Avec Emmanuel Macron : vent de folie progressiste, par Christian Vanneste.
En 2017, une majorité d’électeurs a cru faire un choix et, sans en prendre conscience, ils en ont fait un autre. Au second tour de l’élection présidentielle, beaucoup de Français ont cru repousser une idéologie dangereuse et un parti incapable de gérer efficacement le pays, cru choisir celui qu’ils imaginaient être le plus compétent. Venu de la gauche, son parcours, ses priorités et sa capacité de rassembler des hommes et des femmes de gauche comme de droite, de la société civile, enfin (!), avaient fait naître la grande illusion d’un gouvernement qui allait privilégier le réel et l’intérêt général plutôt que l’idéologie et ses obsessions ou ses fantasmes.

