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Charlotte d'Ornellas rappelle que la France n'est pas la République, et que les "valeurs" (!) républicaines sont une construction parfaitement abstraite qui se croit être attachée à un type de gouvernance.
Quid des "valeurs" de la République islamique ou de la République populaire de Chine ?
Au matin d’une grève générale qui s’annonce de grande ampleur, bien malin qui pourrait établir un pronostic sur ses résultats, d’autant plus que les règles du jeu social ont été modifiées ces derniers mois avec le phénomène des Gilets jaunes. Il y a d’abord la crainte immédiate : comment va se dérouler cette journée ? Y aura-t-il les débordements que l’on redoute ? Le ministre de l’Intérieur lui-même annoncé la venue de plusieurs centaines de casseurs, ceux que l’on a vu à l’œuvre encore récemment. Est-il exact qu’on ne saurait les maîtriser alors qu’ils se fondent dans les cortèges ?
Le chef de la maison royale de France invité par la Marine nationale*. Le prince Jean d'Orléans, comte de Paris, prétendant au trône de France, invité aujourd'hui* à la cérémonie de remise de fanion de la promotion "Amiral de Joinville" suite à l'invitation de la "Royale", surnom que l'on donne à la Marine nationale .
Fils de Louis-Philippe Ier d'Orléans, prince du sang, François Ferdinand Philippe Louis Marie d’Orléans (1818-1900) fera ses classes respectivement à Toulon, avant de rejoindre brièvement la Corse, la Toscane, Naples et enfin Alger. Passionné par la Marine, il participera à la conquête des côtes barbaresques, future Algérie française. Voyageur infatigable, très populaire parmi les marins, le fils du roi des français s'illustre encore au Mexique et conduira le retour des cendres de l'empereur Napoléon Ier en 1840.
Marié à la princesse impériale du Brésil, Françoise de Bragance, il devient contre-amiral en 1843. Volontiers politique, il est un des rares princes à s'opposer à la politique du président François Guizot, président du Conseil jusqu'à la chute de la monarchie. Exilé, on pense alors à lui en 1852 afin qu'il prenne la présidence de la seconde république.Il faisait consensus face à Louis-Napoléon Bonaparte qui finit par s'emparer du pouvoir et proclamer le second empire.
Il participe à la guerre de sécession du côté du nord anti-esclavagiste et rejoint le duc de Chartres et le comte de Paris, Philippe (VII) d'Orléans, tous deux ses neveux engagés dans l'armée yankee. Il a d'ailleurs été croqué dans le n"53 des "Tuniques bleues", principal personnage de l'album intitulé "Sang bleu chez les Bleus ".
A la chute du second empire, il est élu député de Seine et Marne en 1871. La loi d'exil en 1886 le forcera à l'exil une nouvelle fois, entamant le dernier chapitre d'une vie qui aura été tumultueuse.
Le maire de Neuilly et le commandant de la Marine à Paris ont tenu à inviter le chef de la maison royale de France et honorer ainsi une dynastie qui a contribué à l'essor de sa marine durant la monarchie de juillet.
Ambiguïté fondamentale : le Téléthon permet une avancée spectaculaire de la recherche, donc des soins, et fait de toute évidence progresser la médecine et reculer les maladies.
Et des milliers de Français font pour l'occasion, à travers tout le territoire, preuve d'une générosité et d'une solidarité admirables, qui forcent le respect et qui font chaud au coeur : de quoi oublier un temps les laideurs, mesquineries et autres égoïsme ou bas matérialisme qui enlaidissent trop souvent notre quotidien...
Pas question, donc, pour nous, de critiquer en blocle Téléthon, ni de dire ou faire quoi que ce soit contre le magnifique élan de générosité, de solidarité et... de progrès médicaux qu'il représente et qu'il rend possibles.
Mais l'AFM (Association française contre la myopathie) utilise la méthode condamnable de l'utilisation, puis la destruction, de cellules souches embryonnaires, ce qui pose un grave problème d'ordre éthique, et qui est condamné aussi bien par l'Eglise que par la Fondation Jérôme Lejeune.
Voilà pourquoi, en ce jour d'ouverture du Téléthon, nous tenons à réaffirmer que, si la part noble et saine de ce grand mouvement est évidemment à encourager, il y a une chose tout aussi importante à faire : ne surtout pas oublier la Fondation Jérôme Lejeune...
Jean Paul II sur la tombe du Professeur Jérôme Lejeune
Accompagné de Mustapha, Clément Martin est allé à Paris tester la sincérité des bobos sur leurs discours pro-migrants. Leurs réactions vont vous surprendre (ou pas).
Les royalistes unis contre la réforme des retraites. La Nouvelle action royaliste (NAR) appelle les français à descendre dans la rue aujourd'hui afin d'empêcher "une réforme qui vise la destruction de notre système social" peut-on lire dans le dernier numéro de "Royaliste", le bimensuel de la NAR. "Défendre le principe de la solidarité nationale et la gestion paritaire de la sécurité sociale dans la perspective d'une augmentation générale des pensions, c'est pour nous autres royalistes et pour l'ensemble des citoyens une nécessité impérative" ajoute la NAR qui rappelle que lors de son congrès de mars 2003, elle s'est prononcée en faveur d'un régime universel.
L'Action française (AF ou CRAF) a , quant à elle, évoqué dans un tweet ce "prétendu État-providence (qui) a en fait adopté une règle unique : sauvegarder l'appareil d'État et rançonner les Français, "systémiquement" et "paramétriquement", tout en leur interdisant de se constituer une épargne sûre". Avant de dénoncer : "...la comédie de cette réforme grotesque annoncée, discutée, rediscutée, remise à plat est la pénible preuve de l'impossibilité à atteindre le Bien Commun dans un régime partisan où le parti au pouvoir n'a comme feuille de route que sa réélection et comme unique boussole le consensus".
"La réforme des retraites envisagée par (le Président Emmanuel) Macron et son gouvernement cumule les trois tares de la république française : une rage égalitaire, qui passe par la spoliation immédiate ou différée de certains Français" peut-on encore lire sur le compte Twitter du mouvement maurassien.
L’avocat général a demandé la relaxe du Cardinal Barbarin, condamné en première instance pour non-dénonciation d’agressions sexuelles. Le journaliste Gérard Leclerc décrypte les enjeux de ce procès hautement symbolique.
45 milliards de Fraude sur les prestations sociales: L'Etat "ne veut pas connaître" la cause et donne des consignes aux administrations de ne pas répondre aux enquêteurs ... UN SCANDALE D'ETAT
Après le constat amer de la récupération des Gilets jaunes par une extrême gauche violente et antinationale donc antipopulaire, les antilibéraux conservateurs prennent une part active dans la contestation de la réforme des retraites.
Ce 5 décembre au matin, une vingtaine de militants, majoritairement lycéens, de la Fédération Île de France de l’Action Française, sont intervenus au lycée Montaigne (VIè arrondissement de Paris) qui menaçait d’être bloqué par des organisations de gauche. Une action couronnée de succès et somme toute pacifique quoique les photos montrent les royalistes casqués (« Seules quelques poubelles avaient été placées devant l’entrée du lycée », raconte le président de la Fédération d’Île de France Étienne Lombard), une action pour le moment isolée mais qui témoigne du rôle actif et complexe que veut jouer le groupe royaliste dans le mouvement social actuel.
Policiers brûlés à Viry-Châtillon en 2016 : 10 à 20 ans de réclusion pour 8 accusés, 5 acquittements : c'est pour nous, et pour l'immense majorité des Français, un SCANDALE ENORME !
« Le premier procès Barbarin fut un grand procès pour les victimes du Père Preynat. Celui en appel pourrait être un grand procès pour le droit. » C’est Pascale Robert-Diard, de la rédaction du Monde, qui émet cette appréciation fondée sur une analyse précise de l’intervention de Joël Sollier, représentant du ministère public au Palais de justice de Lyon. Pour l’avocat général, l’archevêque de Lyon ne saurait être condamné pour non dénonciation d’agressions sexuelles, comme le voulait un certain nombre de victimes du Père Preynat. Ainsi dément-il le verdict du précédent procès, où le cardinal Barbarin avait été condamné à six mois de prison avec sursis. Pascale Robert-Diard affirme même que Joël Sollier s’est montré sévère à l’adresse des juges de première instance. N’a-t-il pas parlé d’une « chimère » juridique « qui ne répondrait qu’à un impératif idéologique dont les conséquences dévastatrices n’ont, à l’évidence, pas été suffisamment pesées » ?
Le long entretien accordé par le Président syrien Bachar Al-Assad à Paris-Match produit un redoutable effet de miroir. Il n’apprend rien de vraiment nouveau sur la Syrie dès lors qu’on s’est intéressé sérieusement au sujet depuis le début de la crise. Une armée étrangère, appelée à l’aide, ne peut à elle seule, surtout lorsqu’elle est essentiellement aérienne, assurer la victoire d’un gouvernement rejeté par une large majorité de sa population, et confronté à un soulèvement armé. Depuis 2011, le « régime » baasiste a toujours bénéficié du soutien d’une large partie du peuple syrien. L’image tronquée donnée par les médias français de la bataille d’Alep était révélatrice. Dans cette grande ville syrienne proche de la Turquie, alors qu’on se battait dans la moitié la plus ancienne de la cité que des bandes armées avaient occupée, dans l’autre, la plus moderne et la plus peuplée, le gouvernement légal et son armée sont toujours restés maîtres de la situation, même lorsque leur encerclement était complet. Lorsque la partie orientale a été libérée, ce fut une vague de liesse à l’ouest.