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Carte blanche à Ludovic Granjeon : comme Zemmour, tant d'autres et... nous, il veut stopper l'éolien...

(lafautearousseau vient d' "aimer" la page facebook Stop Eolien 87)

 

La France a déjà dépensé 120 milliards d'euros dans les éoliennes, par LUDOVIC GRANGEON 

Pendant la construction de 8000 éoliennes en France, terrible échec industriel, le budget de la santé a subi 8 milliards de crédits supprimés, 100 000 lits fermés, 95 services d’urgence éliminés, la moitié des maternités rayées de la carte.

La comparaison est insupportable.

Le « grand mensonge » aux Français

Après trois ans de crise grave sanitaire et maintenant le coronavirus fatal, c'est le choix budgétaire de l’Etat qui est malade : seulement 25 % des éoliennes coûtent autant que la remise à niveau de la totalité de notre système de santé, estimée à 30 milliards minimum. Et si le résultat avait été au rendez vous, mais ce n'est pas le cas. La France a englouti 120 milliards dans une solution gadget qui prétendait remplacer le nucléaire : les éoliennes. Après avoir dépensé un coût faramineux égal à toutes les autres énergies, les éoliennes ne fournissent que ce ridicule 5% de l’électricité française, seulement 1 jour sur 5, et elles ont renchéri les tarifs de l’électricité de 35%, pour rien.

La commission parlementaire d’enquête la plus importante des 20 dernières années (Aubert- Meynier Millefert) l’a bien démontré en 2019, y compris au sein de la majorité présidentielle qui a très sévèrement interpellé le dernier congrès de France Energie Eolienne fin 2019, en soulignant ce « mensonge » aux Français. Emmanuel Macron lui mêrme a repris le message à Pau en janvier 2020 en soulignant que nous arrivions au bout de cette logique absurde. La colère gronde.

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Dans le même temps, sous prétexte de rationalisation, les hôpitaux et le secteur sanitaire français subissaient les coupes les plus sévères de leur histoire. Le plan miracle 2019 a fait flop, goutte d’eau dans la mer. De froids technocrates comptables ont pris le pouvoir invisible dans les hôpitaux en y introduisant l’inhumain. Souvent leurs choix budgétaires à court terme aggravent les dépenses au lieu de les réduire par leur incohérence. Non seulement les budgets subissent chaque année des diminutions sévères, mais en plus les fermetures d’établissements de proximité se multiplient, avec des temps de trajets insensés et même dangereux.

La santé est désormais rationnée par le nombre de médecins, les lits hospitaliers, les pharmacies, les équipements, les rendez vous interminables qui arrivent trop tard. 1 français sur 6 se voit contraint de se faire soigner à l’étranger. Le secteur psychiatrique est à l’agonie au niveau des pays les plus reculés, dans l’indifférence générale avec de multiples incidents graves. La gestion des handicapés est médiocre.

Pendant le naufrage de la santé, les promoteurs éoliens font fortune grâce à des crédits publics

Dans le même temps, pour des raisons politiciennes, des opérations financières peu claires, des campagnes de communication sans lendemains, des sommes considérables ont été détournées pour les éoliennes au détriment des postes essentiels de la nation : Défense, Santé, Moyens de secours, Ponts et Chaussées. Le même problème existe avec les pompiers, la police, l’agriculture, et qui se souvient encore de la démission du chef d’état major des armées en raison des suppressions budgétaires ? Qui constate que plus de 2000 chefs de services de santé ont officiellement démissionné de leur poste à ce jour ? Qui compte les suicides de policiers, d'agriculteurs, et maintenant de médecins ?

Même dans les milieux écologistes, nombreux sont ceux qui dénoncent le gâchis total de cette politique sous influence, comme Antoine Waechter, par exemple, ancien candidat des Verts à l'élection présidentielle, ou Delphine Batho, ancienne ministre, qui dénonce les travers financiers de ce secteur, déçue d'y avoir cru un instant.

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Le coronavirus et sa propagation concentrent toutes nos attentions et celle des gouvernements. Pourtant les éoliennes avec leurs conséquences sur la santé publique (acouphènes, vies brisées, pertes du sommeil, troubles du comportement, mortalité inexpliquée dans les troupeaux) n'inquiètent personne. Les autorités sanitaires ferment les yeux sur les victimes. L'État ne veut pas voir son budget siphonné par le pognon de dingue donné aux industriels éoliens. Le ministère de l'écologie, le nez dans les pales, refuse de baisser les yeux pour mesurer la destruction de l'environnement autour des centrales éoliennes. Il est vrai que les centres de décisions et les zones urbaines ne sont pas affectés par l'éolienavirus dont les ravages semblent se limiter aux territoires ruraux.

 

Bien pire, ces investissements publics ont été captés par quelques lobbies financiers qui ont fait les choux gras de quelques individus et de fonds de pension obscurs. Des fortunes par centaines de millions ont été financées directement par le contribuable et les ménages. Des capitaux publics ont été exportés par milliards dans des paradis fiscaux avec un record de 27 milliards au Luxembourg pour Engie, dont l'Etat est actionnaire. Cette seule opération d'Engie équivaut à un plan de secours entier du système de santé...

La fortune personnelle du dirigeant fondateur d'EDF énergies nouvelles est considérable à plus d'un milliard, et logée à l'étranger. La banque egyptienne impliquée dans la corruption du Président Moubarak, comme le confirme le Financial Times, détient majoritairement les éoliennes de l'un des plus importants promoteurs français. Lorsque les taxes de l’électricité ne suffisaient plus pour combler le trou des éoliennes, quelques officines d'influence des ministères ont susurré de trouver le financement par le biais des carburants et cette astuce a produit... la crise des gilets jaunes...

Depuis trois ans, l’hôpital est en crise profonde. Le coronavirus donne le coup de grâce. Les chefs de service dénoncent unanimes le désarroi de leur personnel, le délabrement de leurs locaux et de leurs outils de travail. Les jeunes médecins n’en peuvent plus d’être exploités à mort par un système qui ne respecte pas la réglementation du travail et les paie avec des salaires de misère. 660 000 infirmières soutiennent le système par une présence héroïque qui ne tient qu’à leur dévouement, malgré l’épuisement, l'absurdité administrative, les sous effectifs permanents, et des salaires ridicules. Les agents techniques, les aides soignants bouchent les fuites comme ils peuvent dans des navires en perdition.

Tout cela ne serait que du vent ?

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