Actualité France - Page 257
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Philippe de Villiers réagit à l'enquête de VA sur Georges Soros et ses réseaux...
Le fondateur du Puy du Fou, Philippe de Villiers, réagit à la publication cette semaine par Valeurs actuelles d’une enquête révélant la mainmise du réseau d’ONG de Georges Soros sur la Cour européenne des droits de l’homme :
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Vie privée et morale publique, un nouveau contrôle social ?, par Olivier Perceval.
Il est intéressant de voir à quel point l’« affaire Griveaux » provoque un séisme, non seulement dans le monde politique, mais aussi dans le monde médiatique :
« Mais puisqu’on vous dit que, dans le domaine privé, n’importe qui peut faire n’importe quoi, n’importe comment ! » Telle pourrait être la teneur générale des propos sur les plateaux télé, fusse-t-on président du sénat, ministre ou candidat aux municipales…
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Sur la page facebook Action française / Restauration nationale...
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Le séparatisme est en marche, des paroles ne l’arrêteront pas !, par Christian Vanneste.
Le procédé est usé jusqu’à la corde : à défaut d’agir, le président élu par défaut en 2017 a parlé. C’est son seul talent qui n’opère plus qu’auprès de la poignée de ses derniers admirateurs et des chroniqueurs serviles qui sévissent dans nos médias. D’abord, il faut un nouveau concept pour s’emparer d’un sujet rebattu et le faire sien : on jette donc à la foule celui de « séparatisme », pour le montrer sous un jour apparemment nouveau, alors qu’il permet au contraire de le maintenir dans le discours aseptisé de la République neutre par rapport à toutes les religions, quand la réalité est beaucoup plus effrayante.
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Avec Emmanuel Macron : vent de folie progressiste, par Christian Vanneste.
En 2017, une majorité d’électeurs a cru faire un choix et, sans en prendre conscience, ils en ont fait un autre. Au second tour de l’élection présidentielle, beaucoup de Français ont cru repousser une idéologie dangereuse et un parti incapable de gérer efficacement le pays, cru choisir celui qu’ils imaginaient être le plus compétent. Venu de la gauche, son parcours, ses priorités et sa capacité de rassembler des hommes et des femmes de gauche comme de droite, de la société civile, enfin (!), avaient fait naître la grande illusion d’un gouvernement qui allait privilégier le réel et l’intérêt général plutôt que l’idéologie et ses obsessions ou ses fantasmes.
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Emmanuel Macron en guerre contre le séparatisme, par Gérard Leclerc.
Les actuels péripéties parisiennes ne sauraient cacher les grands problèmes qui se posent de façon permanente aux politiques. Parmi ceux-ci, les difficultés posées par l’immigration et l’intégration des populations venues d’ailleurs. Emmanuel Macron se rend aujourd’hui à Mulhouse pour prononcer un discours sur les moyens propres à juguler ce qu’on appelle maintenant le séparatisme.
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La transparence est une exigence démocratique, par Christian Vanneste.
Certains emploient parfois encore le mot de « libéral » pour définir politiquement Macron. C’est un contre-sens. Son engagement politique d’origine est socialiste. Il s’est clairement revendiqué de gauche, et pourrait ne se voir taxer de libéral qu’au sens américain du terme : c’est-à-dire progressiste, s’appuyant sur les minorités de tous genres, et social-démocrate si on s’en tient à son goût pour la dépense publique et l’endettement. Son prétendu « libéralisme » ne reposerait que sur son mondialisme associant la circulation des biens, des capitaux et des personnes et un grand relativisme en matière de moeurs.
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Macron est allé sur la Mer de glace, qui fond et recule à vue d'oeil. Comme les Retraites ? (ou : !)...
Macron est allé sur la Mer de glace, qui fond et recule à vue d'oeil. Comme les Retraites...
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Sur Sud Radio avec André Bercoff, Marcel Campion - "La ville de Paris est gérée actuellement par des incompétents !".
Marcel Campion, auteur de « Paris du bon-sens » est l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio.
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Sur France Inter, Michel Onfray : "Grandeur du petit peuple" - Le Grand Face à Face.
En débat : la généalogie et le sens d’une révolte, celle des "gilets jaunes". C’est l’entreprise du philosophe Michel Onfray dans son dernier livre : "Grandeur du petit peuple". Un texte à mi-chemin entre le carnet de bord et le pamphlet et où il développe son analyse de ce mouvement social inédit.
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La chute de la maison Griveaux, bien pire pour Macron que Benalla/Gilets jaunes/Retraites et Compagnie...
Ce quinquennat, c'est un long chemin de Croix, une lente agonie, une descente aux enfers... comparable - dans le pire et en inversé - aux espoirs fanfarons qu'avait suscités "le hold-up du siècle" et la prise de pouvoir par le jeune et sémillant Macron et son équipe d'extra terrestres qui marchaient sur l'eau (du moins le croyaient-ils...).
"On" lui fait aujourd'hui le coup de Fillon, mais à ses dépens cette fois-ci.
Qui, "on" ?
En voilà une bonne question !
Il est toujours risqué de promettre le "nouveau monde", de jurer qu'on ne fera plus jamais "comme hier" et autres fadaises et engagements plus faciles à promettre qu'à tenir : Griveaux, honteux et confus, jure maintenant, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendra plus...
Si on ne peut encore s'accorder sur la personne de ce "On", ce qui par contre est absolument certain c'est que la principale victime de ce retrait est... Emmanuel Macron !
(Dans la presse écrite et parlée, rapide résumé du retrait du candidat LaRem) :
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L'élève resté fidèle au maître !
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Emmanuel Macron, maurrassien ?, par Frédéric de Natal (I/III : le texte de l'article du Monde)...
Après nous avoir affirmé en 2015 "qu'il manquait un roi à la France", voilà que le Président de la République invoque Charles Maurras au cours de sa réunion avec les députés LREM, comme le rapporte un article du journal "Le Monde" dans son édition de ce jour.
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Emmanuel Macron maurrassien ? (II/III) : lafautearousseau a apprécié le "second degré" de la page facebook de Frédéric de Natal...
Emmanuel Macron, maurrassien ? Après nous avoir affirmé en 2015 "qu'il manquait un roi à la France", voilà que le Président de la République invoque Charles Maurras au cours de sa réunion avec les députés LREM, comme le rapporte un article du journal "Le Monde" dans son édition de ce jour.
"Le problème qu’on a politiquement, c’est qu’on a pu donner le sentiment à nos concitoyens qu’il y avait un pays légal et un pays réel, et que, nous, on savait s’occuper du pays légal – moi le premier –, et que le pays réel ne bougeait pas. Sur le sujet de la sécurité, en premier chef, il faut faire bouger le pays réel" aurait déclaré le patron de l'Elysée devant des députés LREM.
Prophétique ou contradictoire ?