En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
LE SPECTACULAIRE TÊTE-À-QUEUE DE L’ALLEMAGNE SUR LE VÉHICULE TOUT ÉLECTRIQUE...
"Pour cette fois, c’est sans doute un service rendu au bon sens", note avec justesse Philippe Oswald dans "La synthèse" qu'il propose ici (voir le lien plus bas).
Herr Scholz, le Chancelier de nos ennemis allemands du Quatrième Reich, vient en effet de faire capoter une "idée" (?) aussi baroque que catastrophique : l'interdiction des véhicules thermiques en 2035.
Et, pour une fois, nous ne le critiquerons pas.
C'est que, comme à l'époque où le tout jeune Jacques Bainville visita l'Allemagne pour la première fois (il allait sur ses vingt ans...) l'Allemagne unie n'a en tête que... ses propres intérêts, ses seuls intérêts, ce qui est absolument normal; et l'on en voit les conséquences heureuses sur son économie; et l'on aimerait voir les dirigeants français leur ressembler, sur ce point, au lieu d'avoir la tête farcie de balivernes, utopies, niaiseries et autres "nuées" ("Les princes des nuées", disait Maurras...).
Réalisme hélas parfaitement "productif" et efficace outre-Rhin, nuées et utopies chez nous, avec notre Système idéologique de folie et en folie : voilà la source du déclassement de la France que l'on constate chaque jour et qui ne fait que s'accélérer...
Heureusement pour nous que nos ennemis allemands ont leurs poblèmes, aussi, et que l'Allemagne unie - cette hérésie tragique... - s'affaisse lentement sur elle-même, notamment sur le plan démograhique et par son "ouverture" insensée à l'immigration : après avoir accueilli deux millions d'étrangers l'année dernière, elle subit une énorme pression de la part du patronat pour en accueillir encore très largement plus d'un million pour les prochaines années...
Ce jour-là, le journal ne parle que très peu du voyage de Maurras. Par contre, celui-ci a envoyé sa "Politique", assez longue, qui occupe les deux colonnes centrales du journal, et dans laquelle il évoque son voyage, presqu'incidemment, à propos d'une mauvaise querelle cherchée par La Croix; et, en page trois, un court billet ("Charles Maurras a visité le front de Catalogne") annonce que les nouvelles arrivent mal d'Espagne; où Maurras, toujours accompagné de l'héroïque Général Moscardó, "passa en revue un bataillon d'infanterie" !
Maurras avec, à sa droite, "Maxime" et, à sa gauche, le héros de l'Alcazar, le Général Moscardó...
• le Lundi 9 mai, le journal ne parle que de Jeanne d'Arc et du Cortège...
• Le Mardi 10 Mai, comme le dimanche précédent, on parle assez peu du voyage :
Maurras a, de nouveau, envoyé sa longue "Politique", qui occupe presque toutes les deux colonnes centrales et la moitié supérieure de la cinquième; un "pavé", signé J. Dourec, est en dessous de la "Politique", dans les colonnes quatre et cinq, avec un "lire la suite en deuxième page") : "Charles Maurras en Espagne - Une journée sur le front". Ce pavé occupe la moitié de la première colonne de la page deux. On y apprend que Moscardó fit rendre les honneurs militaires à Maurras "et quand la compagnie fut passée, le prisonnier vainqueur de l'Alcazar (Moscardó, ndlr) et le prisonnier de la Santé (Maurras, ndlr), ne pouvant ni l'un ni l'autre retenir leur coeur s'embrassèrent chaleureusement, aux acclamations des assistants." Ensuite, avant de participer au repas d'honneur offert par Moscardó, Maurras, Héricourt, Maxime et Gassot apparurent au balcon de la Mairie pour répondre aux vivats de la foule assemblée...
Cliquez sur chacune des deux images suivantes et vous pourrez lire la colonne de la page deux, très émouvante :
Maxime Réal del Sarte écrira, dans l'AF du 13 Mai, un "En Espagne avec Charles Maurras" dans lequel il résume ce voyage, en tire les principales leçons et clôture, en quelque sorte, le sujet...
Ce sera, demain, notre prochaine et dernière livraison sur ce voyage...
-------------------
Pour lire les articles...
En bas de page, une courte "barre de tâches" vous permet d'utiliser le zoom (tout à gauche de la barre) et de changer de page (flèche tout à droite); une fois appuyé sur "zoom", vous aurez, cette fois tout en haut de la page, une autre "barre de tâches" : en cliquant sur le "+", il ne vous restera plus, avec votre souris, qu'à vous promener sur la page, puis passer à la deuxième pour lire la suite...
Même le FMI, entièrement contrôlé par les Occidentaux et l’Amérique, vient de l’avouer dans un rapport tout récent intitulé : « L’or, une réserve de valeur internationale et non plus une relique barbare » faisant allusion à la célèbre définition par Keynes, à Bretton Woods, en 1944.Tous les États dans le monde stockent massivement l’or : en 2022, les achats de 1132 tonnes d’or par les banques centrales n’ont jamais été aussi élevés depuis 55 ans. Ces achats représentent plus du double des achats de 2021 (450,1 tonnes).
Selon le Conseil mondial de l’or, le WGC (World Gold Council), les banques centrales restent, début 2023, très intéressées par l’or. La plupart des achats ont été effectués par trois banques centrales, déjà très actives depuis de nombreuses années : la Chine, la Turquie et le Kazakhstan. La Turquie a été le plus grand acheteur d’or en 2022. En janvier 2023, la Turquie a encore acheté 23 tonnes d’or, portant ses réserves totales à 565 tonnes. La Chine, elle, a intensifié de manière agressive ses achats d’or fin 2022, ayant repris ses achats d’or pour la première fois depuis 2019. Elle a encore acheté 15 tonnes en janvier 2023, en plus des 62 tonnes de novembre-décembre 2022, portant ses réserves totales d’or nominales et officielles à 2025 tonnes, alors qu’elles sont dans la réalité infiniment plus élevées et qu’elles dépassent sans doute déjà les réserves d’or américaines de 8100 tonnes d‘or.
Parce que mieux vaut en rire, après tout, on commencera cette revue d'aujourd'hui ave l'ironie grinçante de Goldnadel, qui épingle le Premier ministre après son "annonce" du remboursement par la Sécu des protections périodiques réutilisables pour les femmes de moins de 25 ans, à poarrtir de 2024 :
"Au moment où la France semble sombrer dans le chaos, il est réconfortant d’apprendre que les règles sont respectées."
Cependant, on nous permettra de protester contre ce semble-gouvernement et ce semble Premier ministre, lorsqu'on apprend, parallèlement, que la même Sécu arrête le remboursement d'un équipement traitant les AVC ! :
• Maurras n'a toujours pas repris, évidemment, sa "Politique", toujours à la même place cependant, et toujours signée "Par intérim, A.F."
Par contre il publie, en haut des colonnes trois et quatre, "Trois notes de retour", où il commence à raconter certains aspects de son voyage...
• Et, surtout, J. Dourec publie, en bas des deux dernières colonnes (cinq et six, avec suite en page deux sur la moitié de la première colonne de gauche) un début de relation complète du déplacement, intitulé :
"Charles Maurras en Espagne - L'accueil du généralissime Franco - La vraie France et l'Espagne nationale - Le déjeuner du ministre de l'Intérieur - La réception à Saragosse".
Depuis le début du voyage, le mercredi 3, c'est le premier véritable début d'une relation complète :
- Maurras élu Académicien correspondant de l'Académie royale des Sciences morales et politiques;
- visite de la cathédrale de Burgos (ci dessous, où repose Le Cid, ndlr) et du monastère de La Huelgas;
- rencontre avec le Ministre de l'Intérieur;
- puis rencontre avec le généralissime Franco, pendant laquelle on a parlé non seulement "guerre et politique" mais aussi "problèmes sociaux", les doctrines, en ce domaine, de La Tour du Pin étant tellement proches de la Charte du Travail élaborée par les franquistes "que l'accord de pensée des deux hommes qui discutaient de ces questions s'est fait, on s'en doute, facilement."...
"En se levant pour reconduire nos amis, le général Franco, d'un geste spontané et émouvant, leur a crié un vibrant "Arriba Francia" auquel ceux-ci ont répondu par un non moins enthousiaste "Vive l'Espagne !"...
Si Maurras a 70 ans - et quelle jeunesse ! - lors de son voyage, Franco, lui, n'en a que 46...
-------------------
Pour lire les articles...
En bas de page, une courte "barre de tâches" vous permet d'utiliser le zoom (tout à gauche de la barre) et de changer de page (flèche tout à droite); une fois appuyé sur "zoom", vous aurez, cette fois tout en haut de la page, une autre "barre de tâches" : en cliquant sur le "+", il ne vous restera plus, avec votre souris, qu'à vous promener sur la page, puis passer à la deuxième pour lire la suite...
La prétendue "réforme des Retraites", et ce qu'a fait ce pauvre gouvernement ces derniers temps ? Guillaume Bigot remet les pendules à l'heure et conclut par la seule chose qu'il convient de jeter à la tête de nos semble-gouvernants de notre semble gouverne-"ment" : "il faut pas prendre les gens pour des idiots !"...
Le tragique tremblement de terre qui a ravagé le sud-ouest de la Turquie et le nord-ouest de la Syrie a particulièrement touché Antakya, qui n’est plus qu’un champ de ruines.
Antakya est le nouveau nom d’Antioche, ville si importante pour les chrétiens car c’est là que ce mot a été utilisé pour la première fois.
Sous l’Empire romain, Antioche fur la capitale de la Syrie et comptait 500 000 habitants. C’était une ville somptueuse dont la rue principale comportait 3200 colonnes. La tradition a fait de Saint Pierre son premier évêque mais c’est Saint Ignace d’Antioche qui organisera cette église jusqu’à son martyre survenu vers 110.
Encore plus de sobriété que la veille pour le récit de ce voyage alors que, justement, Maurras vient de rencontrer Franco, "un peu après une heure de l'après-midi", "pendant près d'une heure" : à peine vingt-deux lignes, perdues au milieu de la cinquième des "six colonnes à la Une", sous le titre on ne peut plus banal "Charles Maurras en Espagne" ! Le journal se plaint : "Nous avons attendu vainement dans la soirée les dépêches qu'avaient dû nous envoyer dans la soirée nos envoyés spéciaux. Sans doute leur transmission avait été retardée de ce côté-ci de la frontière". On ne saurait être plus clair ! Pourtant l'Agence Havas communiquait "Le général Franco a reçu M. Charles Maurras, qui est reparti dans l'après-midi pour Saragosse"
Photo prise le 4 mai lors du séjour de Maurras à Burgos, quelques minutes avant la rencontre entre Maurras et Franco dans les jardins du palais du Caudillo. Sur la photo figurent notamment Ramón Serrano Súñer, ministre de l'Intérieur, le Comte de Mayalde, José Finat, y Escriva de Romaní, homme de confiance de Franco, Pedro Gonzalez-Bueni, ministre de l'organisation et de l'action sociale...
Maurras est le sixième, au premier plan, en partant de la gauche, Maxime Réal del Sarte juste derrière lui, regardant en l'air...
• La "Une" du vendredi 6 (que l'on voit en tête d'article) contient davantage d'informations :
1. D'abord Jean Dourec signale que "le voyage se déroule dans l'enthousiasme et au cri de Vive la France !". Après le passage de Maurras à Burgos et Saragosse, après sa rencontre avec Franco, le Général Moscardó, héros de l'Alcazar de Tolède a fait défiler les troupes devant Maurras :
2. Ensuite J. Delebecque, sur quasiment toute la sixième et dernière colonne explique "Pourquoi il faut reconnaître Franco" et tire déjà une première leçon politique du voyage. Il flétrit l'attitude hostile envers Franco du Pays légal républicain, ouvertement favorable "aux rouges", et s'inquiète d' "une extension possible de l'influence allemande en Espagne après la guerre... Les Allemands ne font rien pour rien... ils entendent acquérir des avantages palpables sous forme de concessions économiques et occuper des postes de choix dans un pays dont la position géographique leur paraît, à juste titre, de première importance." Il est urgent que la France reconnaisse Franco, envoie un Ambassadeur auprès de lui et cesse de laisser la place vide aux autres : "...Si nous avions reconnu le gouvernement Franco, si nous avions un ambassadeur à Burgos, nos adversaires n'auraient pas le champ libre... En amour, a-t-on dit, l'absence est le plus grand des maux. En politique aussi."
-------------------
Pour lire les articles...
En bas de page, une courte "barre de tâches" vous permet d'utiliser le zoom (tout à gauche de la barre) et de changer de page (flèche tout à droite); une fois appuyé sur "zoom", vous aurez, cette fois tout en haut de la page, une autre "barre de tâches" : en cliquant sur le "+", il ne vous restera plus, avec votre souris, qu'à vous promener sur la page, puis passer à la deuxième pour lire la suite...
L'armée de l'air reçoit son premier Rafale hyperconnecté au standard F4.1...
"Le standard F4 fait entrer le programme #Rafale plus encore dans l'ère de la data. @Dassault_OnAir attend désormais la signature du contrat de la tranches 5 pour 42 Rafale 4.1 (30 + 12 en remplacement des avions vendus à la Croatie)."
Retraçons d'abord très rapidement le contexte dans lequel se déroule ce voyage :
1. Maurras (né en 1868) a 70 ans. Un an auparavant, il a fait un peu plus de huit mois de prison à "la Santé" (du au . Il y écrivit chaque jour son article pour L'Action française et, entre autres ouvrages, "Mes idées politiques". Le , près de soixante mille personnes vinrent lui rendre hommage à l’occasion de sa libération au Vélodrome d'Hiver en présence de la maréchale Joffre. Son crime : avoir tout fait pour que le Pays légal français ne pousse pas Mussolini dans les bras d'Hitler - ce qui se passa, en fait...
2. En France, c'est le Front populaire qui a gagné les élections et qui gouverne, lamentablement. Le Pays légal ayant refusé de démembrer l'Allemagne en 1918, tout se passe exactement comme Bainville (mort deux ans plus tôt) l'avait prédit : "la guerre pour dans vingt ans". Le "Front popu" gaspille les dernières années pendant lesquelles il serait encore possible, au moins, de s'armer pour faire face à un Hitler ayant transformé l'Allemagne en forges de Vulcain, et prête à fondre sur la France. Il préfère, ce "Front popu", aider de fait la répugnante et terroriste République espagnole et ce que les Franquistes appellent "Frente popular/Frente crapular". "Aider de fait", car il est empêché par les patriotes de tous bords d'intervenir militairement. "Nous sortirons les religieuses des couvents pour en faire des mères !" criaient les anarchistes républicains espagnols. Belle apologie du viol et de la violence de masse ! La République espagnole n'eut rien à envier, en guise de Terreur et d'extermination, aux terroristes révolutionnaires de 1789/1793 : cornaquée par Staline et le très puissant Komintern, elle n'avait pour rôle, selon le monstrueux Joseph, fils de Robespierre et de la Convention, que de prendre la France et l'Europe occidentale à revers, pour y instaurer cette "société sans classe" et cette "dictature du prolétariat", qui règneront sans partage, pour son plus grand malheur, sur la moitié de l'Europe pendant quarante ans, après 45 !
Heureusement Franco était là, et sauva l'Espagne... Quelques années après sa victoire en 39, refusant à Hitler le passage de son armée par l'Espagne pour prendre à revers notre Armée d'Algérie et d'Afrique, il sauva aussi les forces de la France libre, permit leur victoire et hâta le retour de la paix...
----------------------
Voici la "Une" de L'Action française du mercredi 4 mai 1938 :
Le même jour qui vit Hitler entrer en Italie et être reçu triomphalement à Rome - hélas ! - vit Maurras franchir la frontière française, à Hendaye, en route "Vers l'Espagne de Franco" (titre de l'un de ses ouvrages, dans lequel il explique les buts de son voyage, et ses péripéties...).
L'Action française racontera, évidemment, chaque jour cette "semaine espagnole" de Maurras (du 3 au 10 mai) : pourtant, ce premier jour, comme on le voit d'un simple coup d'oeil, c'est Hitler qui "prend" le plus de place, dans cette "Une", ce qui parasite complètement le compte-rendu des premiers moments de la visite de Maurras à Franco :
• toute la colonne de gauche et les treize premières lignes de la deuxième sont consacrées à l'article de Daudet : "L'entrée triomphale du chancelier Hitler à Rome";
• un "pavé" occupe le bas des deux colonnes centrales (la suite est à lire en page trois) : "Dans Rome pavoisée et illuminée, Hitler a reçu un accueil triomphal";
• enfin, la quasi totalité de la sixième colonne revient à J. Delebecque, pour son article intitulé "Entre les dictateurs"...
Maurras absent, sa "Politique" - qui occupe toujours le haut des colonnes centrales (trois, quatre et cinq) - est signée "Par intérim - A.F."
-----
• Daudet va tout de suite à l'essentiel et remonte aux sources : "...L'origine de la nouvelle alliance italo-allemande - car celle de Bismarck et de Crispi n'est pas si loin de nous, apparaît dans les fameuses sanctions de 1936. Mussolini déclara alors que, devant la volonté, affirmée par M. Eden, d' "asphixier" son pays, aux applaudissements de la clique de Genève - celle-là même qui voudrait actuellement nous jeter dans la guerre pour M. Bénès et la Tcéhcoslovaquie - il saurait, lui, Duce, garder la mémoire de ceux qui auraient refusé d'adhérer à cette ignominie imbécile..."
• Delebecque commence son article par "Le chancelier Hitler est à Rome. Tout a été mis en oeuvre pour donner à sa visite un éclat extraordinaire et qu'il emporte de son séjour dans la ville éternelle un souvenir ineffaçable..." puis écrit : "l'axe est à son zénith (j'emprunte l'expression à M. Gentizon, trop pénétrant observateur pour ne pas faire, immédiatemment après cette consatation, une allusion rapide aux "lois astronomiques des courbes") et l'achève par ce paragraphe, qui va à l'essentiel : "Bref, jusqu'où M. Mussolini est-il disposé à accompagner l'Allemagne ? Tout est là. Le sort de la Tchécoslovaquie, celui de l'Europe entière et de la paix dépendent probablement de sa réponse. Dans une grande mesure, il est l'arbitre du sort de millions d'êtres humains. Et il y a là de quoi donner aux tête-à-tête de Rome un intérêt qu'il n'est pas exagéré de dire capital."
Quel gâchis et quelle amertume ! Quand on sait que Mussolini avait arrêté une première fois Hitler, en mobilisant sur le Brenner en 34 ! Lorsque celui-ci voulait - déjà - annexer l'Autriche ("l'Anschluss") et fit assassiner le chancelier Dolfuss, les deux divisions italiennes envoyées par Mussolini suffirent à l'arrêter. L'Action française souhaitait intégrer Mussolini à une vaste coaliton anti hitlérienne, non, bien sûr, par connivence idéologique, mais par pur intérêt stratégique : priver Hitler de toute alliance possible, unir contre lui le maximum de pays...
• Après avoir, donc, replacé le voyage de Maurras dans son contexte européen angoissant, on a les premières informations (asssez restreintes) données au lecteur depuis Hendaye par "notre envoyé spécial" dans une courte note (même pas l'intégralité de la deuxième colonne) : "Hier à midi, Charles Maurras a traversé le pont international d'Hendaye pour se rendre en Espagne nationale. Accompagné de Maxime Réal del Sarte et de Georges Massot, il a été conduit par notre ami J. Dourec à Irún, où l'attendait Pierre Héricourt..." Accueil par des personnalités, présence des amis d'AF du lieu... : "Charles Maurras a remercié les autorités qui venaient de l'accueillir, en faisant ressortir tout ce que le monde civilisé devait à Franco, à ses soldats et à ses groupements nationalistes qui avaient su à temps réagir énergiquement pour ne pas succomber sous la barbarie soviétique... À quatorze heures les autorités espagnoles ont offert à Charles Maurras un déjeuner officiel à l'Hôtel María Cristina... le déjeuner s'est terminé par un court "brindis" de M. Pradera, faisant acclamer le roi de France, la France réelle et l'Espagne nationale? Notre maître, très ému par l'accueil qui lui était fait, a répondu par "Vivent les Patries ! Vive tout ce qui peut rendre au genre humain le sentiment de sa dignité ! Vive toute l'Espagne nationale ! Vive Franco !". Pendant ce temps Burgos se préparait à réserver un accueil aussi enthousiaste à Charles Maurras. On annonçait dans cette ville son arrivée prochaine." (fin du très court compte-rendu)
-------------------
Pour lire les articles...
En bas de page, une courte "barre de tâches" vous permet d'utiliser le zoom (tout à gauche de la barre) et de changer de page (flèche tout à droite); une fois appuyé sur "zoom", vous aurez, cette fois tout en haut de la page, une autre "barre de tâches" : en cliquant sur le "+", il ne vous restera plus, avec votre souris, qu'à vous promener sur la page, puis passer à la deuxième pour lire la suite...
"Ça bouge", et en bien, au Canada, avec nos amis de Nouvelle Alliance, mouvement de jeunesse indépendantiste et nationaliste...
"Salle comble pour le lancement de notre section à Sherbrooke ! Nouvelle Alliance s'agrandit : samedi le 25 février, plus d’une vingtaine de camarades ont afflué sous nos drapeaux pour mettre la première pierre à leur section militante locale. Reprenons le combat indépendantiste !"
Et, puisqu'on parle de Simone Weil, le hasard veut que ce montage sur Thibon, grand ami de Simone Weil, paraisse juste après l'extrait vidéo précédent, sur tweeter :