Il y a peu, nous passions cette vidéo dans laquelle Matthias Leridon déclarait (et il avait raison) : "On n'est pas Africain parce qu'on naît en Afrique mais parce que l'Afrique bât dans votre cœur".
C'est la même chose pour tous ces "jeunes", ces "enfants de la République" dont a parlé un jour Chirac, ces "chances pour la France" dont a parlé un jour Stasi, ces jeunes et moins jeunes que la République idéologique a fait entrer en France par millions, depuis 1975, menant une politique d'immigration insensée, devenue, par son ampleur inédite et sa soudaineté, une "politique" (?) de substitution de peuplement.
Nous ne généralisons, évidemment, pas : nous avons dit et écrit ici-même qu'une bonne partie des personnes entrées en France depuis la folie des décrets Chirac de 1975 étaient des personnes qui se tenaient correctement, et pour lesquelles une intégration et une assimilation réussies étaient possibles. Par contre, nous avons également constaté les faits, c'est-à-dire une extraordinaire explosion des délinquances en tous genres, d'une part, et l'institutionnalisation d'une sorte de société parallèle, d'autre part, étrangère sur de nombreux points fondamentaux à nos traditions, nos mœurs, nos us et coutumes ancestraux.
Cela, aucun pays ne peut l'admettre, sauf à admettre sa propre dilution, sa propre disparition, du moins eu égard à son Histoire et à l’identité qu’elle a peu à peu forgée. Nous avons donc constamment demandé, et nous continuons, à ce que l'on change nos lois, à ce que l'on durcisse les textes afin qu'il soit possible, sans faiblesse, de déchoir tous les récents arrivés qui ont un comportement délictueux, d'une nationalité française qu'une République idéologique inconsciente - ou trop consciente... - leur a follement attribuée; et dont ils montrent, à l'évidence, par leur comportement, qu'ils n’ont pas qualité pour la porter.
Une telle déchéance prononcée, l'expulsion immédiate de ces délinquants doit suivre, elle aussi sans faiblesse, et sans délai.