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Action Française - Toulon
Un véritable hold up organisé par une oligarchie encore au pouvoir grâce à Macron ! Et dont certains protagonistes de l'ombre sont même désormais Ministres...
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Un véritable hold up organisé par une oligarchie encore au pouvoir grâce à Macron ! Et dont certains protagonistes de l'ombre sont même désormais Ministres...
1. De Catoneo :
Personnellement je suis contre tout régime universel. La logique systémique et paramétrique (ça fait cossu) devrait organiser un régime général à points dans lequel seraient versés tous les régimes spéciaux déficitaires.
En même temps, les cotisations de pension complémentaire devraient être défiscalisées (comme la Prefon) afin que chacun améliore son avenir selon ses choix de vie en déduction de ses revenus imposables.
On peut accepter des conditions particulières pour les agents exposés du domaine régalien stricto sensu (police, armées, ballet).
Par contre on ne devrait pas toucher aux régimes autonomes qui sont à l'équilibre voire en excédent, libéraux, Agirc, Arrco...etc.
Il y a une frénésie jacobine complètement débridée à l'Elysée qui finira mal.
2. De Vautier :
Le régime général promet un nivellement par le bas du standing de vie de tous les travailleurs par le biais d'une spoliation de toutes les épargnes qui avaient été accumulées par les gestionnaires les plus prévoyants et les plus avisés, et cela, suivez mon doigt , pour le profit quasi exclusif des intérêts privés et des compagnies d'assurance.
Ces commentaires sont nés de la lecture de l'article de Jean-Philippe Chauvin, publié sur lfar ce dimanche :
Dans un billet, l’essayiste s’en prend au silence assourdissant des féministes dans le débat public alors que la jeune fille a subi les foudres de ses opposants.
En 2017, une majorité d’électeurs a cru faire un choix, et sans en prendre conscience, ils en ont fait un autre. Au second tour de l’élection présidentielle, beaucoup de Français ont cru repousser une idéologie dangereuse et un parti incapable de gérer efficacement le pays, cru choisir celui qu’ils imaginaient être le plus compétent.
Michel Onfray : « L’affaire Mila permet d’effectuer un cliché très net de ceux qui travaillent à cette fameuse Soumission analysée par Houellebecq ». Lire ci-dessous le texte du philosophe, publié sur son site, à propos de l’affaire Mila jeune fille menacée de mort pour des insultes envers l’Islam, jeune fille totalement abandonnée notamment par les prétendues associations « féministes » qui s’agitent pourtant quotidiennement actuellement.
Nous serions enfin libres, car le droit au blasphème est officiellement établi.
Il est autorisé d’insulter une religion et ses symboles, mais il est interdit d’en insulter les membres. A titre d’exemple, quand Brigitte Bardot, ancienne actrice française, écrit à propos des musulmans qu’ils « détruisent la France », elle est poursuivie par la justice. En revanche, quand l’auteur Michel Houellebecq qualifie l’Islam de « religion stupide », il est acquitté.
Du coup, il en est de même pour l’Église, Jésus et Marie. Ils peuvent être insultés de la pire manière qui soit, mais les chrétiens en tant que peuple ne peuvent être mis en cause.
"Il ne faut donc pas voir autre chose dans la dictature que l'extension au domaine politique de l'incohérence individuelle. Le dictateur favorisait tantôt les entrepreneurs ou les ouvriers, tantôt les paysans ou les industriels ; un jour, on proclamait qu'on ferait de Berlin la plus belle ville du monde, le lendemain il n'était plus question que de colonisation agricole. On célèbrait les sciences et les arts après avoir promis une balle de revolver à quiconque prononcerait le mot de culture." (Max Picard," L'homme du néant " p 176)
La dernière phrase de ce passage, plus encore que le reste du livre, me rappelle notre contexte politique actuel, une société déjà fragmentée jusqu'à la rupture, atomisée par un individu sorti de nulle part, porté par la discontinuité et l'incohérence générale.
On en avait déjà ri à l’époque. Aujourd’hui on ne peut réécouter le pontifiant et sentencieux Le Gendre sans être saisi d’un élan de pitié : en Décembre 2018, il reconnaissait que le macronisme avait commis une erreur : « avoir probablement été trop intelligents, trop subtils, trop techniques… » C’était le temps où les Français étaient encore pour certains fascinés par le brillant jeune homme, « Mozart de la finance », orateur impeccable, metteur en scène jupitérien, dont l’affaire Benalla suivie par la révolte fiscale des Gilets Jaunes, avaient commencé à fissurer l’image, à abattre le décor.
Seul commentaire, amusé et ô combien juste, de Stéphane Blanchonnet : "C’est ce qui s’appelle avoir un bilan..."
François Gervais, physicien, auteur « L’Urgence climatique est un leurre » est l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio.
De discours en discours, Macron révèle une personnalité inquiétante et qui explique le désaveu de la grande majorité des Français.
Le Premier des Français, le Chef de l’État, celui qui représente la France et en qui les Français devraient se reconnaître, le chef des Armées de la France, le patron des administrations françaises, le premier des magistrats, le représentant suprême des territoires et des communes de France où sa photographie est affichée, le garant des institutions de la France, le titulaire de la totalité de la puissance publique, le souverain qui assume la permanence de la nation entre son passé et son avenir, cet homme qui plus qu’aucun autre devrait veiller à la dignité de sa parole et de sa conduite, passe littéralement son temps, depuis deux ans et plus, à insulter la France et les Français. À croire que c’est un jeu chez lui et qui le fait jouir. Braver la France ! Outrager les Français. C’est son truc. Il tient là son originalité. C’est le seul chef d’État au monde qui se permette de bafouer publiquement et continûment son propre pays. Le seul ! Imaginez les Poutine, les Trump, les Johnson, les Xi Jinping qui cracheraient sur leur pays !
Évoquant hier l’affaire dite Mila, du nom de cette jeune fille gravement menacée dans sa sécurité pour invective envers la religion musulmane, je me suis risqué à quelques considérations sur la notion de blasphème et la liberté de critique en matière de religion. Quelques amis m’ont interpellé à ce sujet, jugeant que je n’avais pas resitué les propos de Mila dans leur contexte, qui est celui d’un véritable harcèlement et d’un déchaînement de haine.
Le parquet de Vienne a renoncé à la procédure contre Mila pour incitation à la haine envers un groupe tandis que Mme Belloubet subissait à juste titre une avalanche de critiques à l’encontre de l’étonnante égalité qu’elle avait instaurée entre les menaces de mort portant évidemment atteinte à la liberté d’expression et les propos injurieux, qui auraient, selon elle, mis en péril la liberté de conscience.