A TOUS LES PERSONNELS SOIGNANTS DE FRANCE...
MAIS AUSSI A TOUS CEUX QUI MAINTIENNENT LA FRANCE EN ETAT DE MARCHE :
EBOUEURS, ROUTIERS/TRANSPORTEURS, CAISSIERES, TOUS CEUX QUI MALGRE TOUT RESTENT A LEUR POSTE DE TRAVAIL...
MERCI !
BRAVO !
UA-147560259-1
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
MAIS AUSSI A TOUS CEUX QUI MAINTIENNENT LA FRANCE EN ETAT DE MARCHE :
EBOUEURS, ROUTIERS/TRANSPORTEURS, CAISSIERES, TOUS CEUX QUI MALGRE TOUT RESTENT A LEUR POSTE DE TRAVAIL...
MERCI !
BRAVO !
Ce virus risque de précipiter la mort de plus que des hommes… Il accélère le processus de décomposition de nos fausses démocraties qui montrent dans la lumière aveuglante des scialytiques hospitaliers ce qu'elles sont véritablement: de véritables autocraties libérales -pour ne pas dire des dictatures.
A l'heure où j'écris, une loi dite d'urgence permet à l'employeur d'imposer à son salarié de prendre ses congés pendant la durée du confinement. Le sénat a limité la disposition à six jours ouvrables et l'Assemblée nationale a confirmé la chose en commission! Quel humanisme! Quelle humanité! Quelle générosité! Quelle grandeur d'âme!
Déjà une petite dizaine de jours que notre confinement dure. Le temps vous semble long ? Courage, c’est loin d’être fini. Pour sortir de cette sombre période, il n’y a pas de secret ; il faut vaincre cette cochonnerie de Sars Cov-2. Une victoire qui passera par le développement de traitements médicaux, le dépistage massif de la population et l’équipement des Français, particulièrement de nos armées de soignants. Une victoire qui ne se fera pas sans une bonne appréhension du problème par la population française. Elle a trop longtemps été méprisée et tenue dans l’ignorance, à tel point qu’on nous juge trop ignares pour savoir correctement enfiler un masque chirurgical ! Une honte.
Le confinement en banlieue, ça se passe comment ?
La pandémie frappe de plein fouet la France, les Français se confinent pour se protéger du coronavirus. Vincent Lapierre est allé prendre la température en banlieue parisienne. Le confinement y est-il respecté ?
«Les ministres se font dépister, vous ne pouvez pas laisser les gens dans l’inquiétude !» Professeur Éric Chabrière
Extrait de l'émission «LCI Vendredi Soir» diffusée sur LCI le 27/03/20
MAIS AUSSI A TOUS CEUX QUI MAINTIENNENT LA FRANCE EN ETAT DE MARCHE :
EBOUEURS, ROUTIERS/TRANSPORTEURS, CAISSIERES, TOUS CEUX QUI MALGRE TOUT RESTENT A LEUR POSTE DE TRAVAIL...
MERCI !
BRAVO !
Le portait du Pr Didier Raoult paru dans Marcelle il y a une semaine a explosé tous nos compteurs (plus de 100 000 lecteurs). Plus surprenant encore, il n’a donné lieu à aucune polémique. Le chercheur est actuellement au cœur de tous les débats pour la solution thérapeutique qu’il préconise. Hier matin, le Canard Enchaîné titrait même sur les menaces de mort dont il a fait l’objet. D’où cet exercice de questions-réponses auquel le virologue aujourd’hui le plus célèbre de la planète a bien voulu se plier car il connaît bien et depuis longtemps les journalistes qui le questionnent.
(information relayée par le site Made in Marseille)
Le traitement à l’hydroxychloroquine prôné par le professeur Didier Raoult pour soigner les malades du Covid-19, est désormais autorisé par le gouvernement.
Sébastien Le Fol: Un conseil pour commencer, quel philosophe faut-il lire en confinement?
Michel Onfray: Ce peut être un stoïcien, car ils sont les philosophes du combat contre l'adversité par excellence: ils donnent des recettes pour lutter contre l'inquiétude, la peur, la crainte, l'angoisse, la vieillesse, la maladie, la souffrance, la trahison, la mort bien sûr. Je songe aux Pensées pour moi-même de Marc-Aurèle, aux Lettres à Lucilius de Sénèque, ou au Manuel d'Épictète. Mais, s'il ne fallait qu'un philosophe, ce serait Montaigne, qui, dans les Essais, les contient tous. Permettez-moi de signaler qu'une excellente version en français d'aujourd'hui a été publiée chez Bouquins Laffont-Mollat car le texte en ancien français du XVIe siècle n'est plus lisible en effet que par peu de gens. Toutefois, l'idée n'est pas de lire comme on lit sur la plage, en dilettante, légèrement, mais de façon soutenue, avec un crayon à la main et un petit cahier à disposition pour synthétiser, certes, mais surtout pour commenter ce qu'on lit et en faire un profit existentiel personnel.
Des cercueils dans une église de Serina, près de Bergamo en Italie, le pays le plus touché par la pandémie. 21 mars 2020 PIERO CRUCIATTI/AFP
La pandémie de coronavirus ébranle l’idéologie progressiste des sociétés modernes et sa prétention à tout résoudre, analyse le sociologe Michel Maffesoli.
Michel Maffesoli est sociologue et professeur émérite à la Sorbonne. Il a récemment publié Être postmoderne (Cerf, 2018) et Le temps des tribus: le déclin de l’individualisme dans les sociétés postmodernes (Table ronde, 2019).
La chute de l’activité économique consécutive à l’épidémie de coronavirus atteint une intensité jamais vue. Elle met en péril les montagnes de dette d’entreprises émises ces dernières années.
L’épidémie de coronavirus est mal tombée pour l’économie. Dès la fin d’année 2019 en effet, l’activité semblait avoir atteint un plafond. Dans la zone euro, le PIB n’avait augmenté que de 0,1% au dernier trimestre 2019 et la production industrielle allemande en décembre affichait un recul de 6,8% sur un an. Le Japon s’orientait déjà vers une récession. La Chine avait produit en 2019 son plus faible taux de croissance officielle en 30 ans (6,1%). Seuls les États-Unis, moins dépendants du reste du monde, sortaient du lot.
Zemmour, toujours inspiré par sa passion pour l’histoire militaire, explique que la France commence toujours mal les guerres.
Mais il oublie qu’elle peut aussi mal les terminer, lorsqu’elle est envahie et même totalement occupée.
La métaphore s’arrête là car personne n’imagine la victoire du virus. Avoir mal entamé cette guerre, c’est donc déjà l’avoir perdue parce que la France a montré qu’elle n’avait pas su opposer une stratégie efficace à l’épidémie et limiter le nombre de morts. La progression du mal aura été le révélateur d’un mal plus profond, celui de la décadence inexorable de notre pays de plus en plus criante malgré les rodomontades des politiques et le concert médiatique qui les accompagne.
Buzyn, sa vie, son œuvre
En publiant un article (le 17.III.2020) sur elle, le journal Le Monde vole au secours d'Agnès Buzyn, ex-ministre de la santé qui a quitté le bunker du commandement général alors que, selon ses propres aveux, la guerre était certaine, qu'elle ferait quantité de morts et qu'elle se disait la seule à le savoir!
Or, les Français ne sont pas débiles: ils savent que ce qui s'écrit dans un journal se discerne bien plutôt entre les lignes que dans ce qui s'y trouve explicitement écrit.
Quelques phrases retiennent donc mon attention dans ce publireportage qui sauve (un peu) la dame et accable (beaucoup) Macron et les siens, comme si elle n'en avait jamais été. D'abord cette entrée en la matière: "Je me demande ce que je vais faire de ma vie." Ensuite, le plat de résistance: "Je n’ai plus de boulot." Enfin, le dessert, c'est une interrogation de la journaliste: "Si elle est encore à ce poste en 2022 et que Macron échoue, confie-t-elle à des proches, que restera-t-il de sa réputation?" Pauvre petite fille riche...
Détaillons...