendants sont le reflet d'une mouvance d'avenir qui s'inscrit dans un retour au local de plus en plus en vogue chez les Français.
André Bercoff revient sur la loi PPLCyberhaine, danger de censure? Et il reçoit Andréa Kotarac et Djordje Kuzmanovic pour une émission spéciale Souverainisme.
L'agriculture française est en danger, les paysans investissent le périphérique parisien.
A l'initiative de la FNSEA et des Jeunes Agriculteurs, mercredi 27 novembre 2019, un millier d'agriculteurs français se sont donnés rendez-vous massivement à Paris, mais également dans les principales grandes villes françaises, pour manifester leur mécontentement. Ils sont venus de toute la France en tracteur pour bloquer entre autre le périphérique parisien. Leurs revendications ? Mettre la pression sur la grande distribution et ses fournisseurs alors que viennent de commencer les négociations commerciales annuelles qui fixent les prix pour un an. L’équipe du Média Pour Tous est allée à leur rencontre.
Le comte de Paris, le prince Jean d'Orléans prend position dans Politique magazine et publie une tribune sur les "déserts médicaux" tout en proposant des solutions à ce problème. Une intervention inattendue dans ce débat de société qui touche tout un chacun.
En permettant aux médecins d’aller vers leurs patients et en transférant aux infirmières une partie du pouvoir prescriptif, la situation quotidienne de millions de Français pourrait aller en s'améliorant.
« Oh tendre France, douce gardienne de mon baptême,
Prenez ici ma vie, je vous en fais le don,
Veillez sur ma famille et tous les gens que j’aime,
Et rendez je vous prie mon sacrifice fécond… »
C’est le capitaine Clément Frison-Roche, l’un des treize militaires décédés au Mali dans le cadre de l’opération Barkhane, qui en écrivant ce poème, nous livre la leçon de son sacrifice et nous implore de la méditer. Âgé de 28 ans, marié et père d’un enfant, n’est-il pas un bel exemple de don total à une cause supérieure ? En l’espèce, celle de la France, celle aussi de sa mission dans le monde au service de la paix. La paix dans une Afrique sahélienne gravement menacée par le terrorisme islamique. Il est vrai, par ailleurs, qu’un certain climat moral ne se prête guère à l’estime du don de soi, alors qu’il n’est question que de développement personnel et plus généralement de culture de l’individualisme. Le pacifisme intégral demeure une tentation, à l’instar de la mentalité des Grünen dans l’Allemagne des années 80 qui proclamaient : « Plutôt rouges que morts. »
Venus participer à une Assemblée Générale à Sciences Po Rennes, des étudiants de l'Action Française Rennes ont été violemment agressés par un groupe de soit-disant Antifas, en réalité terroristes révolutionnaires. Ils racontent à Valeurs actuelles les violences subies. Ils ont été ensuite agressés dans les couloirs de l'IEP.
Les courbes de popularité favorables au duo présidentiel, Emmanuel Macron et Édouard Philippe, n'ont "rien d'exceptionnel" pour Éric Zemmour, qui persiste à dire que "le quinquennat est mort".
Il y a une incroyable distance entre la prodigieuse puissance militaire de l’Otan, le poids économique de ses membres, et la réunion mondaine dont le 70e anniversaire a donné l’affligeant spectacle à Londres. M. Macron avait joué les matamores en renversant la table avec la formule ravageuse de « l’Otan en état de mort cérébrale ». Des critiques acerbes lui avaient répondu : Le président turc Recep Tayyip Erdogan n’avait pas hésité à l’insulter, le Président Trump à le gourmander, et Mme Merkel à se désolidariser…. On allait voir ce que l’on allait voir…. Et, on n’a rien vu du tout !
DÉBAT - L'avenir du parti Les Républicains apparaît incertain sur la scène politique française après son score décevant des élections européennes. À tel point qu'il va "mourir" selon Éric Zemmour.