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Actualité France - Page 244

  • Bureaucratie, centralisation, désindustrialisation, 35 heures, culte de l’Etat et du fonctionnariat, par Aristide Renou.

    3834054413.33.jpgCe sont les ingrédients de la débâcle actuelle et PAS le « manque de moyens »

    « Dans la lutte contre le coronavirus, l’Allemagne semble faire beaucoup mieux que nous. Avec une population de 83 millions d’habitants (67 millions en France), notre voisin ne compte à ce jour «que» 1800 morts contre plus de 10.000 en France (chiffres du 8 avril). Il faut être prudent. La cinétique de l’épidémie outre-Rhin peut être différente. Ce n’est qu’in fine que l’on pourra juger de l’efficacité des politiques sanitaires. Cela étant, il est des chiffres, des éléments objectifs incontestables, qui montrent l’excellence du système allemand.

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  • Sur le site de l'URBVM, deux exemples d’innovations locales pour lutter contre le coronavirus.

    Kit de détection du virus sur les surfaces, visières de protection réalisées avec des imprimantes 3D… Sur le territoire métropolitain, de nombreux acteurs se mobilisent et innovent pour proposer des solutions face à cette crise sanitaire inédite.

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  • Dans la revue l'Incorrect, le confiné de l’Elysée se rebiffe, par Gabriel Robin.

    © Louis Lecomte pour L'Incorrect

    L’allocution d’Emmanuel Macron avait été savamment « teasée » à la manière des feuilletons américains. L’objectif n’était pas de réunir un maximum de Français devant leurs écrans – et pour cause, tous confinés, nous n’avons que ça à faire -, mais bien de susciter chez eux une attente. Le Président est-il sorti de cette ambiguïté qui le dessert depuis le début de la crise pour revêtir le costume « churchillien » que son équipe de communication promettait ?

    Bon acteur, il n’est pas assez impératif pour inspirer vraiment confiance. Dissection de l’exercice.

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  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, Nicole Delepine - " Les enfants ne contaminent pas les adultes, c'est démontré !".

    Nicole Delepine, oncologue et ancien chef de service en cancérologie pédiatrique à l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris au micro d'André Bercoff


  • COVID-19 : L’Europe sans masque, par François Schwerer.

    L’Union européenne, qui ne sert à rien pour juguler la pandémie et en a même, préventivement, aggravé les effets, veut se servir de cette crise pour renforcer son contrôle inutile…

    Alors que les Français entament leur quatrième semaine de confinement, nos hommes politiques semblent surtout préoccupés d’une chose : l’Union européenne. C’est le président Macron qui, le 26 mars, expliquait à l’occasion du sommet européen tenu par visioconférence : « Ce qui est en jeu, c’est la survie du projet européen. […] Le risque, c’est la mort de Schengen ». C’est Jean-Pierre Raffarin qui, deux jours plus tard, s’inquiétait : « la situation est dangereuse, le virus menace l’existence de l’Europe ». C’est Jacques Delors qui constatait avec amertume : « Le climat qui semble régner entre les chefs d’Etat et de gouvernement et le manque de solidarité européenne font courir un danger mortel à l’Union européenne »…

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  • L’art du gouvernement et de la parole, par Gérard Leclerc.

    © Pascal Deloche / Godong

    Dans une période critique, la parole présidentielle est forcément observée avec une attention particulière. Tout simplement parce qu’on attend énormément de l’autorité suprême, surtout lorsque règne une certaine confusion et que ne cessent de proliférer des opinions de toutes sortes. Au moins que l’on sache où l’on va, qu’une direction claire soit donnée, qu’on ait le sentiment que le gouvernail est fermement tenu. Lundi soir, toute la France s’est mise à l’écoute de son président. A-t-elle été convaincue, rassurée ?

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  • Sur le blog de Michel Onfray : D'un front qui serait populaire.

    Une machine de guerre pour la Plèbe.

    Pour ce qu’on peut en dire, et qui reste sociologiquement et historiquement repérable, la France est coupée en deux et ces deux parties sont elles-mêmes fendues en deux: ce qui veut dire que quatre morceaux français surnagent dans un archipel de débris sociologiques constitués par les abstentionnistes, les votants pour le bien-être des poissons rouges, les radicaux en tout (pourvu qu’il s’agisse de radicalités) et les dévots du vote blanc ou nul.

    Les deux coupures majeures séparent droite et gauche qui, quoi qu’en disent d’aucuns, reste une ligne de fracture significative. L’histoire de la droite existe, celle de la gauche également, même si elles sont recouvertes sous une croûte idéologique qu’il conviendrait de faire sauter au marteau…

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  • Dans Valeurs Actuelles, “Manque absolu de logique” : l'Ordre des médecins s'oppose à la réouverture des écoles.

    Lors de sa dernière allocution, Emmanuel Macron avait annoncé la réouverture “progressive” des crèches, écoles, collèges et lycées dès le 11 mai. Une aberration pour l’Ordre des médecins.

    La nouvelle avait fait grincer des dents. Lundi 13 avril, pour sa quatrième allocution durant la crise du coronavirus, Emmanuel Macron annonçait que les élèves de l’enseignement primaire et secondaire devraient retrouver le chemin de l’école dès le 11 mai.

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  • Est-ce le temps de sortir de l’emprise de l’État ?, par Philippe Kaminski.

    Entre les mastodontes que sont l’État et le Marché, une troisième voie existe. Elle s’est incarnée aujourd’hui sous le nom et la forme de l’Économie Sociale. Dans la trinité économique, l’État représente le Père, le Marché correspond au Fils, tandis que l’Économie Sociale pourrit être assimilé au Saint-Esprit.

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  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, Francois Xavier Bellamy - "Nous avons vécu avec l'idée qu'il n'y avait plus de menaces !".

    François-Xavier Bellamy, professeur de philosophie et député au Parlement européen, au micro d'André Bercoff sur Sud Radio


  • Dans Valeurs Actuelles, Notre-Dame de Paris, 1 an après l'incendie.

    Le 15 avril 2019, la cathédrale de Paris était la proie des flammes. Un an après, le chantier est en pause à cause de l'épidémie de coronavirus mais l'échéance de la restauration sous 5 ans est maintenue.


  • Sur la page facebook d'Emmanuel Boutang...

    Journal de bord intelligent et cultivé de la pandémie, à mon avis immensément profitable aux flux d'informations partisanes des média autorisés, tels BFM tv ou france Info, avec notamment une courte biographie de Maxime Real del Sarte, que l'on aurait guère de chance de trouver dans les média sus-nommés.

    Radio Virus J29 - 14 avril 2020 Venez découvrir notre nouvelle émission entre actualité, divertissement et formation. De quoi vous libérer du confinement...
     
     
  • Sur le blog de Michel Onfray : une nouvelle revue pour les jours "d'après".

    Sauvagerie de la mondialisation, dévoiement de l’Europe, arrogance des gouvernants, appauvrissement des classes populaires, collusion des médias et du pouvoir, casse de l’hôpital public, sécession des territoires perdus de la République: L'épidémie de coronavirus agit comme un révélateur photographique qui met au jour l’état désastreux de notre pays.

    Mais nos malheurs ne s'arrêtent pas là. Après la crise sanitaire viendra le temps de la facture économique. Et les ménages modestes seront à n'en point douter bien plus pénalisés que la France d'en haut. Il suffit de voir le durcissement du Code du travail décrété dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire... alors que le droit du capital, lui, n'a été retouché en aucune manière. En cette période troublée, la finance continue de régner.

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  • La triste prophétie de Luc Ferry est réalisée : "On a mis un gamin à l'Elysée, on va le payer très cher".

    Ce propos a été tenu dans l'émission de Bercoff à Sud Radio que nous vous avions déjà présentée le 24 Décembre 2018 et que nous vous remettons ci-dessous.

  • Sur Figaro Vox, de quoi la foi en Didier Raoult est-elle le nom?, par Gilles William Goldnadel.

    Symbole d’un bon sens populaire qui se heurterait au «dogmatisme» des puissants, le professeur marseillais, qu’il ait raison ou tort, est devenu l’emblème d’une défiance du peuple envers ses élites, estime l’avocat et chroniqueur.

    On voudra bien exclure de ce questionnement toute réflexion sur les éventuels bienfaits de la chloroquine, sur lesquels je confesse bien volontiers mon absence complète d’expertise.

    Bien mieux, à l’époque des sachants en tout genre, je revendique mon ignorance.

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