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Actualité France - Page 249

  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, Docteur Kron - "Que les Chinois nous envoient des masques !".

    Jérôme Fourquet, directeur de Ifop Opinion, Dr Zagury généraliste de Wuhan et Dr Kron sont les invités d'André Bercoff sur Sud Radio


  • Pour ne pas céder à la sinistrose, une pensée pour... Charles IX, le roi des "poissons d'avril", du muguet et du 1er janvier...

    CHARLES ix.JPG

    Eh, oui ! C'est en 1565 qu'eurent lieu les premiers "poissons d'avril"...

    Mais, pourquoi ?

    C'est simple...

    L'Edit de Roussillon du 9 Août 1564 de Charles IX ayant pris effet, le début de l'année a été pour la première fois fixé pour tout le Royaume au 1er Janvier, en 1565. 

    L'année commençait, avant, à des dates variables, ce qui entraînait des gênes multiples dans un grand nombre de domaines (administration, commerce...) car ces dates s'étalaient jusqu'en avril.

    On se fit donc au premier janvier, cette année-là, les petits cadeaux, ou étrennes, d'usage en début d'année.

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  • Sur le blog de Michel Onfray, l'art de la comédie.

    Le président de la République des mots

    Chacun l’aura compris, Emmanuel Macron n’est pas un bon président de la République. Il s’avère juste le président des mots, celui qui parle, parle sans discontinuer, celui qui verbigère, qui étourdit à force de paroles, qui s’enivre de mots et voudrait griser son auditoire, tous ses auditoires, avec cette logorrhée qui n’en finit pas, qui n’en finit plus. Il voulait une parole rare? Elle est pluriquotidienne et dupliquée en éléments de langage partout serinés par ses perroquets de ministres –je ne parle pas de sa porte-parole, un précipité, au sens chimique du terme, de cette logocratie... Il avait promis la rareté de son verbe sous prétexte qu’il ne serait ni Sarkozy ni Hollande. Or, il est le premier sans l’action et le second sans la bonhommie: c’est à la fois un Sarkozy qui ne fait rien d’autre que laisser voguer le bateau maastrichtien et un Hollande méchant qui ne peut s’empêcher de cacher sa nature dès qu’il parle avec un quidam critique dans un bain de foule.

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  • Englués, par Philippe Mesnard.

    Nous vivons des moments passionnants. Le système va-t-il exploser ou se maintenir, évoluer ou revenir à son équilibre dément ?

    Cette pandémie est unique par tout ce qu’elle met à nu : les vices de la mondialisation, l’aveuglément des élites humanistes, la crispation idéologique de l’Union européenne, l’incurie française, les mensonges de la technocratie, l’égoïsme des politiques, la fragilité de nos économies, la dictature du sentiment… Car à quoi bon nous faire applaudir des médecins et des infirmières qu’on ne peut pas, qu’on ne sait pas, qu’on ne veut pas équiper ? Pourquoi invoquer sans cesse la science comme boussole quand la même science, ailleurs, indique un nord différent ? Pourquoi avoir nié la crise de longues semaines, de long mois, pour reprocher ensuite aux Français leur inconscience ?

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  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, Raphaël Kempf : "Le gouvernement balaye des libertés individuelles d'un trait de plume".

    André Bercoff revient sur l'appel aux dons de Darmanin et le gaspillage d'Etat avec Eudes Baufreton. Les absurdités administratives dans la santé avec le Dr Marty et enfin son invité Raphaël Kempf, avocat, sur l'état d'urgence sanitaire: une loi scélérate


  • La France manque de masques ? Le docteur Prudhomme rappelle...


    Qui a arbitré sur le financement pour le non renouvellement des masques lorsqu'il était à Bercy ? Emmanuel Macron !

  • Ce lundi soir, un "18H/19H" bombe sur BFMTV...

    222222222222222222222222222222222222222222222222222.jpgNous critiquons assez souvent, ici même, les journalistes de BFM/TV pour leur soumission au politiquement correct pour ne pas bouder notre plaisir lorsque, comme hier soir avec Alain Marschall, ils font exception à la règle...

    D'abord pour avoir dit qu'il fallait "confiner" et "débrancher" la porte parole du gouvernement : enfin une parole sensée !

    Ce propos a été suivi de 2 accusations gravissimes, mais justes.

    1. La première concerne Agnès Buzyn, formellement accusée d'avoir été au courant de tout ce qui allait arriver dès le 20 décembre dernier; et donc coupable d'abstention volontaire d'assistance à population(s) en danger...

    2. La seconde concerne Emmanuel Macron : contrairement à ses dires et à ce qu'il fait dire, le conseil scientifique ne l'a pas encouragé ni autorisé à maintenir le 1er tour des élections municipales; il n'a pas non plus approuvé le décision. Cette décision a été "politique" et le conseil s'est borné à lui prescrire les recommandations qui s'imposaient s'il voulait absolument maintenir ce 1er tour...

    Ce n'est pas la première fois que tout ceci est dit, ni dans la presse écrite, ni dans la presse parlée.

    Mais d'une façon aussi percutante et aussi accusatrice, sur BFM/TV, c'est une première; à signaler...

    lafautearousseau

  • Sur le blog de Michel Onfray, Coronavirus : En janvier, le gouvernement jouait "à la roulette russe".

    Verbatim* de l'émission du 28 janvier "Audrey & C°" sur LCI

    Avec: Jean-Michel Aphatie (journaliste), Audrey Crespo Mara (journaliste), Gérald Kiersiek (médecin), Thierry Moreaux (journaliste) et Michel Onfray

    Audrey Crespo Mara: Michel Onfray, il vous inquiète ce coronavirus?

    Michel Onfray: Oui, car je trouve qu’on joue un peu à la roulette russe! Enfin: le gouvernement joue un peu à la roulette russe... On a une vingtaine d’avions, je crois, qui arrivent tous les jours de Chine et puis les gens descendent et on leur pose une question: "Vous avez mal à la tête? Vous avez un peu de fièvre? Non? Allez-y." Et puis un sur dix, ai-je lu, se fait questionner et on distribue des petits bouts de papiers à chacun en leur disant: "si vous avez un problème, appelez le 15", et puis tout le monde s’en va dans la nature! Je ne sais pas combien ça fait, 5000 ou 6000 personnes par jour qui arrivent de Chine et qui s’en vont dans la nature et qui peuvent contaminer donc!

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  • Coronavirus : rien ne sera plus jamais comme avant… Vraiment ?, par Philippe Kaminski.

    (Merci à nos amis du Centre Lesdiguières de nous avoir transmis cet article)

    Tout le monde va de sa prophétie concernant l’après-coronavirus. Si la crise rendra peut-être les Occidentaux un peu plus sobres, il faudrait néanmoins bien davantage pour les rendre plus modestes ou plus raisonnables. L’économie sociale pourrait avoir un rôle à jouer, mais il est fort à parier, selon notre chroniqueur Philippe Kaminski, que nous passions à côté.

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  • Pandémie : A quand le retour du politique ?, par Olivier Perceval.

    En cette période funeste de confinement, les chaînes d’information continues nous abreuvent de messages statistiques concoctés par Jérôme Salomon, désormais célèbre porte-parole médical du gouvernement, lequel augmente chaque jour, graduellement, sur un ton compassé, le nombre des mauvaises nouvelles.

    La grande peur des bien-pensants, aujourd‘hui, est constituée par ce qui pourrait pourtant être une heureuse nouvelle : Une embellie dans la morosité, un peu d’espoir qui nous vient de Marseille. La fameuse « hydroxychloroquine » dont on nous expliquait qu’elle ne pouvait être prescrite que dans les cas graves dans les conditions inverses de celles qui sont préconisées par son principal promoteur. Cette restriction fut levée le lendemain ( !) mais encore sous contrôle à l’hôpital ; la médecine de ville est hors jeu !

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  • Sur Sud Radio, Régis De Castelnau - "Nos décideurs seront jugés au pénal !".

    Régis De Castelnau et Philippe Douste-Blazy au micro d'André Bercoff sur Sud Radio.


     

  • Sur TV Libertés : Macron et son triple destin, par Christian Turpin.

    Dans son dernier ouvrage "Macron et son triple destin selon la théorie de l'évènementialité", Christian Turpin fait connaître une méthode qui permet des prévisions en politique intérieure et en géopolitique internationale.

    Il montre ainsi comment l'actuel président de la République, et la France avec lui, se trouvent à la croisée de trois chemins : un atlantiste, un socialiste et un nationaliste...


  • Le petit virus, grand pédagogue ? (I), par Christian Vanneste.

    « L’homme est un apprenti, la douleur est son maître » disait Musset. Le Covid-19 risque d’être un bon professeur ! La pandémie s’est répandue. Elle a appris aux Français qui en doutaient encore qu’ils sont gouvernés par des incompétents qui, une fois de plus, ont fait preuve d’une imprévoyance coupable, que notre pays subit une oligarchie où s’entrelacent des réseaux parfois cupides. Mais, plus profondément que cette mousse malodorante, il y a une grande leçon de civilisation qui est donnée en ce moment. Il se peut que le virus soit dans un an un mauvais souvenir, et qu’après une crise économique mondiale, une destruction massive de valeurs boursières et monétaires, l’on refasse marcher la planche à billets, et qu’on impute à la crise une insuffisance d’Europe et l’absence d’un gouvernement mondial… Mais il se peut aussi que la pédagogie du virus fonctionne et casse un certain nombre de processus mortifères.

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  • Sur le blog de Michel Onfray : Faire la guerre.

    Le gendarme de Saint-Tropez, suite.

    Je ne sais pas si c'est le fait que, dans mon enfance, mon père m'a beaucoup parlé de la fin de la Deuxième (ou Seconde?) Guerre mondiale à Chambois, notre village natal, et de la poche de Falaise qui a transformé la région en vaste cimetière à ciel ouvert pendant les mois de l'été 1944, il a vécu tout cela, mais je suis sensible à la polémologie, la science ou l’art (!) de la guerre, mais plus encore à l'irénologie, la science ou l'art de la paix.

    Voilà pourquoi, passionné par ces sujets, j'ai jadis lu des traités de la guerre - de L'Art de la guerre de Sun Tsu au Fil de l'épée de Charles de Gaulle (un chef d'œuvre), en passant par La Guerre et la Paix de Proudhon ou les pages que Machiavel ou Saint-Just consacrent à ce sujet. J'ai aussi lu l'abbé de Saint-Pierre, un Normand du XVIII° siècle auquel on doit un Projet de paix perpétuelle dans lequel Kant a pillé de quoi écrire un petit texte sur le même sujet.

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