Sur Sud Radio, Jean-Charles Grelier : "Pourquoi le gouvernement ne fait pas appel au secteur privé pour trouver des lits ?".
André Bercoff a reçu Jean-Charles Grelier auteur de "Nous nous sommes tant trompés" éditions du Rocher
UA-147560259-1
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
André Bercoff a reçu Jean-Charles Grelier auteur de "Nous nous sommes tant trompés" éditions du Rocher
Les premières enquêtes sur le scandale du manque de masques renvoient au délire anti-Etat et anti-stocks qui a formaté les années de la glorieuse “révolution libérale” :
Daniel Sibony, auteur du livre "Un amour radical, croyance et identité" est l'invité d'André Bercoff sur SudRadio
Quand les Italiens de Lombardie sont pris à la gorge par le virus, ils se tournent vers Rome, pas vers Bruxelles. Ils notent en passant que Paris se moque d’eux et que Berlin leur refuse du matériel médical.
A plusieurs, on est plus forts. La France est notre patrie, l’Europe est notre avenir. Nous devons bâtir une souveraineté européenne. Nous connaissons tous ces phrases célèbres. Phrases devenues slogans, devenus idéologie dominante, devenue vérités d’Évangile, devenues éléments de langage inlassablement rabâchés.
En pleine épidémie du Covid-19, le médecin marseillais anticonformiste sort "Épidémies, vrais dangers et fausses alertes". Didier Raoult revient sur l'histoire des coronavirus et les polémiques actuelles - sur son recours à la chloroquine notamment
Détient-il le Graal ? Si le professeur marseillais Didier Raoult a mis du temps à se faire entendre au niveau national, son nom est désormais sur toutes les lèvres et sa solution pour enrayer la pandémie de coronavirus fait l'objet de l'attention de plusieurs pays étrangers comme de Paris.
Notre ami, le docteur Éric Bianchi, nous donne des nouvelles du front et nous dresse un tableau accablant du système hospitalier en crise, victime du mépris des technocrates de Bercy aux ordres du gouvernement, lequel nous enjoint avec condescendance d’être responsables.
Didier Raoult a eu un conflit avec Yves Lévy, PDG de l’Inserm et mari de la ministre de la santé Agnès Buzyn.
Le conflit portait sur le statut des IHU (Institut hospitalo-universitaire).
Didier Raoult l’a publiquement exprimé à plusieurs reprises et notamment dans un article du Canard qui soulignait « le conflit d’intérêts patent entre une décision ministérielle sur le statut des futurs IHU et la position similaire du PDG de l’Inserm ».
Yves Lévy est aussi engagé dans le lancement du laboratoire chinois dont serait peut être issu le virus qui frappe la planète.
« Nous sommes en guerre… » L’anaphore martiale de M. Macron lors de sa seconde allocution avait pour but de revêtir la tenue dans laquelle le Chef de l’Etat prend toute sa dimension, l’armure du Chef de guerre. L’ennemi est là, il faut se mobiliser, se regrouper au nom de l’union sacrée, faire preuve de discipline, et le généralissime de doter ses troupes des moyens de gagner la bataille ! La communication a produit son effet : un sondage montre une progression de 13 points d’opinions favorables permettant au président de franchir la barre des 50%.
La France dispose « d’un stock nul » de masques FFP2 alors qu’elle en comptait environ 700 millions il y a dix ans. Comment en est-on arrivé là ? Explications sur le manque de masques qui se fait cruellement sentir.
En 2009, la France disposait d’un stock conséquent de masques : 723 millions de masques respiratoires (les FFP2 qui protègent le porteur contre l’inhalation d’agents infectieux) et d’un milliard de masques chirurgicaux qui permettent au malade de protéger son entourage. Un peu plus d’une décennie plus tard et en pleine épidémie de coronavirus, le pays n’a plus de stock national pour les masques FFP2 et seulement 150 millions de masques chirurgicaux. À quoi un tel retournement de situation est-il dû, alors qu’en 2011, le Haut conseil sur la santé publique considérait qu’en cas de crise importante telle que le Sras, la protection des masques de soins et respiratoires était d’une efficacité préventive élevée
?
L'épidémie est là. En 24h la situation s'est tendue. Sur la Cote d'Azur, nous avons changé de dimension. Le CHU commence à avoir des difficultés. Les services accueillant traditionnellement ce type de pathologies (pneumo, maladies infectieuses) sont dépassés. Certains services comme l'Unité Neuro vasculaire ont vu leurs praticiens confinés. Il est vraisemblable que dans les 24 à 48 heures, la situation devienne très tendue et que nous entrions dans le dur. Continuez à prendre vos précautions, restez chez vous surtout.
Priez pour les plus fragiles (personnes âgées et handicapées) qui seront récusés à l'hôpital et pour lequel nous n'aurons à offrir qu'un accompagnement.
Prenez soin de vous
Je vous joint un tutoriel pour faire des masques.
La journée qui vient de s’écouler a marqué un tournant considérable. L’Asie, tirée par la Chine, avait enregistré jusqu’à ce jour le plus grand nombre de personnes affectées et le plus grand nombre de décès. Ce n’est plus le cas. L’Occident a dépassé l’Asie tant pour le nombre de cas que pour le nombre de décès, avec une irruption fracassante au sommet du palmarès : celle des USA. Trois mois après le début de l’épidémie, et alors que l’Asie de l’Est contient l’épidémie et la fait reculer, l’Occident ne parvient toujours pas, loin s’en faut, à la contrôler.