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La nouvelle émission du Média pour Tous est la vôtre : La parole au peuple. Pour ce premier épisode, nous ouvrons nos colonnes numériques à ceux qui, tous les jours, travaillent en pleine pandémie pour soigner les malades, assurer la sécurité dans les magasins, dans les rues, distribuer notre courrier... Face au Coronavirus, ils sont en première ligne et témoignent. N'hésitez pas à nous contacter pour témoigner vous aussi : contact@lemediapourtous.fr Vous êtes l'information.
C’est la loi de toutes les grandes guerres que de désigner à la fin un vainqueur incontesté. À la fin de la guerre de Trente Ans, c’est la France de Richelieu et de Louis XIV qui domine l’Europe nouvelle issue des traités de Westphalie. En 1815, après Waterloo, c’est l’Angleterre qui s’impose comme la maîtresse du XIXe siècle qui commence. Et les deux guerres mondiales désigneront les États-Unis comme puissance hégémonique du XXe siècle.
Didier Raoult et ses équipes ont dévoilé vendredi soir les résultats d'une deuxième étude sur le traitement du covid-19.
Vendredi soir, le professeur marseillais Didier Raoult, patron de l'IHU Méditerranée infection, a dévoilé les résultats d'une deuxième étude sur le traitement du Covid-19. Pour l'infectiologue, cette étude "démontre l'efficacité et la pertinence" de la prise d'hydroxychloroquine, associée à l'azithromycine.
Près de 500 morts en une journée, plus de 3500 au total, la contamination de la population française par le Covid-19 semble suivre la courbe à l’italienne avec une dizaine de jours de retard. Toutefois, le dénombrement n’est pas le même dans les deux pays, et en France, il ne tient pas compte des décès dans les Ehpad et à domicile, En revanche, les chiffres allemands sont beaucoup plus modérés. Ainsi, leur comparaison entre les trois grands pays voisins au coeur de l’Europe suscite l’étonnement : l’talie, la première touchée par l’épidémie recense 97 689 malades et 10 779 décès, la France paraît la suivre avec 52 128 personnes détectées et 3523 victimes, mais l’Allemagne qui pratique massivement des tests, sept fois plus qu’en France, a identifié 68 305 porteurs du virus alors qu’elle ne dénombre heureusement « que » 710 morts.
« À sa mort, il ferait titrer à la une du “Monde” que son pontificat avait été “hors normes”. »
CC by : Jean-Pierre Dalbéra
Pour ses collègues qui le connaissaient bien depuis longtemps, la mort d’Henri Tincq, victime de l’épidémie du coronavirus, constitue un vrai choc affectif. Dans le milieu des informateurs religieux, il était une référence, même si l’on était en désaccord avec lui, ce qui m’est arrivé plus d’une fois. L’homme avait ses convictions, forgées depuis ses origines nordistes, notamment à l’école de la Jeunesse étudiante chrétienne. Il n’aurait pas démenti son étiquette de catholique de gauche, tant son appartenance religieuse allait de pair avec ses engagements politiques.
Aujourd’hui, nombre de commentateurs déploient des trésors de rhétorique pour démontrer que non, les méchants "souverainistes" n’avaient pas raison de plaider pour le maintien de capacités de production en France. Admettre qu’on s’est planté, c’est visiblement douloureux.
« Union nationale ». Ça sonnerait presque comme une injonction. Malheur à qui viendrait rompre cette belle union. C’est vrai, on est en guerre, il ne faudrait pas commencer à poser des questions ou détourner l’effort des combattants. Contentez-vous d’applaudir les soignants, et, quand on vous le demande, de revenir travailler. D’ailleurs, effort de guerre oblige, on en profitera pour vous rogner quelques droits et quelques libertés. Mais on est en guerre, n’est-ce pas...
L’épidémie actuelle due au Covid 19, a au moins le mérite de rappeler le rôle indispensable du service Public. Médecins hospitaliers, infirmiers, aides-soignants, pompiers, éboueurs, enseignants (qui, contrairement à ce qu’affirme Sibeth la bien nommée, continuent à travailler), autres agents publics sont désormais encensés par la population qui redécouvre leur rôle essentiel.
Eh, oui ! C'est en 1565 qu'eurent lieu les premiers "poissons d'avril"...
Mais, pourquoi ?
C'est simple...
L'Edit de Roussillon du 9 Août 1564 de Charles IX ayant pris effet, le début de l'année a été pour la première fois fixé pour tout le Royaume au 1er Janvier, en 1565.
L'année commençait, avant, à des dates variables, ce qui entraînait des gênes multiples dans un grand nombre de domaines (administration, commerce...) car ces dates s'étalaient jusqu'en avril.
On se fit donc au premier janvier, cette année-là, les petits cadeaux, ou étrennes, d'usage en début d'année.
Chacun l’aura compris, Emmanuel Macron n’est pas un bon président de la République. Il s’avère juste le président des mots, celui qui parle, parle sans discontinuer, celui qui verbigère, qui étourdit à force de paroles, qui s’enivre de mots et voudrait griser son auditoire, tous ses auditoires, avec cette logorrhée qui n’en finit pas, qui n’en finit plus. Il voulait une parole rare? Elle est pluriquotidienne et dupliquée en éléments de langage partout serinés par ses perroquets de ministres –je ne parle pas de sa porte-parole, un précipité, au sens chimique du terme, de cette logocratie... Il avait promis la rareté de son verbe sous prétexte qu’il ne serait ni Sarkozy ni Hollande. Or, il est le premier sans l’action et le second sans la bonhommie: c’est à la fois un Sarkozy qui ne fait rien d’autre que laisser voguer le bateau maastrichtien et un Hollande méchant qui ne peut s’empêcher de cacher sa nature dès qu’il parle avec un quidam critique dans un bain de foule.
Nous vivons des moments passionnants. Le système va-t-il exploser ou se maintenir, évoluer ou revenir à son équilibre dément ?
Cette pandémie est unique par tout ce qu’elle met à nu : les vices de la mondialisation, l’aveuglément des élites humanistes, la crispation idéologique de l’Union européenne, l’incurie française, les mensonges de la technocratie, l’égoïsme des politiques, la fragilité de nos économies, la dictature du sentiment… Car à quoi bon nous faire applaudir des médecins et des infirmières qu’on ne peut pas, qu’on ne sait pas, qu’on ne veut pas équiper ? Pourquoi invoquer sans cesse la science comme boussole quand la même science, ailleurs, indique un nord différent ? Pourquoi avoir nié la crise de longues semaines, de long mois, pour reprocher ensuite aux Français leur inconscience ?
André Bercoff revient sur l'appel aux dons de Darmanin et le gaspillage d'Etat avec Eudes Baufreton. Les absurdités administratives dans la santé avec le Dr Marty et enfin son invité Raphaël Kempf, avocat, sur l'état d'urgence sanitaire: une loi scélérate