LAFAUTEAROUSSEAU - Page 183
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Action FrançaisePendant que Paris et la France s'embrasent face à l'ordre bourgeois, le président des riches est parti recevoir ses ordres de la commission européenne à Bruxelles.
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Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...
Les "faux antifas/vrais terroristes" frappent, encore et toujours... Zemmour à Villeurbanne : l'extrême-gauche menace de s'opposer à sa venue "par tous les moyens nécessaires", le maire PS interdit la séance de dédicaces...
D'accord avec Goldnadel :
"Qui est intolérant ? Qui est violent ? En trois mots : Qui est facho ?"
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Histoire sans paroles (ou presque...), par Guy Adain
La situation est telle que l’on en reste sans voix…Encore que… À Versailles, dans la galerie des glaces; on pourrait y inviter un « familier » plus « légitime » !!!Qui lui nous indiquerait une autre « Voie » plus « Royale » -
Sur TVLibertés : Maurras au-delà des caricatures, par Axel Tisserand
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Axel Tisserand à Levallois-Perret, ce vendredi 24 mars...
La section des Hauts-de-Seine de l'Action française vous convie à un dîner-débat sur « La Voie capétienne », en présence d'Axel Tisserand, ancien élève de Pierre Boutang, agrégé des lettres classiques et docteur en sciences religieuses de l'École Pratique des Hautes Études.• Métro 3 - Bus 174 : Anatole France• Tarif normal : 30 € / Étudiants, chômeurs : 20 €• Réservation obligatoire et renseignements : levallois@actionfrancaise.net -
Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...
La pourriture morale,
la pourriture tout court,
au coeur du Gouvernement (et du Système)...
Caroline Parmentier, Députée Rassemblement national, dénonce la présence, au Palais de Tokyo, d'un soi-disant tableau de Miriam Cahn, présentant une scène de pédo-criminalité.
Écoutez la réponse "dégueulasse" de la soi-disant Ministre de la Culture, en fait ministre militante de la pourriture : pardon pour le mot, mais il y a des moments où il faut parler français et c'est pourquoi nous employons ici ce mot de "dégueulasse", comme on pourrait prendre "infect" ou - pour parler "djeun" - "gerbique"...
Comme le disait notre grand Chateaubriand : "Il est des temps où il ne faut dispenser le mépris qu'avec parcimonie, vu le grand nombre de nécessiteux..."
(extrait vidéo 4'24)
https://twitter.com/christineboutin/status/1638225479818780672?s=20
DEHORS,
LA SOI-DISANT
MINISTRE !
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Rire ou sourire un peu...
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Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...
De Nouvelle Alliance, mouvement de jeunesse québécois indépendantiste et nationaliste :
"20 mars : Journée internationale de la Francophonie. Parler français n’est pas un honneur dû ou acquis. C’est une rébellion face à ce qui nie notre identité, c’est le fruit de la résistance culturelle : ce devoir permanent de chaque Québécois. Demeurons nous-mêmes."
VIVE LE QUÉBEC LIBRE !
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Rire ou sourire un peu...
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Communiqué de l'Action française...
Tout va bien pour Jupiter
La décision de l’exécutif de se passer du vote parlementaire pour imposer la réforme des retraites en usant de l’article 49.3 de la Constitution, après avoir créé une crise sans précédent dans le pays, achève la mise en œuvre du chaos déjà engagée brutalement depuis le début du second quinquennat Macron. Il convient toutefois d’admettre que l’agitation pitoyable du Parlement du fait de l’absence de majorité absolue montre à l’envi les faiblesses du régime parlementaire sous une Ve république ayant perdu toute sa raison d’être.
Estimons-nous heureux que le même Président, qui avait enchaîné illégalement la Nation pendant la crise du COVID se soit encore, dans ce dernier accès d’autorité, appuyé sur la Constitution, dont la pandémie a montré qu’il avait une conception très personnelle.
Que la réforme des retraites soit rejetée par le pays réel et l’Assemblée nationale ne compte pas aux yeux de l’enfant gâté de l’Élysée, qui a décidé que ce qu’il trouvait stupide en 2019, devenait nécessaire en 2023.
C’est en pariant sur le coup de massue de la répression sauvage contre les Gilets jaunes, ainsi que sur la puissante dose de morphine injectée au pays durant la pandémie, que le pouvoir pense se sortir sans trop de dommage de ce passage en force, d’autant que le Président pourra faire sauter quelques fusibles, voire tout le gouvernement, dans la mesure où il ne fait qu’appliquer le cahier des charges de Bruxelles.
L’Action française ne voit dans ce tableau que l’effondrement de la France, laquelle est en réalité et de façon de plus en plus claire l’obstacle à abattre pour enfin avancer vers l’Europe fédérale et anti sociale comme première marche vers un nouvel ordre mondial.
Nous appelons au réveil du pays réel pour faire échouer cette entreprise de suicide national par tous les moyens même légaux.
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Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...
• Bravo à Julien Sanchez, bon et courageux Maire de Beaucaire... :
"J’ai débaptisé en 2015 la rue du 19 mars 1962 dont le nom était une blessure supplémentaire pour tous ceux qui ont perdu un proche en Algérie après cette date. Comme chaque 19 mars depuis, j’ai déposé une gerbe rendant hommage à nos morts en Algérie, AVANT COMME APRÈS le 19 mars."• ... et d'accord avec Amaury Navarranne :"Commémorer le “cessez-le-feu” du 19 mars 1962 est une honte, un véritable mépris pour les drames de dizaines de milliers de victimes d’enlèvements et d’assassinats dans cette Algérie française d'alors. Pieds-noirs, harkis, votre honneur est notre fidélité. #NonAu19Mars" -
La question des retraites n'est pas soluble dans le 49.3 ! (L'avis d'un royaliste social), par Jean-Philippe Chauvin
Ces derniers jours ont été bien agités dans les villes de France, et les slogans des manifestants n’ont pas suffi à étancher la colère qui, sur les lieux de travail ou de convivialité, s’exprime de façon de plus en plus imagée et, en définitive, de moins en moins tranquille : autant dire que le 49.3 a jeté une immense bassine d’huile sur un feu qui ne demandait qu’à se transformer en incendie ! Est-ce de la maladresse de la part d’un président qui paraît de plus en plus absent à la France ou du cynisme, une façon de provoquer une opinion publique qui, malgré les manifestations syndicales des dernières semaines, tendait pourtant à se résigner à cette mesure impopulaire du recul de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans ?Il est étonnant de constater que ce président qui emploie souvent le vocabulaire de l’audace et du courage se réfugie, à la fois craintif et arrogant, derrière un article qui, tout constitutionnel et démocratique qu’il soit, n’en reste pas moins, dans le cas présent, comme un soufflet aux parlementaires, à ce pays légal (de l’Assemblée nationale mais aussi du Sénat) qui d’ordinaire se plie aux apparences de la dispute politique au sein des assemblées et sur les plateaux de télévision et qui, aujourd’hui, se trouve frustré par le Chef de l’Etat de son occupation principale : car, que reste-t-il aux parlementaires d’opposition, par exemple, si ce n’est la seule voie du courage suicidaire ? Si la motion de censure la plus réaliste (1), celle des centristes, réussissait à renverser le gouvernement d’une Madame Borne déjà condamnée au départ prochain, l’Assemblée nationale serait immédiatement dissoute et de nouvelles élections législatives, si l’on en croit les derniers sondages, ne changeraient pas fondamentalement les équilibres actuels, au risque de verser un peu plus dans une sorte de retour à feue la Quatrième République et, donc, à une ingouvernabilité qui serait la pire des politiques pour une France qui, en fait, a besoin d’une direction claire, affirmée et, surtout, volontaire et indépendante, en un mot : souveraine !En fait, à moins d’une grande surprise (2), le gouvernement ne tombera pas, et la réforme des retraites de 2023, qui entrera alors en vigueur dès cette année, n’est que le prélude à celle de 2027 (déjà annoncée par quelques prétendants au siège élyséen et voulue par les instances européennes comme par les milieux financiers) destinée à aligner l’âge légal de départ à la retraite sur les recommandations de la Commission européenne (3), soit 67 ans…Alors, que faire ? Il m’apparaît nécessaire de continuer à dénoncer un report désormais toujours plus loin de l’âge de départ à la retraite, particulièrement injuste pour les classes laborieuses (au sens fort du qualificatif) et populaires, ouvrières, paysannes et d’employés, sans négliger néanmoins que certains peuvent vouloir poursuivre leur profession au-delà de l’âge légal de départ à la retraite et qu’il faut aussi leur ouvrir cette possibilité : un peu de souplesse dans le système d’accès à la retraite est évidemment nécessaire, ce que la réforme Borne, mal ficelée et fort incomplète en plus de ne pas être socialement juste, n’évoque même pas, preuve de son caractère purement technocratique et financier… Mais il faut aller plus loin dans la réaction et rappeler qu’il ne pourra y avoir de pérennité du système de retraites par répartition que s’il s’accompagne d’autres formes d’épargne en prévision du temps de l’après-travail, qu’elles soient corporatives ou socio-professionnelles (cela existe déjà pour certains secteurs d’activité et professions, et parfois depuis fort longtemps), ou qu’elles soient constituées par une « épargne sur les bénéfices des entreprises », dont les formes peuvent varier selon le moment ou l’activité, et selon les profits réalisés eux-mêmes. De plus, il y a trois éléments qu’il ne faut pas négliger pour équilibrer le système de solidarité intergénérationnelle (qui, d’ailleurs, doit fonctionner dans les deux sens et sur des synergies entre générations, entre autres) : 1. Une politique démographique qu’il n’est pas abusif de qualifier de nataliste ; 2. Une politique de l’emploi destinée à garantir, autant que faire se peut, une continuité de celui-ci durant le temps professionnel, y compris pour les travailleurs âgés (je rappelle que ce qualificatif d’âge ne s’applique pas forcément de la même manière selon la profession et la charge de travail, mais aussi selon les forces physiques et la santé des personnes : un ouvrier du bâtiment vieillit plus vite qu’un professeur d’université, en général) ; 3. Une politique de création de valeur (de richesses, si l’on préfère) qui peut être soutenue par une stratégie d’incitation et d’impulsion de l’Etat, et qui doit permettre aux entreprises, quelles que soient leur taille et leur puissance, de valoriser leur activité et d’exploiter intelligemment les atouts français (espaces ; potentialités énergétiques, agricoles ou industrielles ; savoir-faire et matière grise, etc.).La République actuelle peut-elle mener cette politique sociale juste et nécessaire dont le pays et ses habitants ont besoin pour envisager l’avenir sans le poids trop lourd de l’inquiétude ? Au regard des blocages qu’elle semble se créer elle-même, il est logique de douter de ses capacités… A bien y regarder, cette crise sociale et désormais politique (mais ne l’a-t-elle pas toujours été, en fait ?) peut être l’occasion de réfléchir sur les institutions politiques elles-mêmes et leur rapport avec le monde du travail, rapport qui, pour être constructif et crédible, doit largement reposer sur une bonne compréhension de la justice sociale et sur la concertation permanente avec les corps sociaux productifs, partie prenante d’une économie dont ils sont aussi les acteurs incontournables…Notes : (1) : Quand j’écris que la motion de censure présentée par les centristes est la plus réaliste, cela ne signifie pas qu’elle soit la plus satisfaisante mais qu’elle est simplement en mesure de rassembler des voix de tous les bords de l’Assemblée sans être accusée de servir les intérêts des uns ou des autres et, donc, qu’ de mobiliser le maximum des voix possible et nécessaire pour arriver à ses fins, communes à des groupes politiques qui, d’ordinaire, se détestent et s’excommunient rageusement les uns les autres…(2) : Qui sait ? Après tout, n’est-il pas bien connu que « le désespoir en politique est une sottise absolue » ?(3) : Depuis janvier 2011, la Commission européenne recommande de retarder l’âge légal de départ à la retraite à 67 ans, et certains pays ont déjà cédé à cette insistante demande, et cela même s’ils étaient dirigés par des partis de gauche, voire de gauche dite radicale : en Espagne, pour 2027 ; au Portugal, c’est 66 ans et 7 mois, mais avec une possibilité d’élévation prochaine en fonction de l’espérance de vie des retraités eux-mêmes ; en Italie, en Allemagne, en Belgique, c’est aussi officiellement 67 ans, à plus ou moins long terme… -
Un rendez-vous à ne pas manquer...
En hommage au grand Charette et à tous les "Géants" des guerres de Vendée, on nous permettra de profiter de l'occasion pour signaler la parution de notre Feuilleton, qui leur rend hommage et dénonce le Génocide/mémoricide :
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Rire ou sourire un peu... (même jaune, ou... noir !)
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Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...
Emmanuelle Ducros a la dent dure contre cette archi calamiteuse Maire de Paris, la "saccageuse" Anne; elle a aussi de l'humour : pour l'une comme pour l'autre, bravo à elle !"bonjour soeur Emmanuelle. Votre travail avec tous ces pauvres gens qui vivent dans les ordures est remarquable."