Vu sur la page FB La vraie démocratie : Ce médecin balance tout sur l'épidémie de coronavirus.
« Ils ont coupé les vivres d'un chercheur » Jean-Paul Hamon
Extrait de l'émission «Ça fait parler» diffusée sur LCI le 14/03/20
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« Ils ont coupé les vivres d'un chercheur » Jean-Paul Hamon
Extrait de l'émission «Ça fait parler» diffusée sur LCI le 14/03/20
Le président chinois, Xi Jinping a déclaré au directeur général de l’OMS, le 28 janvier 2020, que « l’épidémie est un démon. Nous ne pouvons pas laisser le démon se terrer. »
Pour la Chine de toujours, « la politique n’est qu’une forme suprême de l’art médical ». Elle se doit donc de purifier l’ensemble du corps social de tout ce qui le corrompt. En 2017, dans un discours au Parti communiste chinois, il avait dénoncé l’extrémisme religieux comme un poison devant être éradiqué. Pour lui, seule la religion chinoise traditionnelle est bonne. C’est pourquoi les hôpitaux bâtis à la hâte dans la périphérie de Wuhan s’appellent « l’hôpital du dieu du mont tonnerre » et « l’hôpital du dieu du mont volcan ». « Ainsi la religion est considérée par le pouvoir chinois à la fois comme la source du mal qu’il faut combattre et comme la solution pour venir à bout de ce même mal : à la fois le poison et le remède. Lorsqu’elle est entre les mains du pouvoir qui l’utilise pour ses objectifs politiques, c’est un remède, mais lorsque la religion est vue par le pouvoir comme un phénomène incontrôlable qui propage des maladies idéologiques ou physiques dans le corps socio-politique, c’est un mal démoniaque contre lequel il faut lutter sans pitié » [1].
lafautearousseau
Macron et Xi sont sur la même trajectoire : de la minimisation de la crise (phase 1) au retour à la normale (phase 4) annoncé et proclamé, tout est fait pour maintenir l’illusion du contrôle.
Depuis le début de la crise sanitaire provoquée par l’épidémie venue Chine, les hommes politiques rivalisent avec les journalistes pour s’adresser à la population et lui expliquer comment elle doit se comporter afin de pouvoir retrouver rapidement une vie normale. Devant cette débauche d’informations, pour maintenir l’attention en haleine, on a divisé sans le dire mais à l’image de ce que l’on a imaginé pour la crise sanitaire, la lutte contre le virus économique en trois stades.
(Voici le commentaire posté hier sur l'une de nos pages facebook par François Schwerer, en réaction à l'article de Christian Vanneste)...
François Schwerer Notre Dame de Paris et les élections municipales
Notre-Dame, comme chacun le sait, est l’âme de la France. C’est autour d’elle que les Français se réunissent et cela est bien normal puisque la France lui est consacrée. Comment ne pas en être conscient aujourd’hui quand on voit l’émotion qui a gagné tous les Français devant leur cathédrale en flammes ? Dans toutes leurs épreuves comme lorsqu’ils veulent partager leur joie, les Français se réunissent toujours aux pieds de Notre Dame. Si les divertissements bruyants prennent place sur les Champs-Elysées où s’agglutinent des masses bigarrées, les grandes émotions du peuple uni et solidaire ne peuvent s’exprimer que devant Notre Dame. Elle est notre Reine, mais aussi notre confidente. C’est pourquoi, en méditant sur la restauration de la cathédrale de pierres les Français doivent y puiser aussi un enseignement pour leur vie de citoyen. En effet, si le monument qui est le symbole de notre pays, est aujourd’hui bien abîmé, le pays lui-même, ouvert à tout vent, menace ruine.
Émission spéciale Coronavirus : Quelles conséquences pour la santé et l’économie ? Avec le docteur Bernard Kron.
Les élections municipales ont deux faces inégales selon la taille de la commune. Ce sont des scrutins locaux destinés à pourvoir villages et villes des élus qui vont les gérer, les administrer, les diriger pendant les six ans à venir, mais ce sont aussi des élections qui ont une portée nationale, de trois manières : concrètement les conseillers municipaux et les grands électeurs désignés par ceux-ci éliront à leur tour les sénateurs, plus subtilement un certain nombre de candidats vont acquérir un poids différent après leur élection à l’échelon local ou au niveau national, enfin, un nouveau rapport de forces entre les grandes formations politiques sera établi. Dans les petites communes, c’est la dimension personnelle et la responsabilité locale qui l’emportent sur le clivage politique. Plus la taille augmente, plus le choix politique, partisan, accroît son importance.
Passé l’optimisme de rigueur, l’Europe et la France mondialistes découvrent à quel point elles ont lié leur destin à la Chine. La souveraineté économique est à nouveau à l’ordre du jour. Mais qui a fait en sorte que les états souverains ne puissent la garantir ?
Au début de la crise sanitaire qui a pris sa source dans la ville de Wuhan en Chine, le ministre français de l’économie, Monsieur Bruno Le Maire n’a pas craint de dire que l’économie française n’en souffrirait pas significativement. D’après lui, elle ne coûterait à la France que 0,1 point de croissance. Cet optimisme, alimenté par des calculs statistiques de technocrates, semble sous-estimer trois facteurs qu’il est important de prendre en considération : une donnée historique, des conséquences purement internes et enfin une interrogation sur le modèle de développement économique.
Reportage de l'excellent Le Média pour Tous - Vincent Lapierre sur la réforme des retraites. Une fois de plus on peut constater que l'extrême gauche se complaît des attitudes crasses et complètement hystériques refusant le débat des idées (par peur de se faire humilier). Ce reportage montre une fois de plus que l'extrême gauche ne connaît rien au royalisme et qu'elle est bel et bien un idiot utile du système capitaliste qu'elle décrit pourtant. Notons cependant que certains sont plus ouvert que d'autres au dialogue et prêt à débattre.
Alors que le gouvernement d'Emmanuel Macron tente de faire passer en force sa réforme des retraites par l'utilisation de l'article 49.3 de notre Constitution, les oppositions s'organisent tant bien que mal. Ce samedi 14 mars, la mobilisation s'annonce massive, mais avant ça, des échauffements ont lieu dans toute la France, à l'appel de la CGT notamment. L'occasion pour Thibault et l'équipe du Média pour Tous d'aller à la rencontre de ces Gilets Rouges, ouverts à la discussion pour certains, ouverts à la guillotine pour d'autres.
Nous avons rendu compte, avec sympathie et en toute amitié, des activités récentes des Collectif Némesis et Marianne contre la PMA.
Cependant, si nous ne trouvons rien à redire à l'action menée par Némesis, l'autre Collectif nous permettra de trouver très mal choisi son nom, d'abord, et surtout, ensuite, l'horrible symbole révolutionnaire terroriste qu'est le bonnet phrygien.
A cette occasion, et puisqu'il l'a très bien exprimé à l'époque, nous redonnons ici la parole à Jean Sévillia qui expliquait déjà, en avril 2013, lors des Manifs pour Tous, combien ce symbole était employé fort mal à propos...
Rien à rajouter, rien à retrancher, tout est dit et bien dit...
Robert Ménard brigue un second mandat. TV Libertés s’est rendu à Béziers à la rencontre des biterrois et de leur maire sortant. favori des sondages, Robert Ménard aura tout de même fort à faire pour conserver son fauteuil.
Le maire sortant de Martigues et candidat à sa succession Gaby Charroux a annoncé l’annulation de son meeting, qui était prévu jeudi soir. Il veut faire croire que cette annulation est motivée en partie par l’affluence attendue ("Nous étions 1200 en 2014") alors qu'est interdite tout réunion de plus de mille personnes...
Mais on n'est pas obligé de le croire sur parole : il peut y avoir bien d'autres raisons qui motivent cette annulation, notamment la crainte de n'avoir, au contraire, que très peu de personnes, par peur du Covid 19...
Et la campagne électorale, cette fois-ci, a été et reste plus rude que les fois précédentes...
Du libéralisme au jacobinisme et du jacobinisme au totalitarisme, il n’est qu’un pas que Macron franchit sans scrupule.
Il y a tout lieu de penser qu’il faudra passer par le 49-3. Que de cris, que d’indignation en perspective ! De quoi alimenter la rhétorique parlementaire, d’un côté comme de l’autre ! C’est ce qu’on appelle en France la vie politique. Et si vous souriez ou émettez un doute sur l’intérêt de pareilles institutions, vous serez soupçonné d’entretenir dans vos pensées un antiparlementarisme par définition coupable : vous attentez à la démocratie ! Où est Aristophane ?
Nous avons présenté hier le COLLECTIF NEMESIS en relatant sa dernière activité. Voici que sur Boulevard Voltaire, Gabrielle Cluzel parle à son tour de ce collectif et des autres mouvements qui lui ressemblent.
Le féminisme a pris son essor au XXe siècle pour lutter, dit-on, contre l’assignation de la femme – résumée au XIXe par cette allitération attribuée au Kaiser Guillaume : Kinder, Küche, Kirche – et sa mise sous tutelle par une société réputée intrinsèquement machiste.
Nous sommes au XXIe siècle et il faut se rendre à l’évidence : la femme est plus que jamais sous tutelle, seul le tuteur a changé… aussi souple qu’une barre à mine.
Ce 8 mars vient de le montrer de façon éclatante : de domestique, l’assignation est devenue idéologique. La femme doit marcher droit, le petit doigt sur la couture du pantalon qu’elle a désormais le droit de porter – c’est plutôt la jupe qui serait, dans certains quartiers, menacée -, en rangs serrés, pas une tête qui dépasse, armée docile de supplétives empressées pour une cause qui les dépasse et les écrase.