L'Action française Toulouse rend hommage à Latécoère fleuron aéronautique désormais sous pavillon américain

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Le chef de la maison royale de France invité par la Marine nationale*. Le prince Jean d'Orléans, comte de Paris, prétendant au trône de France, invité aujourd'hui* à la cérémonie de remise de fanion de la promotion "Amiral de Joinville" suite à l'invitation de la "Royale", surnom que l'on donne à la Marine nationale .
Fils de Louis-Philippe Ier d'Orléans, prince du sang, François Ferdinand Philippe Louis Marie d’Orléans (1818-1900) fera ses classes respectivement à Toulon, avant de rejoindre brièvement la Corse, la Toscane, Naples et enfin Alger. Passionné par la Marine, il participera à la conquête des côtes barbaresques, future Algérie française. Voyageur infatigable, très populaire parmi les marins, le fils du roi des français s'illustre encore au Mexique et conduira le retour des cendres de l'empereur Napoléon Ier en 1840.
Marié à la princesse impériale du Brésil, Françoise de Bragance, il devient contre-amiral en 1843. Volontiers politique, il est un des rares princes à s'opposer à la politique du président François Guizot, président du Conseil jusqu'à la chute de la monarchie. Exilé, on pense alors à lui en 1852 afin qu'il prenne la présidence de la seconde république.Il faisait consensus face à Louis-Napoléon Bonaparte qui finit par s'emparer du pouvoir et proclamer le second empire.
Il participe à la guerre de sécession du côté du nord anti-esclavagiste et rejoint le duc de Chartres et le comte de Paris, Philippe (VII) d'Orléans, tous deux ses neveux engagés dans l'armée yankee. Il a d'ailleurs été croqué dans le n"53 des "Tuniques bleues", principal personnage de l'album intitulé "Sang bleu chez les Bleus ".
A la chute du second empire, il est élu député de Seine et Marne en 1871. La loi d'exil en 1886 le forcera à l'exil une nouvelle fois, entamant le dernier chapitre d'une vie qui aura été tumultueuse.
Le maire de Neuilly et le commandant de la Marine à Paris ont tenu à inviter le chef de la maison royale de France et honorer ainsi une dynastie qui a contribué à l'essor de sa marine durant la monarchie de juillet.
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*Photos suivront dans la journée.
Accompagné de Mustapha, Clément Martin est allé à Paris tester la sincérité des bobos sur leurs discours pro-migrants. Leurs réactions vont vous surprendre (ou pas).
« On a 150 milliards de réserve pour les retraites ! » Gilles Raveaud, professeur d'économie.
Extrait de l'émission « Les Experts », diffusée sur BFM Business le 25 Novembre 2019.
Les royalistes unis contre la réforme des retraites. La Nouvelle action royaliste (NAR) appelle les français à descendre dans la rue aujourd'hui afin d'empêcher "une réforme qui vise la destruction de notre système social" peut-on lire dans le dernier numéro de "Royaliste", le bimensuel de la NAR. "Défendre le principe de la solidarité nationale et la gestion paritaire de la sécurité sociale dans la perspective d'une augmentation générale des pensions, c'est pour nous autres royalistes et pour l'ensemble des citoyens une nécessité impérative" ajoute la NAR qui rappelle que lors de son congrès de mars 2003, elle s'est prononcée en faveur d'un régime universel.
L'Action française (AF ou CRAF) a , quant à elle, évoqué dans un tweet ce "prétendu État-providence (qui) a en fait adopté une règle unique : sauvegarder l'appareil d'État et rançonner les Français, "systémiquement" et "paramétriquement", tout en leur interdisant de se constituer une épargne sûre". Avant de dénoncer : "...la comédie de cette réforme grotesque annoncée, discutée, rediscutée, remise à plat est la pénible preuve de l'impossibilité à atteindre le Bien Commun dans un régime partisan où le parti au pouvoir n'a comme feuille de route que sa réélection et comme unique boussole le consensus".
"La réforme des retraites envisagée par (le Président Emmanuel) Macron et son gouvernement cumule les trois tares de la république française : une rage égalitaire, qui passe par la spoliation immédiate ou différée de certains Français" peut-on encore lire sur le compte Twitter du mouvement maurassien.
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L’avocat général a demandé la relaxe du Cardinal Barbarin, condamné en première instance pour non-dénonciation d’agressions sexuelles. Le journaliste Gérard Leclerc décrypte les enjeux de ce procès hautement symbolique.
45 milliards de Fraude sur les prestations sociales: L'Etat "ne veut pas connaître" la cause et donne des consignes aux administrations de ne pas répondre aux enquêteurs ... UN SCANDALE D'ETAT
Ce 5 décembre au matin, une vingtaine de militants, majoritairement lycéens, de la Fédération Île de France de l’Action Française, sont intervenus au lycée Montaigne (VIè arrondissement de Paris) qui menaçait d’être bloqué par des organisations de gauche. Une action couronnée de succès et somme toute pacifique quoique les photos montrent les royalistes casqués (« Seules quelques poubelles avaient été placées devant l’entrée du lycée », raconte le président de la Fédération d’Île de France Étienne Lombard), une action pour le moment isolée mais qui témoigne du rôle actif et complexe que veut jouer le groupe royaliste dans le mouvement social actuel.
lafautearousseau
« Le premier procès Barbarin fut un grand procès pour les victimes du Père Preynat. Celui en appel pourrait être un grand procès pour le droit. » C’est Pascale Robert-Diard, de la rédaction du Monde, qui émet cette appréciation fondée sur une analyse précise de l’intervention de Joël Sollier, représentant du ministère public au Palais de justice de Lyon. Pour l’avocat général, l’archevêque de Lyon ne saurait être condamné pour non dénonciation d’agressions sexuelles, comme le voulait un certain nombre de victimes du Père Preynat. Ainsi dément-il le verdict du précédent procès, où le cardinal Barbarin avait été condamné à six mois de prison avec sursis. Pascale Robert-Diard affirme même que Joël Sollier s’est montré sévère à l’adresse des juges de première instance. N’a-t-il pas parlé d’une « chimère » juridique « qui ne répondrait qu’à un impératif idéologique dont les conséquences dévastatrices n’ont, à l’évidence, pas été suffisamment pesées » ?
Le long entretien accordé par le Président syrien Bachar Al-Assad à Paris-Match produit un redoutable effet de miroir. Il n’apprend rien de vraiment nouveau sur la Syrie dès lors qu’on s’est intéressé sérieusement au sujet depuis le début de la crise. Une armée étrangère, appelée à l’aide, ne peut à elle seule, surtout lorsqu’elle est essentiellement aérienne, assurer la victoire d’un gouvernement rejeté par une large majorité de sa population, et confronté à un soulèvement armé. Depuis 2011, le « régime » baasiste a toujours bénéficié du soutien d’une large partie du peuple syrien. L’image tronquée donnée par les médias français de la bataille d’Alep était révélatrice. Dans cette grande ville syrienne proche de la Turquie, alors qu’on se battait dans la moitié la plus ancienne de la cité que des bandes armées avaient occupée, dans l’autre, la plus moderne et la plus peuplée, le gouvernement légal et son armée sont toujours restés maîtres de la situation, même lorsque leur encerclement était complet. Lorsque la partie orientale a été libérée, ce fut une vague de liesse à l’ouest.
"On fait s'affronter ceux qu'on dit blacks blocs, qui n'en sont pas, et les forces de l'ordre" : Didier Maïsto, président de Sud Radio, a passé sa journée du samedi 16 novembre 2019 sur le terrain avec les Gilets Jaunes , à l'occasion de l'anniversaire du mouvement. Dans l'émission d'André Bercoff du 18 novembre 2019, il raconte ce qu'il s'est passé !
« Nous ouvrons là un mois de décembre qui promet, si l’on en croit la rumeur publique, d’être fort mouvementé, un an tout juste après le début de la longue protestation des Gilets jaunes qu’il nous est arrivé d’accompagner et d’encourager. Ainsi, nous pourrions paraphraser la célèbre formule de Rochefort : « La France compte aujourd’hui 66 millions de sujets, sans compter les sujets de mécontentement… »