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Actualité France - Page 254

  • Une réforme jacobine, par Himaire de Crémiers.

    Du libéralisme au jacobinisme et du jacobinisme au totalitarisme, il n’est qu’un pas que Macron franchit sans scrupule.

    Il y a tout lieu de penser qu’il faudra passer par le 49-3. Que de cris, que d’indignation en perspective ! De quoi alimenter la rhétorique parlementaire, d’un côté comme de l’autre ! C’est ce qu’on appelle en France la vie politique. Et si vous souriez ou émettez un doute sur l’intérêt de pareilles institutions, vous serez soupçonné d’entretenir dans vos pensées un antiparlementarisme par définition coupable : vous attentez à la démocratie ! Où est Aristophane ?

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  • Dans Boulevard Voltaire : Collectif Nemesis, Marianne contre la PMA, Valérie Boyer : ces femmes dont les féministes ne veulent pas entendre parler…, par Gabrielle Cluzel.

    Nous avons présenté hier le COLLECTIF NEMESIS en relatant sa dernière activité. Voici que sur Boulevard Voltaire, Gabrielle Cluzel parle à son tour de ce collectif et des autres mouvements qui lui ressemblent.

     

    Le féminisme a pris son essor au XXe siècle pour lutter, dit-on, contre l’assignation de la femme – résumée au XIXe par cette allitération attribuée au Kaiser Guillaume : Kinder, Küche, Kirche – et sa mise sous tutelle par une société réputée intrinsèquement machiste.

    Nous sommes au XXIe siècle et il faut se rendre à l’évidence : la femme est plus que jamais sous tutelle, seul le tuteur a changé… aussi souple qu’une barre à mine.

    Ce vient de le montrer de façon éclatante : de domestique, l’assignation est devenue idéologique. La femme doit marcher droit, le petit doigt sur la couture du pantalon qu’elle a désormais le droit de porter – c’est plutôt la jupe qui serait, dans certains quartiers, menacée -, en rangs serrés, pas une tête qui dépasse, armée docile de supplétives empressées pour une cause qui les dépasse et les écrase.

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  • Sur Figaro Vox, Éric Zemmour : « Plaidoyer pour le 49.3, arme institutionnelle décisive ».

    Les assemblées ne sont plus le cœur de la souveraineté nationale. Les nostalgiques en particulier la France insoumise, doivent se faire une raison: ils ne vivent plus sous la IVe République.

    Cela devient un rituel. À chaque fois qu’un premier ministre décide la mise en œuvre de l’article 49 alinéa 3 de la Constitution, c’est un tollé. Tout le monde - dans l’opposition, dans les médias, mais aussi dans la majorité - fait chorus pour tempêter contre cet «acte de brutalité», ce «déni du Parlement». Ces derniers jours, on montre volontiers les images d’Édouard Philippe, alors député juppéiste, protester avec véhémence contre le socialiste Manuel Valls qui, locataire de Matignon, avait actionné l’arme fatale.

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  • « Le grand rire de l’Immortel ! », par Hilaire de Crémiers.

    Comment le plus normal devient le plus extraordinaire.

    Mercredi 19 février, à l’Institut de France, quai de Conti, face au Louvre et dans la perspective unique de la Seine que rehaussent de symboliques festons les clartés vespérales, au sein de ce Paris royal où bat le cœur de la France, dans les salons du Secrétaire perpétuel de l’Académie française, Madame Hélène Carrère d’Encausse. Cela se passe bien chez elle, dans ce logement qu’elle a voulu aménager elle-même lors de son installation avec son propre mobilier pour bien signifier que, quand elle reçoit, c’est elle qui reçoit, elle et nul autre, et bien sûr tout ce qu’elle représente, dont les portraits en nombre des académiciens d’avant la Révolution qui regardent fixement les invités de l’heure du haut des cimaises de l’une des salles de réception.

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  • Elections municipales/Martigues : dans Le Parisien...

    (l'article est réservé aux abonnés, mais le titre est, déjà, intéressant...On connaît notre position sur le sujet : si l'actuelle équipe municipale venait à tomber, ce serait grande fête, partout, pour tous ! Coronavirus ou pas !!!!!!)

     

    Municipales 2020 : à Martigues, le Parti communiste fragilisé par l’extrême droite

    La ville des Bouches-du-Rhône de 50 000 habitants est communiste depuis 60 ans. Mais cette fois-ci, le Rassemblement national peut créer la surprise.

     Gaby Charroux, maire communiste de Martigues (Bouches-du-Rhône).
    Gaby Charroux, maire communiste de Martigues (Bouches-du-Rhône). LP/Olivier Corsan
  • Crash tests, par Philippe Mesnard.

    Vladimir Poutine a décidé de mettre à mal la démocratie, comme chacun sait.

    Après avoir fait élire Trump président des États-Unis, le voilà qui empêche Griveaux d’être élu maire de Paris ; ce qui est presque la même chose ; enfin, c’est un poste important ; en tout cas, en France, ça en jette ; disons que LaREM aimerait régner sur quelques villes en plus du reste du pays. Bref, c’est Poutine qui a grillé Griveaux, comme il a promu Trump, car la mairie de Paris est le symbole du monde libre. D’ailleurs, si Buzyn est élue, Poutine n’y sera pour rien mais si elle perd, c’est bien parce qu’il aura préalablement ruiné la démocratie. Car la démocratie, c’est LaREM. Quand la république en marche ne marche plus, la démocratie s’arrête. Telle est désormais le paysage mental dans lequel nous sommes priés de circuler sous peine d’être suspects de mille péchés. La vie politique du pays légal est devenue un immense concours d’infox officielles et d’indignations commandées, comme si le pouvoir en place éprouvait la servilité passive des citoyens. Pour le moment, ça fonctionne très bien et le peuple français a passé haut la main tous les tests de soumission ahurie.

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  • Sur la page facebook de l'Action Sociale Corporative

     

    Tout notre soutien royaliste aux avocats qui se battent pour garder leur système propre de retraites, et contre la spoliation de leur caisse de retraite (leur patrimoine corporatif, en somme) par une République qui, à défaut de bien gérer le pays, se contente de voler ceux qui réussissent mieux qu'elle !

  • Entièrement d'accord avec Philippe Delorme (vu sur sa page facebook)

    A partager massivement, et à publier en commentaire pour tous les articles de presse qui utilisent ce mot "cluster" au lieu de "foyer" (d'infection)...

     

    Des "journalistes" qui se croient malins utilisent le terme anglais "cluster" pour désigner un "foyer" d'infection, concernant la pandémie de coronavirus...
    Quand un §$*&@#$ (censuré) vous explique que le mot "cluster" est intraduisible... avant de vous dire qu'on peut parfaitement le traduire par "foyer" : https://www.cnews.fr/…/coronavirus-pourquoi-parle-t-de-clus…

  • La République du 49.3., par Jean-Philippe Chauvin.

    Ainsi, nous y sommes : le premier ministre qui, en d’autres temps (ceux de son opposition au pouvoir hollandiste), dénonçait le recours gouvernemental à l’article 49.3, en use à son tour, non pour faire taire une quelconque contestation au cœur de sa majorité parlementaire (ce qui, en somme, était l’argument rituel d’usage de ce fameux article), mais pour contourner les débats parlementaires et, surtout, abréger le temps qui leur était nécessaire, selon les us et coutumes de la démocratie représentative. Le gouvernement n’a jamais caché qu’il entendait en finir avec la première lecture de la réforme des retraites avant les élections municipales qui, si l’on en croit les études d’opinion, s’annoncent piteuses pour le parti présidentiel : et la cause est entendue, à défaut que ce soit les syndicats ou les professions organisées comme celle des avocats, plus que sceptiques à l’égard d’une loi spoliatrice de leur caisse autonome de retraites, véritable « patrimoine corporatif ».

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  • Marianne pendue au gibet du 49.3 !, par Frédéric de Natal.

    (Notre ami Frédéric de Natal a lui aussi évoqué cette "affaire de Toulouse" sur sa page FB, qui se termine par une conclusion non dénuée d'humour; sur ce sujet des descendants d'Henri IV et de Saint Louis, rappelons une fois de plus ce qui va sans dire mais qui va encore mieux en le disant; tout le monde connait bien notre position, qui n'a pas changé et qui ne changera pas : pour nous, l'avenir c'est Jean IV...)

    L'acte a été condamné par divers élus locaux. Hier, à Toulouse et au petit matin, une vingtaine de jeunes militants de l'Action française ont pendu «symboliquement » une effigie de « la gueuse », ce terme méprisant habituellement attribué à la République depuis l’Entre-deux-guerres par les monarchistes.

    Le jour–même, le gouvernement du premier ministre Edouard Philippe dégainait l’article 49.3 de la constitution de 1958 afin de faire passer en force un projet de loi sur les retraites, victime d’une obstruction parlementaire.

    Entre ces deux actes, aucune corrélation si ce n’est le signe d’une France malade de sa démocratie et qui semble entamer désormais le dernier chapitre de son existence sur fond de violences sociales rarement atteintes dans son histoire.

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  • L’Église face à l’épidémie, par Gérard Leclerc.

    L’épiscopat français a donné des consignes pratiques que l’on pourrait dire d’hygiène, afin de protéger les fidèles des risques de contagion du coronavirus dans les églises lors des messes. Certains s’en sont émus, ne trouvant pas admissible, par exemple, que l’on interdise la communion dans la bouche. Que dire alors des protestations qui s’élèvent contre la suppression pure et simple de la liturgie dans certaines régions en Italie, et pour ce qui concerne la France dans le seul diocèse de Beauvais qui recouvre le département de l’Oise ?

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  • Sur Figaro Vox, Éric Zemmour: «L’immigration, la grande peur des penseurs libres».

    La France est menacée. Vouée à la guerre civile au pire, à la partition au mieux, selon l’ancien directeur-général de la DGSE Pierre Brochand.

     

    On le confond souvent avec son frère, le publicitaire et ancien maire de Cannes Bernard. Mais à son âge vénérable, on fait fi de ce genre de vanités. Pierre Brochand est ce qu’on appelait naguère avec admiration un grand serviteur de l’État. Ambassadeur de France, ayant fait l’essentiel de sa carrière à l’étranger, il revint dans notre pays diriger la DGSE (le contre-espionnage français) sous les mandats de Chirac et Sarkozy.

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  • Contre les dérives de la vie religieuse, par Gérard Leclerc.

    Il n’y a pas que l’Église qui soit en état de crise, face à des révélations en chaîne qui mettent en cause son fonctionnement interne. Beaucoup de secteurs de la société se trouvent affectés par une avalanche d’accusations et il semble bien que c’est toute une civilisation des mœurs qui s’interroge sur ses fragilités et ses dévoiements. Le procès Weinstein, dont la première phase vient de se clore à New York, constitue, de ce point de vue, une étape intéressante, avec la condamnation d’un personnage hier tout puissant dans l’univers hollywoodien. Il se trouve, par ailleurs, que l’appareil de la justice permet d’échapper à certains processus pervers aboutissant à des lynchages incontrôlés.

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  • Sur la page facebook de l'Action française Toulon....

    Paris est à nouveau le théâtre des guerres ethniques africaines comme le montrent ces images prises à la Gare De Lyon ce soir.
    L'immigration incontrôlée imposée aux Français amène sur notre terre des conflits qui ne nous concernent pas.

    Petit rappel du discours de Gérard Collomb ancien ministre de l'intérieur lors de son départ du gouvernement :
    "Quand les quartiers se paupérisent, se ghettoïsent, il ne peut y avoir que des difficultés", a-t-il mis en garde. "On vit côte à côte, je crains que demain on ne vive face à face, nous sommes en face de problèmes immenses".