UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Documents Vidéos - Page 211

  • Vidéo : Où l'ambassadeur de Russie développe les bases d'une poltique réaliste au Moyen-Orient

     

    Alexandre Orlov est ambassadeur de Russie à Paris. Il était, vendredi dernier, 25 septembre, l'invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC. C'est la vidéo de cette émission (18') que nous vous proposons de regarder.

    Jean-Jacques Bourdin n'a guère eu matière ou prétexte à contredire son invité, sans-doute parce que le discours de cet ambassadeur - au demeurant parfaitement francophone - est exempt de contenu idéologique, voire expansionniste, et se fonde sur une vision pragmatique des réalités. C'est de Real Politik dont on traite avec lui. Et appliquée à la situation au Proche-Orient, la politique russe vise à détruire Daech, combattre le terrorisme, restaurer l'ordre dans la région, où le chaos s'est installé. Ou plus exactement l'a été.

    En l'occurrence, la part que va y prendre la Russie peut être déterminante. Et dans la situation où nous nous sommes mis (terrorisme, migrants, expansion du califat islamique ...), il devient difficile de la négliger ou, pire, de la rejeter, pour d'obscurs motifs. A vrai dire, l'intérêt français (et européen) ne fait pas de doute. Sauf inconscience, le choix d'accepter ou refuser de coopérer avec la Russie dans cette affaire ne nous est pas donné. C'est pour cela que le vent tourne à Washington, Londres et Berlin. Et même à Paris où, malheureusement, les politiques aux affaires seront sans-doute les derniers à comprendre l'erreur dans laquelle ils se sont enfermés ces dernières années. Avec les conséquences d'extrême gravité que l'on sait. Sur tous ces sujets, nous-mêmes, parce que notre guide est l'intérêt français, n'avons jamais changé d'avis.  Lafautearousseau    

     

     

  • ONCPC * • Rien que pour le plaisir ... Michel Onfray à Yann Moix : « La pensée, c'est pas fait pour vous ! »

      

    * Michel Onfray - On n'est pas couché, 19 septembre 2015

     

  • D"accord avec Frédéric Pons : « Il faut se rapprocher de la Russie pour affronter l'État islamique »

    Vladimir Poutine est résolu à intervenir en Syrie contre Daech. Mais quelles sont ses réelles motivations ? Décryptage de Frédéric Pons, rédacteur en chef Monde à Valeurs actuelles.

    Son avis [le nôtre aussi] : « Il faut se rapprocher de la Russie pour affronter l'État islamique ».

    A noter que c'est probablement ce qui par la force des choses est en train de se passer. La diplomatie française devra de fait renoncer à son absurde « ni-ni » (ni Bachar, ni Daech) qui plaçait ses espoirs dans une inconsistante rébellion démocratique laquelle s'est évanouie en abandonnant à Daech les armes que nous lui avions fournies.  

    Trois ou quatre ans auront été ainsi perdus à poursuivre cette absurde chimère permettant l'expansion de Daech, ses crimes et ses destructions, dont la conséquence est, aujourd'hui, une invasion sans précédent de l'Europe par un flux migratoire massif.

    Les protagonistes de cette politique portent une responsabilité dont ils semblent n'être même pas conscients. Il n'y a aucune raison de ne pas en dire la gravité. Et de les dispenser de devoir en rendre compte. Au moins pour l'Histoire. •  

     

    (2min 03s)

  • Éric Zemmour à propos des « migrants » : « Nos gouvernements mettent en scène leur inutilité »

     

    Pour sa rentrée sur RTL, Éric Zemmour constate que « migrants » aura été le mot de l'été : « migrants à Calais, migrants à Kos, migrants en Macédoine, migrants à Vintimille, migrants en Hongrie »... Un mot qui s'est imposé « parce qu'on ne pouvait pas dire immigrés, puisqu'ils n'étaient pas invités ». On ne voulait pas dire clandestins, « pour ne pas les diaboliser ». Ce terme a été choisi « pour imposer l'idée à une population rétive que ce phénomène est inévitable, inéluctable, irrésistible et irrépressible ».

    Ainsi, il faut accepter comme le temps qu'il fait ce phénomène aussi vieux que l'humanité. Il serait inutile de se révolter, « à moins d'être un populiste stupide ». Ainsi, « nos gouvernements, pris dans l'étau entre les élites qui en appellent à l'âme de l'Europe, et les classes populaires, qui ont l'angoissante impression d'être envahies, mettent en scène leur inutilité ».

    Conclusion : « Les discours officiels sont faussement raisonnables et faussement compatissants. » 

     
     
     
  • HISTOIRE & ACTUALITE • Philippe de Villiers : « On est près du grand mouvement de l'inversion »

     

    Retour, ce dimanche, sur une conférence de Philippe de Villiers au Cercle de Flore. Conférence où tout est dit des signes d'espoir que voit aussi Houellebecq. Signes et espoir de de ce grand mouvement de l'inversion qu'espère et prédit de Villiers comme en conclusion de son intervention. Des signes du bouillonnement, qui a bien été noté dans les commentaires de ce site et qui rend aujourd'hui notre royalisme plus crédible et, comme on dit ces temps-ci, plus soutenable.


     

     

    Le cercle de Flore a reçu le 8 décembre, Philippe de Villiers, venu présenter son dernier ouvrage : Le roman de Jeanne d’Arc. Mais pas seulement.

    Certes, ce fut l’occasion d’une magnifique évocation de Jeanne d’Arc, car Philippe de Villiers est un remarquable conteur qui, parfois, est aussi acteur …

    Mais cette évocation historique est sans cesse mise en perspective, sans cesse rapprochée de notre temps, de la France d’aujourd’hui …

    Et, parlant sous un portrait de Charles Maurras, qu’à sa manière il salue, dans ce « lieu historique » (le 10 rue Croix du Petits Champs) qu’il signale, Philippe de Villiers définit une politique, une action politique, que ni Maurras ni Boutang n’auraient désavouées.

    L’une et l’autre (option stratégique purement Action française) s’inscrivent nécessairement en dehors du Système et contre lui ; il s’agira de se débarrasser des « élites » qui ont trahi la France comme au temps de Jeanne : les élites politiques qui ont transféré sa souveraineté à l’étranger, les élites économiques qui sont allées chercher ailleurs qu’en France leurs profits, les élites médiatiques et cléricales qui exècrent la nation. Et si l’on pose à de Villiers la question même du régime, il ne l’esquive pas, il y répond à la façon de Pierre Boutang : « il n’y a pas de pouvoir légitime, durable, sans pérennité et sans sacralité ».

    « Au temps de Jeanne, dit-il, tout est presque perdu. » Comme au nôtre. Le roi est « de médiocre apparence » et la France est divisée en trois royaumes. On sait le redressement spectaculaire et rapide qui suivit. Pour plusieurs siècles.

    De Villiers prêche donc l’espérance : « On est près du grand mouvement de l’inversion ». Lequel ? Celui qui mettra en cause la Révolution, la Révolution historique (« La terreur est dans son ADN ») mais aussi la Révolution agissant aujourd’hui. « Il y a des signes du sursaut ; des gens qui bougent ; des voix qui s’élèvent et qui parlent de plus en plus fort ».

    La conclusion, métaphorique pour nous, revient à Jeanne : « Gentil Dauphin, dit-elle à Charles VII rétabli sur son trône, je ne vous appellerai plus gentil Dauphin ; je vous appellerai Sire le Roi ».

    Bref, nous ne saurions trop conseiller de regarder, d’écouter, cette vidéo d’une conférence, d’un débat, d’une rencontre qui ont une évidente importance.   Lafautearousseau   

     

  • Retrouver l'usage de nos libertés, par Pierre Chalvidan (Colloque du Cercle Vauban, Paris, 6 décembre 2014)

     

    Cette intervention du professeur Pierre Chalvidan a été donnée au colloque du Cercle Vauban du 6 décembre 2014 à Paris : « Propositions pour un nouveau régime ». Nous avons rendu compte de ce colloque le 15 décembre 2014. On pourra éventuellement s'y reporter.   

     

     Cliquer sur l'icône rectangle pour agrandir (Bas d'écran, à droite) 

     

    Précédentes mises en ligne :

     Vidéo 1 : Frédéric Rouvillois [L'Etat décadent] et Jacques Trémolet de Villers [La Justice à la dérive]

    • Vidéo 2 : François Schwerer [Crise financière, crise morale] 

    Prochaine mise en ligne : L'intervention de Fabrice Hadjadj. 

     

  • Philippe de Villiers au Cercle de Flore : « On est près du grand mouvement de l'inversion »

     

     

     

    Le cercle de Flore a reçu le 8 décembre, Philippe de Villiers, venu présenter son dernier ouvrage : Le roman de Jeanne d’Arc. Mais pas seulement.

    Certes, ce fut l’occasion d’une magnifique évocation de Jeanne d’Arc, car Philippe de Villiers est un remarquable conteur qui, parfois, est aussi acteur …

    Mais cette évocation historique est sans cesse mise en perspective, sans cesse rapprochée de notre temps, de la France d’aujourd’hui …

    Et, parlant sous un portrait de Charles Maurras, qu’à sa manière il salue, dans ce « lieu historique » (le 10 rue Croix du Petits Champs) qu’il signale, Philippe de Villiers définit une politique, une action politique, que ni Maurras ni Boutang n’auraient désavouées.

    L’une et l’autre (option stratégique purement Action française) s’inscrivent nécessairement en dehors du Système et contre lui ; il s’agira de se débarrasser des « élites » qui ont trahi la France comme au temps de Jeanne : les élites politiques qui ont transféré sa souveraineté à l’étranger, les élites économiques qui sont allées chercher ailleurs qu’en France leurs profits, les élites médiatiques et cléricales qui exècrent la nation. Et si l’on pose à de Villiers la question même du régime, il ne l’esquive pas, il y répond à la façon de Pierre Boutang : « il n’y a pas de pouvoir légitime, durable, sans pérennité et sans sacralité ».

    « Au temps de Jeanne, dit-il, tout est presque perdu. » Comme au nôtre. Le roi est « de médiocre apparence » et la France est divisée en trois royaumes. On sait le redressement spectaculaire et rapide qui suivit. Pour plusieurs siècles.

    De Villiers prêche donc l’espérance : « On est près du grand mouvement de l’inversion ». Lequel ? Celui qui mettra en cause la Révolution, la Révolution historique (« La terreur est dans son ADN ») mais aussi la Révolution agissant aujourd’hui. « Il y a des signes du sursaut ; des gens qui bougent ; des voix qui s’élèvent et qui parlent de plus en plus fort ».

    La conclusion, métaphorique pour nous, revient à Jeanne : « Gentil Dauphin, dit-elle à Charles VII rétabli sur son trône, je ne vous appellerai plus gentil Dauphin ; je vous appellerai Sire le Roi ».

    Bref, nous ne saurions trop conseiller de regarder, d’écouter, cette vidéo d’une conférence, d’un débat, d’une rencontre qui ont une évidente importance.   Lafautearousseau   

     

  • C'était le 5 février 2013 au Parlement Européen à Strasbourg, Philippe de Villiers s'adressait à François Hollande

     

    Philippe de Villiers, député européen et président du Mouvement Pour la France, intervient devant le parlement de Strasbourg lors de la session plénière du 5 février 2013 à l'occasion de la venue du président de le la République Française, François Hollande.  

    Sans titre-5.jpgPhilippe De Villiers s'adresse directement à François Hollande, accompagné de Laurent Fabius, son ministre des affaires étrangères ...

    Ce qu'il s'est permis, ou plutôt ce qu'il a cru de son devoir de lui dire, ce jour-là, avec une certaine solennité, mérite d'être retenu, réécouté et médité. D'autant que cette intervention n'a eu pratiquement aucun écho médiatique ...

    Pour la suite de l'Histoire, française et européenne, il est bon de savoir, il sera bon, plus tard, de se souvenir que ces choses ont été dites, que ce constat a été fait.

    Le constat de Philippe de Villiers est que le rêve européen s'est évanoui dans le coeur des peuples, qu'il s'est désintégré, parce qu'il était tramé, dit-il, dans un tissu fait d'une série de mensonges ...  

    Ce rêve interrompu pourra-t-il être repris ? Ce serait sans-doute l'intérêt des peuples d'Europe - mais ils sont, aujourd'hui, déçus, voire hostiles - à condition toutefois que ce soit sur de tout autres bases qui, cette fois-ci, n'ignoreraient ni les réalités, ni l'Histoire, ni les racines de l'Europe,  ni son besoin naturel d'indépendance. Sera-ce possible ? On peut en douter, car, pour toute une série de raisons très concrètes, la réalisation d'un projet d'unité européenne sera, sans-doute, plus difficile à réaliser avec succès, aujourd'hui qu'il il y a cinquante ou soixante ans. Mais il n'est pas interdit - il nous est même recommandé - d'y réfléchir.  

  • VIDEO • EN PREAMBULE DU COLLOQUE DU 6 DECEMBRE, HILAIRE DE CREMIERS : OUI, IL FAUT DES INSTITUTIONS FORTES !

    H D C - Copie.jpgAvec la Restauration Nationale et le blog Le Rouge & le Noir, Lafautearousseau est partenaire de l'important colloque qu'Hilaire de Crémiers annonce dans cette nouvelle vidéo - et dont il commente le thème. Nous engageons donc vivement nos lecteurs et amis à s'y inscrire, à y participer, à s'y retrouver. Lafautearousseau a été précisément créé pour poser, au jour le jour et au prisme de l'actualité, la question même du régime. C'est tout justement l'objet de ce colloque qui sera donc, aussi, pour nous tous un acte militant. Comment, en effet, ne poserions-nous pas, aujourd'hui, publiquement, dans la terrible crise des institutions politiques que traverse la France, la question du régime ?   

     

     Cliquez sur l'icône rectangle pour agrandir (En bas, à droite)

     

    Détails et formulaire pour s'inscrire

     

  • VIDEO : Hilaire de Crémiers annonce le colloque du 6 décembre, à Paris, « Pour un nouveau régime »

    H D C - Copie.jpgAvec la Restauration Nationale et le blog Le Rouge & le Noir, Lafautearousseau est partenaire de l'important colloque qu'Hilaire de Crémiers annonce dans cette vidéo - et dont il commente le thème. Nous engageons donc vivement nos lecteurs et amis à s'y inscrire, à y participer, à s'y retrouver. Lafautearousseau a été précisément créé pour poser, au jour le jour et au prisme de l'actualité, la question même du régime. C'est tout justement l'objet de ce colloque qui sera donc, aussi, pour nous tous un acte militant. Comment, en effet, ne poserions-nous pas, aujourd'hui, publiquement, dans la terrible crise des institutions politiques que traverse la France, la question du régime ?    

      

    Cliquez sur l'icône rectangle pour agrandir (En bas, à droite)

     

     Détails et formulaire pour s'inscrire

     

  • Ce que cache le remaniement, par Hilaire de Crémiers

    Cliquez sur l'icône rectangle pour agrandir.

     

    Hilaire de Crémiers, directeur de Politique magazine, analyse les dessous du remaniement du gouvernement Valls et ce que révèle la promotion de Najat Vallaud-Belkacem et la nomination d'Emmanuel Macron. u

     

  • Éric Zemmour rappelle aux mauvais élèves l’Histoire européenne

    Eric Zemmour tire les leçons de l’histoire pour expliquer les fondements des relations entre l’Europe et la Russie.

    Le site de l'Action française (CRAF) a raison de le noter : La méthode de Bainville n’est pas oubliée.

     

    Cliquez sur l'icône rectangle pour agrandir.

     

  • L'urgence: un nouveau système politique ! par Hilaire de Crémiers

     

    Hilaire de Crémiers, directeur de Politique magazine, revient sur la crise des institutions françaises et l'urgence de fonder un nouveau système politique.

    (Vidéo enregistrée entre la formation du gouvernement Valls 2 et l'université de La Rochelle)