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Le Premier ministre, s’exprimant le 28 avril devant l’Assemblée nationale, a considéré que les cultes ne pouvaient reprendre normalement que le 2 juin. Tollé chez les évêques de France, alors même que nos voisins, comme l’Allemagne, annoncent aujourd’hui rouvrir leurs lieux de culte sous conditions.
Depuis l'annonce de cette rentrée, qui en a "étonné" plus d'un et qui a suscité un nombre considérable de critiques et d'inquiétudes, l'alerte lancée par les pédiatres anglais sur les graves risques courus par les enfants en cas de contact avec le COVID a fait l'effet d'une bombe.
Lafautearousseau a relayé cette information alarmante dans sa chronique télévisuelle sur l'intervention de Zemmour (C News de lundi dernier).
Alors que le pays devrait se déconfiner progressivement dès le 11 mai prochain, Emmanuel Macron a annoncé que les cultes ne reprendraient qu'à la mi-juin. Une annonce difficile à comprendre.
Nous ouvrons aujourd’hui un débat interne à notre mouvement proposé par des militants de longue date, inscrits dans l’histoire de l’Action française et connus pour leurs actes et leurs écrits. Ils font un constat lucide de la faillite du politique dans notre pays appuyé par une partie de l’« élite » intellectuelle engagée pour la dissolution de la nation dans un mondialisme impersonnel, technocratique et aveugle aux besoins des peuples. Mais en dehors de ce constat que nous partageons tous, ils nous proposent de réfléchir,à l’occasion éclairante de la pandémie brandie comme « l’Armageddon », ensemble , à des alternatives possibles,pour le jour d’après,dans tous les domaines : Sociaux, économiques, culturels… pour rapprocher les français et trouver des outils susceptibles de contrer les agissements d’un système autiste, et méprisant toute tentative de prendre en compte l’expression populaire en la taxant de populiste, c’est-à-dire aux yeux des libéraux libertaire : Extrémiste et intolérante, ce qui est un comble quand on connait l’arsenal répressif déployé par le pouvoir contre toutes formes d’opposition dans notre pays. Étant donné la longueur de ce texte, il paraitra en deux parties. Nous commençons par le constat et nous continuerons sur la mise en « ordre de bataille ».
Lundi noir pour la police dans les Hauts-de-Seine!
Deux policiers d’Asnières ont été suspendus. Une vidéo avait indigné: elle les montrait plaisantant et tenant des propos racistes (« un bicot, ça sait pas nager »). Pendant ce temps, on ne s’indigne pas autant des attaques visant les policiers voulant faire respecter le confinement ou de la voiture folle de Colombes qui en a blessé deux autres hier.
Vers 17h30 ce lundi 27 avril, un homme en scooter refuse d’obtempérer face à un contrôle de police à motos à Colombes. Après une course-poursuite, l’individu abandonne son deux-roues et prend la fuite à bord d’une voiture. L’équipage de police se trouve alors sur le bas du boulevard de Valmy, quand un second véhicule les percute de plein fouet, volontairement. L'auteur de cet assassinat/tentative d'assassinat est un homme de 29 ans nommé Youssef T., domicilié à Colombes et né à Lunéville. Il a affirmé aux autorités : "Je l'ai fait pour l'Etat islamique."
Quand les chrétiens pourront-ils retrouver le chemin de leurs églises ? Les évêques s’en préoccupent à l’unisson des fidèles. Plus généralement la puissance publique donne-t-elle l’importance nécessaire au souci spirituel ?
Alors que l’ensemble des activités (hormis les bars et les restaurants) devraient reprendre le 11 mai, les fidèles devraient attendre au mieux mi-juin pour une réouverture des lieux de culte !
Comme le précise le Père Thierry Magnin, «la priorité sera de pouvoir célébrer des messes pour les défunts et leurs familles qui n’ont pas eu de célébration religieuse. Le traumatisme est grand de ne pas avoir pu revoir leur mort ». Quant à la reprise des messes et sacrements habituels, il indique qu’elle est aussi envisagée comme une urgence, car « le besoin spirituel est une nécessité ».
Avant même que d'être anti-royale, la Révolution française fut anti-chrétienne, et la Révolution se voulut dès le début une Nouvelle Religion Républicaine : à preuve sa décision de dater les évènements de "l'an 1 de la République", pour signifier la fin de l'ère chrétienne, qui datait - elle - les évènements à partir de la naissance du Christ : "Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l'homme et aux principes de la souveraineté nationale tels qu'ils ont été définis par la Déclaration de 1789..."