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Actualité France - Page 246

  • La politique est un art et pas une science, par Aristide Renou.

    L’heure est à louer les personnels médicaux, et c’est parfaitement compréhensible. C’est grâce à l’abnégation de beaucoup d’entre eux, envoyés au « front » de ce qui est parait-il une « guerre » pratiquement sans armes ni protection adéquate que nos hôpitaux continuent à fonctionner et que des malades sont sauvés tous les jours. Ils ont droit à notre gratitude.

    Mais, oserais-je l’avouer ? Je suis inquiet de la place prise par les médecins dans le débat politique, ou dans ce qui devrait être un débat politique mais qui l’est de moins en moins.

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  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, Gabriel Saiydoun : "On souhaite ouvrir un débat éthique: le médecin est libre de ses prescriptions".

    Gabriel Saiydoun, docteur en chirurgie générale, chirurgie thoracique et cardiovasculaire, et président du Conseil national des jeunes chirurgiens était l'invité d'André Bercoff


  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, Sandrine Thiéfine "Plusieurs centaines d’euros facturés pour entreposer des cercueils à Rungis !".

    (Nous avons "placé" cette vidéo hier soir pour notre page d'aujourd'hui; ce matin, dans son journal de 7h00, France Info indiquait que l'entreprise concernée renonçait finalement à faire payer les gens et rembourserait ceux qui avaient déjà été rackettés ce qui est le terme approprié).

    Présidente du réseau de franchise POMPES FUNÈBRES DE FRANCE au micro d'André Bercoff


  • Ce Vendredi Saint, malgré tout, un temps de méditation, et surtout : l'espérance, à Notre Dame de Paris...

    Il y  a presque un an, le 15 avril, Notre-Dame de Paris s'embrasait. Si aucune messe publique pour Pâques n'a lieu cette année, en raison de l'épidémie de coronavirus, l'archevêque de Paris, Mgr Michel Aupetit, a malgré tout observé ce Vendredi saint un "temps de méditation" à l'intérieur de la cathédrale. 

    "Cette célébration sera toute simple, en huis clos bien sûr... Il y a la couronne d'épines qui a été sauvée par les pompiers. Nous ferons la vénération de cette couronne pour  montrer que la cathédrale, bien qu'à moitié détruite, est encore vivante." 

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  • EXCELLENT ! Lu (et apprécié !) sur la page facebook de François Marcilhac...

    JE LIVRE À VOTRE PROPRE MÉDITATION CES PROPOS PROPHÉTIQUES DE PIERRE BOUTANG :

    « Plus la menace se fera forte et décisive sur les pauvres hommes, plus ils seront attaqués dans la jouissance des conditions les plus simples de la vie, dépouillée de la paisible installation sur un sol dont ils connaissent les limites prochaines et savent qu’il y a des frontières pour les protéger contre les forces mondiales inconnues — or ou fer—, plus le lien “féodal” du pouvoir et de la terre leur apparaîtra comme une nécessité moderne.

    Et plus l’unité française se trouvera mise en question par les fariboles européennes et les réalités altantiques, plus l’époque organique de la féodalité et la reconstruction d’un ordre réel après les fusions de toutes les races réunies sur un même sol feront l’objet d’une méditation salutaire. »

    Aspects de la France, 1er février 1952 - in La Source sacrée, p. 349

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  • Sur le blog de Michel Onfray : Le professeur. Qu'est-ce qu'un chef ? (1).

    Nous sommes mi-mars. Dans les médias, on parle alors beaucoup du professeur Raoult.

    C’est une grande passion française que, pour beaucoup, d’avoir un avis sur tout, y compris quand on n’a ni compétence ni travail à convoquer ou à mobiliser en la matière.

    J’ai souvenir d’un intellectuel français aujourd’hui académicien qui fut capable en son temps de donner un avis sur un film qu’il n’avait pas vu… Il disait aussi, en mai 68, qu’il fallait "essayer des enfants"; il profère aujourd’hui sa haine de cette époque mais sans pour autant faire son autocritique … Il y eut un temps un avis gastronomique publié par un critique sur un site Web alors que le restaurant n’était pas encore ouvert. C’est sans compter sur les journalistes qui tiennent chronique littéraire depuis des décennies et qui encensent ou démontent un livre juste parce qu’il faut détester ou vénérer son auteur pour de pitoyables raisons mondaines (la plupart du temps parisiennes) dans lesquelles le ressentiment, plus que l’oeuvre, joue un rôle majeur. Quand Bernanos écrit: "les ratés ne vous rateront pas", il affirme un vérité psychologique majeure…

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  • La chloroquine, ou le populisme en blouse blanche ?, par Christian Vanneste.

    Le débat sur l’usage ou non de la chloroquine pour lutter contre le Covid-19 en dit long sur la société dans laquelle nous vivons. Il devrait s’agir d’un débat scientifique, et dans la société menacée par un totalitarisme rampant, nous découvrons avec stupéfaction que l’idéologie le dispute à la science, que des préjugés politiques peuvent l’emporter contre des démarches empiriques inspirées par le bon sens que Descartes croyait la chose du monde la mieux partagée. La question médicale est : la chloroquine peut-elle contribuer à l’amélioration des patients atteints par le virus ?

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  • Dans Valeurs Actuelles, “Il fait la guerre à un virus, mais pas à des soldats du djihad” : Zemmour se paie Macron après l’attaque de Romans-sur-Isère.

    Dans l’émission Face à l’info sur Cnews, Eric Zemmour a ironisé sur le déni d’Emmanuel Macron et des médias de qualifier l’attaque au couteau de Romans-sur-Isère d'“islamiste”.

    Macron « est toujours à contre-temps », déclarait Eric Zemmour le soir du lundi 6 avril dans l’émission Face à l’info sur Cnews. Alors que le président de la République fait « la guerre à un virus », il ne serait pas capable de combattre aussi « des soldats du djihad », prévient Eric Zemmour. La séquence a été relayée sur Twitter par de nombreux internautes. 

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  • Dans Marianne, le coronavirus annonce "la fin du capitalisme néolibéral", selon le chef économiste de la banque Natixis.

    2737274333.42.jpgLe temps du capitalisme néolibéral, qui a misé sur la globalisation, la réduction du rôle de l’Etat, les privatisations et la faiblesse de la protection sociale, est révolu selon Patrick Artus, chef économiste de la banque Natixis.

    Ce n’est pas un poisson d’avril. Très productif en analyses, le chef économiste de la banque Natixis Patrick Artus a publié le 30 mars une note où il prédit tout simplement "la fin du capitalisme néolibéral" à cause de la crise du coronavirus. Ces dernières années, cet économiste s’est habitué à sortir, une fois de temps en temps, des sentiers battus de la pensée dominante. Il avait notamment clamé haut et fort que "Marx avait raison" en février 2018.

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  • Macron et la distanciation sociale, par Arisitide Renou.

    Bon, écoutez, les gueux, ça suffit maintenant vos jérémiades.

    Vous êtes contagieux ou présumés l’être, par principe, parce que vous êtes des gueux. Vous ne savez pas prendre soin de vous-mêmes, vous n’êtes pas raisonnables. Vous êtes comme les enfants : on vous donne le petit doigt et vous prenez le bras tout entier. Vous avez besoin qu’on décide à votre place, qu’on vous dise quoi faire. Si on vous laissait faire… mieux vaut ne pas y penser, de toute façon on ne vous laissera pas faire.

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  • Le « césarisme » républicain à l’œuvre…, par Olivier Perceval.

    3408130272.3.jpegL’expérience du confinement permet, au bout de la troisième semaine, d’observer l’évolution de nos rapports sociaux en situation de crise.

    Il est d’abord piquant de constater à quel point nous sommes passés d’un mode individualiste, stimulé par la loi du marché libre, la publicité et toute une idéologie ambiante émancipatrice de toute forme de morale et d’appartenance à une histoire collective à, par la grâce du confinement, un autoritarisme des pouvoirs publics relayé avec zèle par les forces de l’ordre et accueilli très majoritairement par un large public. Se considérant les plus vertueux, certains sont même prêts à dénoncer les manquements de leurs contemporains jugés irresponsables.

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  • Sur Figaro Vox, Jean-Pierre Chevènement: «Il faut un gouvernement de salut public», par Alexandre Devecchio.

    Selon Jean-Pierre Chevènement, l’heure n’est pas à la recherche des responsabilités mais à l’unité nationale pour faire face à la crise sanitaire et économique et préparer le «monde d’après». SERGE PICARD/Le Figaro Magazine

    Le «monde d’après» va s’organiser plus que jamais autour des États-Unis et de la Chine, juge l’ancien ministre. L’Union européenne va devoir opérer un tournant philosophique et stratégique radical.

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  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, Michel Maffesoli - "Cette pandémie COVID19 annonce un retour des soulèvements populaires".

    Michel Maffesoli, sociologue, professeur émérite à l'université Paris-Descartes et membre de l’Institut universitaire de France au micro d'André Bercoff sur Sud Radio !


  • Vu sur la page FB de nos amis de l'Action française Toulon : Coronavirus, vers le traçage généralisé des téléphones ?

    Les autorités n'excluent pas le recours à une solution de « tracking » pour la sortie du confinement.

    Une forme de bien-pensance voudrait faire porter tout le poids de la faute originelle de la diffusion du COVID 19 à ce peuple décidément par trop indiscipliné.
    On juge le pouvoir sur sa capacité d’exercer la justice, mais en l’occurrence : Forts avec les faibles et faibles avec les forts.

    Source  : La vraie démocratie