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La France a déjà dépensé 120 milliards d'euros dans les éoliennes, par LUDOVIC GRANGEON
Pendant la construction de 8000 éoliennes en France, terrible échec industriel, le budget de la santé a subi 8 milliards de crédits supprimés, 100 000 lits fermés, 95 services d’urgence éliminés, la moitié des maternités rayées de la carte.
Il ne fallait pas être grand clerc pour comprendre que, la Chine ne passant pas pour très économe de la vie de ses citoyens, le confinement de l'une de ses villes de plusieurs millions d'habitants par les autorités communistes témoignait de facto en faveur de la gravité de cette crise du coronavirus. Je l'ai pour ma part fait savoir sur un plateau de télévision fin janvier. Ce pays, dont il est dit qu'il prélève dans les prisons les condamnés à mort qu'il exécute afin de vendre leurs organes frais au marché noir des transplantations partout sur la planète, n'est pas connu pour son humanisme, son humanité et son souci des hommes concrets. C'est le moins qu'on puisse dire... En prenant ces mesures, il disait à qui réfléchissait un peu qu'il y avait péril en sa demeure, donc en la nôtre. Qui l'a vu? Qui l'a dit? Qui a compris cette leçon? La plupart ont vu et dit ce que les agents de l'État profond disaient qu'il fallait voir et dire.
La France a vécu depuis une semaine à peine comme si brusquement au monde réel, habituel, s’était substituée une autre réalité. Il y avait une épidémie menaçante, et il y avait des élections municipales. Le pouvoir en place, en grande difficulté dans l’opinion, emberlificoté dans la réforme des retraites qui accentuait l’hostilité d’un grand nombre de Français à son encontre, semblait vouloir faire de la réponse au risque sanitaire l’occasion d’une remontée dans les sondages. Les aveux étonnants de l’ex-ministre de la santé, Mme Buzyn, parus dans Le Monde d’hier, jettent à la fois une ombre sur le comportement de l’exécutif et de la clarté sur la chronologie de cette étrange période.
A propos de l'hymne corse, "Dio vi salvi, Regina..."
On aura ci-après deux versions du Dio vi salvi Regina, la première plus traditionnelle (voix seules, féminine et masculines), la deuxième orchestrée et plus inattendue :
La manière dont se sont déroulées les élections municipales n’est pas favorable au fonctionnement de notre démocratie. Depuis 2017, M. Macron et son parti sans passé ni racines ont rendu le débat politique confus et incertain. L’arrivée du coronavirus et l’indécision du gouvernement sur sa dangerosité et sur le report des élections ont créé un climat peu propice au vote serein.
Le président chinois, Xi Jinping a déclaré au directeur général de l’OMS, le 28 janvier 2020, que « l’épidémie est un démon. Nous ne pouvons pas laisser le démon se terrer. »
Pour la Chine de toujours, « la politique n’est qu’une forme suprême de l’art médical ». Elle se doit donc de purifier l’ensemble du corps social de tout ce qui le corrompt. En 2017, dans un discours au Parti communiste chinois, il avait dénoncé l’extrémisme religieux comme un poison devant être éradiqué. Pour lui, seule la religion chinoise traditionnelle est bonne. C’est pourquoi les hôpitaux bâtis à la hâte dans la périphérie de Wuhan s’appellent « l’hôpital du dieu du mont tonnerre » et « l’hôpital du dieu du mont volcan ». « Ainsi la religion est considérée par le pouvoir chinois à la fois comme la source du mal qu’il faut combattre et comme la solution pour venir à bout de ce même mal : à la fois le poison et le remède. Lorsqu’elle est entre les mains du pouvoir qui l’utilise pour ses objectifs politiques, c’est un remède, mais lorsque la religion est vue par le pouvoir comme un phénomène incontrôlable qui propage des maladies idéologiques ou physiques dans le corps socio-politique, c’est un mal démoniaque contre lequel il faut lutter sans pitié » [1].
Macron et Xi sont sur la même trajectoire : de la minimisation de la crise (phase 1) au retour à la normale (phase 4) annoncé et proclamé, tout est fait pour maintenir l’illusion du contrôle.
Depuis le début de la crise sanitaire provoquée par l’épidémie venue Chine, les hommes politiques rivalisent avec les journalistes pour s’adresser à la population et lui expliquer comment elle doit se comporter afin de pouvoir retrouver rapidement une vie normale. Devant cette débauche d’informations, pour maintenir l’attention en haleine, on a divisé sans le dire mais à l’image de ce que l’on a imaginé pour la crise sanitaire, la lutte contre le virus économique en trois stades.
Notre-Dame, comme chacun le sait, est l’âme de la France. C’est autour d’elle que les Français se réunissent et cela est bien normal puisque la France lui est consacrée. Comment ne pas en être conscient aujourd’hui quand on voit l’émotion qui a gagné tous les Français devant leur cathédrale en flammes ? Dans toutes leurs épreuves comme lorsqu’ils veulent partager leur joie, les Français se réunissent toujours aux pieds de Notre Dame. Si les divertissements bruyants prennent place sur les Champs-Elysées où s’agglutinent des masses bigarrées, les grandes émotions du peuple uni et solidaire ne peuvent s’exprimer que devant Notre Dame. Elle est notre Reine, mais aussi notre confidente. C’est pourquoi, en méditant sur la restauration de la cathédrale de pierres les Français doivent y puiser aussi un enseignement pour leur vie de citoyen. En effet, si le monument qui est le symbole de notre pays, est aujourd’hui bien abîmé, le pays lui-même, ouvert à tout vent, menace ruine.