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Voici un document d'archive qui, comme tant d'autres, peut, et doit, nous servir de guide aujourd'hui, du moins en ce qui concerne Maurras, sa personne, la façon de l'aborder etc...
Il s'agit de l'émission d'Apostrophes du 31 janvier 1981.
Ce soir-là, Bernard Pivot a réuni quatre personnalités fortes, autour du thème La politique, un art du cynisme ? Il y a là Alfred Grosser, Jean-Paul Jouary et André Glicksmann, qui vont écouter le quatrième, Pierre Boutang, qui démarre très fort...
Il faut dire que Boutang est invité pour parle de son La Fontaine politique, et que Pivot lui dit qu'il y a de la provocation à ouvrir un livre pareil en parlant de la Lettre-préface de Charles Maurras.
Boutang en profite pour dire, tout simplement comment on doit, et on peut, parler de Maurras aujourd'hui...
La politique, un art du cynisme ? Apostrophes - 30/10/1981 - 01h15min26s
On l'avait "laissé passer" : le site du Craf a présenté cet extrait de Marie-France Garaud, qui intervient le 13 décembre 2010 dans l'émission de Frédéric Taddeï au sujet de l'idéologie première de l'Euro, Deutschmark déguisé.
Les rapports France-Allemagne et les ambitions souveraines de celle-ci, les abandons successifs de souveraineté consentis par le Pays Légal, les rendez-vous manqués, les occasions perdues, une politique étrangère (?) non conforme aux intérêts nationaux....: c'est du "Bainville continué", une critique de la mauvaise gouvernance du Système "poursuivie jusqu'à aujourd'hui"...
Le mercredi 13 avril, France Ô a organisé un débat sur le thème de la violence à l'Ecole. Malheureusement diffusée un peu tard (23 heures) comme tant d'autres émissions intéressantes, celle-ci peut néammoins être visionnée sur le site de la chaîne depuis le 14 avril. Elle est d'une durée de 54'37"
Ont participé à cette émission Olivia Millioz, directrice de communication de SOS Éducation ainsi que Georges Fotinos, ancien inspecteur général et administrateur de l’UNICEF, membre de l’Observatoire international de la violence à l’école, Michel Fize, sociologue et chercheur au CNRS, et Patrick Gonthier, secrétaire général d’UNSA-Education....
Coup sur coup, le 27 janvier et le 4 février, nous avons pu relever la très intéressante évolution d'Edgar Morin : au micro de France inter, d'abord, le 27 janvier dernier (où il n'a pas hésité à citer Maurras...); puis, sur Public Sénat/Bibliothèque Médicis, cette fois, où il passe avec Henri Guaino et Marcel Gauchet, interrogé par Jean-Pierre Elkabach, le 4 février.
Sur France inter, le 27 janvier, Edgar Morin déplore qu'il n'y ait plus, dans nos sociétés, de pensée politique d'envergure, comme il y en eut aux XIXème et XXème siècles. Et il cite celles qui comptent : la pensée de Marx, pour la Révolution, celle de Tocqueville pour le courant libéral, celle de Maurras, pour la pensée réactionnaire. Ce dernier terme n'a, d'ailleurs, dans ce cadre, aucune connotation péjorative. Simplement, pour Edgar Morin, l'absence de toute pensée politique contribue à cette "réduction du Politique à l'Economique" qui est, pour lui, comme pour nous, l'un des vices profonds de la modernité. En somme, Edgar Morin appelle de ses vœux, tout simplement, la renaissance de la pensée politique. C'était aussi, on le sait, l'objectif de Pierre Boutang lorsqu'ii écrivait, il y a quelques trente ans, son "Reprendre le Pouvoir".
Ensuite, sur Public Sénat, Edgar Morin liquide en quelques phrases le concept de révolution, le mythe du progrès, le tout-économique, la mondialisation, en ce qu'elle affaiblit "le local, le régional, le national", la réduction de nos sociétés au quantitatif, au chiffre, au calcul .... Pendant trente ans, aux Baux, lorsque nous y faisions nos rassemblements royalistes, Gustave Thibon ne disait guère autre chose.
Ce sont des bombes à retardement qu’Edgar Morin, volens nolens, vient de semer sur les terrains divers de la pensée révolutionnaire, de gauche ou de droite. Et si l’on considère l’évolution d’Alain Finkielkraut ou de Régis Debray – comme exemples parmi d’autres – l’on peut en conclure qu’il s’agit là d’un courant venu « des profondeurs ». Aussi que nous ne sommes plus des « parias » ; que nous ne sommes plus seuls à penser comme nous le faisons. Enfin que les intellectuels dits « de droite » n’auront pas eu le premier rôle dans ces « révolutions » salutaires…..
Voici les deux vidéos (suivie, pour la seconde, qui est plus longue, d'une sorte de mini résumé des passages les plus importants....) :
Sur les questions économiques, nous publions régulièrement les articles de François Reloujac, dans Politique Magazine.
Après la conférence de Michel MICHEL, traitant de l'identité nationale, prise comme héritage, nous reprenons, cette fois, ici, une autre conférence, faite par Henri Letigre, au Camp Maxime Real Del Sarte, sur la question économique. On y trouvera une utile et pertinente synthèse.
Michel MICHEL traite, ici, d'un sujet d'une extrême actualité : de l'identité française, prise comme un héritage, du jacobinisme et de l'évolution des communautés qui, de fait, cohabitent aujourd'hui sur le sol français.
Ce sont trois vidéos d'un grand intérêt constituant l'intégralité d'une conférence faite au Camp Maxime Real Del Sarte, 2010.
Le Camp Maxime Real Del Sarte a pour objectif de former une nouvelle jeunesse dans l'esprit de l'Ecole d'Action Française. Avec des exposés de cette qualité, cette nouvelle jeunesse sera bien formée et apte à servir son pays.
Nous publierons, aussi, vendredi, une autre conférence prononcée au Camp Maxime Real Del Sarte : celle d'Henri LETIGRE sur les les questions économiques.
A noter, simplement, que ces conférences du Camp Maxime Real Del Sarte avaient pour fil directeur les sujets traités dans le livre du prince Jean : "Un Prince Français".
En voilà un qui connaissait bien son peuple..... Il nous avait pourtant prévenus !
Nous dédions cette vidéo à Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy, Dominique Strauss Kahn et Ségolène Royal, qui ont, tous les quatre, passé les Fêtes du Nouvel An à Marrakech .... Être Français à 100%, ou du moins y tendre, en ont-ils seulement l'idée ?
"Les enfants adoptés arrivent enfin en France !" titrent certains journaux, le mercredi 22 décembre. Mais, est-ce si simple ? Pas sûr du tout !...
L'enfer est pavé de bonnes intentions. Dans son excellente chronique du même mercredi 22 décembre, sur France info, le pédopsychiatre Lévy-Soussan met en garde contre les diverses "précipitations" auxquelles on assiste en ce moment, et qui peuvent masquer de graves dérives (trafics d'enfants...) ou causer de non moins graves dégats psychologiques....
Pour une large part, ces "précipitations" s'expliquent par l'air ambiant, par une certaine mentalité devoyée, par de malsaines raisons de modes et de manipulations idéologiques, non dénuées d'arrières-pensées...
Le Professeur Lévy-Soussan, en mettant les points sur les "i", remet aussi les pendules à l'heure, et il fait bien...
Voici un extrait déjà ancien d'une émission de Pivot, au cours de laquelle l'invité a créé la surprise (le mot est faible...), et Steiner aussi, en appuyant fermement - et intelligemment... - son propos...
Eh, oui ! Ce qui est important ce n'est pas le foot. C'est l'image effrayante de notre société que nous renvoie cette équipe misérable, à l'image, justement, de notre société.....
Et quand Finkielkraut le dénonce et l'explique en disant “L’équipe de France ne représente pas la France mais elle la reflète”, il rencontre le Boutang qui écrit de notre société subvertie et pervertie jusqu'au trognon : "notre société n'a que des banques pour cathédrales ; elle n'a rien à transmettre qui justifieun nouvel « appel aux conservateurs » ; il n'y a, d'elle proprement dite, rien à conserver..."
Première intervention de Finkielkraut, sur Europe 1 :
Nous vous emmenons aujourd'hui, par une superbe matinée d'été, dans le jardin de la maison de Charles Maurras, à Martigues, au Chemin de Paradis. Les cigales nous accompagneront durant toute cette visite, au cours de laquelle, en se basant sur les indications de Maurras lui-même, vous allez découvrir ce qu'il a paru bon au maître de ces lieux de faire "entre les murs de son jardin".
Comme Louis XIV qui a rédigé lui-même une Manière de montrer les jardins de Versailles, Maurras -toutes proportions gardées, évidemment !...- a expliqué ce qu'il avait voulu faire dans son jardin, et a donné toutes les indications necéssaires à une visite intelligente, comme il lui a plu qu'elle se déroulât: cela se trouve dans le Tome IV des Oeuvres Capitales (intitulé Le Berceau et les Muses), dans la partie Suite Provençale, paragraphe sept (Mon jardin qui s'est souvenu), pages 249 à 268.
Et maintenant que vous savez tout, suivez le guide !....
Avec une pensée pour Paul, toujours là lorsqu'il faut enregistrer, et à qui nous devons ce reportage, par cette superbe matinée d'été, sur fond sonore de cigales... Et nos remerciements à Serge, qui a organisé la matinée, et à Gérard, qui nous a ouvert les lieux....
Vous avez le choix entre deux possibilités: soit écouter en un seul morceau l'ensemble de la visite, soit le sectionner en sept moments, d'une dizaine de minutes chacun.
I :Pour la visite en une seule vidéo (une heure et quart environ...):