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grece - Page 2

  • Contre les idéologies, les faits: en réponse aux élucubrations d'Eric Besson et d'autres officiels du Système, très rapide survol de l'histoire du peuple français, qui existe bel et bien, ne leur en déplaise...(2/5)

              Dans la masse des âneries que l'on entend sur l'identité nationale, il s'agira donc, pour certains, de simples erreurs, due à l'ignorance dans laquelle le Système a volontairement voulu les tenir, éloignés qu'ils sont de la connaissance de leur Histoire vraie. Et ils sont pardonnables, pour cette raison.

              Mais, pour ceux qui en coulisse tirent les ficelles de l'offensive contre notre Nation historique, il s'agit évidemment bel et bien d'un mensonge délibéré, cachant leurs noirs desseins...

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    La France est un isthme, une voie de grande communication entre le Nord et le Midi... Le mélange s'est formé peu à peu, ne laissant qu'une heureuse diversité... De là viennent la richesse intellectuelle et morale de la France, son équilibre, son génie.... La France est une œuvre de l'intelligence et de la volonté (Jacques Bainville).

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  • Contre les idéologies, les faits: en réponse aux élucubrations d'Eric Besson et d'autres officiels du Système, très rapide survol de l'histoire du peuple français, qui existe bel et bien, ne leur en déplaise...(1/5)

    Avant-propos.....  Ce qui se cache, en réalité, derrière la façon idéologique de concevoir l'identité nationale, et à quoi nous renvoient les élucubrations désolantes Éric Bresson...

               Les propos d'Éric Besson-et plus généralement les propos de tous ceux qui mènent un combat acharné contre nos Racines- doivent bien entendu être replacés dans un contexte plus large. Évidemment, celui du Grand cycle, ouvert en 1789/1793, par une Révolution qui a, justement, voulu du passé faire table rase

               Mais aussi celui du Petit cycle, ouvert à la fin du XXème siècle par les tenants orgueilleux du marxisme-léninisme, qu'ils voyaient comme la quintessence, définitivement aboutie, de la-dite Révolution.

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  • Définition de la France: Besson s'enfonce encore un peu plus.....dans le grand n'importe quoi.....

                La Nation française, c'est "un seul peuple, une langue, un territoire, des valeurs et une organisation institutionnelle : la République".

                Lors d'un débat à la cité sensible des "4.000" le 5 janvier à La Courneuve (Seine-Saint-Denis), M. Besson avait déclaré, selon l'AFP, que "la France n'est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion" mais "un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble". En fait, et parlant de "raccourci schématique", le ministre a tenté de rectifier le tir: "j'ai évoqué la France d'avant la France, celle des tribus éparses décrites par Jules César dans ses Commentaires sur la guerre des Gaules.

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    Eric Besson semble ignorer que, si l'Histoire commence bien dans le Croissant fertile, l'actuelle France est l'une des zones au monde dans lesquelles on suit le plus continûment l'apparition de l'Homme; depuis la Dame de Brassempouy (25.000 ans tout de même, bien avant l'Islam !) il y a belle lurette que "cette terre-ci est appropriée..."; n'en déplaise aux ignares et aux idéologues....

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  • Ces ignares qui nous gouvernent.....

                Vite ! Un prof d'histoire-géo pour Carl Bild ! vite, vite !

                Vous direz peut-être : mais, qui est Carl Bild ? C'est le ministre suédois des Affaires étrangères. Ce qui, en soi, ne serait pas une nouvelle propre à empêcher la terre de tourner, sauf si... sauf que....

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  • GRANDS TEXTES (12) : la Préface de "Mademoiselle Monk", d'André Malraux

     

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    Il n’y a pas eu, entre Malraux et Maurras, le dialogue qui - sans doute - eût été possible, si Maurras avait eu le goût de s’y prêter.
    Dialogue ne signifie pas accord général. Et Maurras ne le niait pas, lui qui a dépensé tant d’énergie et de patience, par exemple, à son dialogue avec Marc Sangnier, dont plus grand monde ne se souvient.
    Maurras était un combattant, qui avait ses objectifs, et un dialogue qui n’aurait pas servi ou, a fortiori, qui aurait desservi sa stratégie du moment ne le retenait pas.
     
    Ainsi furent manqués, ratés ou interrompus des rencontres, des convergences, dont on regrette aujourd’hui qu’elles n’aient pas été cultivées. Ainsi fut manqué le dialogue avec Péguy, avec Bernanos, avec Maritain et quelques autres grands esprits qui, par la discussion avec Maurras, auraient sans-doute pu être plus utiles à la France qu’ils ne l’ont été. Malgré les conseils d’Henri Massis et, plus tard, de Pierre Boutang, Maurras n’a pas reconnu comme sérieuses et intéressantes certaines des analyses étonnantes et profondes d’André Malraux dont ils lui apportaient les textes, dans ses prisons d’après-guerre. Il ne sert, sans-doute à rien, d’en tenir une quelconque rigueur à Maurras. Ce fut ainsi.
     
    Aujourd’hui, il demeure néanmoins intéressant, d’évoquer ces convergences qui auraient pu se produire et, surtout, sur quels fondements elles l’auraient pu. Le texte que nous publions ci-dessous est une préface d’André Malraux à l’ouvrage de Maurras, Mademoiselle Monck, dans son édition de 1922, Malraux ayant alors 21 ans. A-t-il vraiment changé par la suite ? Certainement, en surface, par son action politique d’entre les deux guerres et maints aspects, en fait négatifs, plus tard, de son action de ministre de la culture.
     
    Il suffirait pourtant de relire son discours de la salle Pleyel, en 1948 (« Appel aux intellectuels », postface des Conquérants) pour mieux comprendre ce qui a pu, ou aurait pu, le relier en profondeur à la pensée et à l’œuvre de Charles Maurras.     

                                                 

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                                         (à Phnom Penh , 1923)

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