Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...
24 novembre 1923 : Assassinat de Philippe Daudet...
lafautearousseau
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24 novembre 1923 : Assassinat de Philippe Daudet...
lafautearousseau
La France est ruinée :
3.200 milliards de dette; des prévisions dramatiques de fermeture d'entreprises qui sont confirmées chaque jour; et le semble-gouvernement ne fait qu'une chose : imaginer de nouvelles taxes et impôts sur tout, sur tous et sur n'importe quoi, sur tout ce qui bouge...
Cerise sur le gâteau : il gaspille des milliards par an dans les soi-disant énergies renouvelables, alors que nous avons le nucléaire !
En résumé, le Système, la République idéologique ne sait pas gérer la France, mais au contraire la ruine, la coule : l'important, la seule chose à faire, c'est de renvoyer ce Système mortifère !
Parce qu'il est fou, parce qu'il ne sait pas "bien gérer", parce qu'il ne sait que faillir et faire mal, puis nous faire payer, - par des augmentations constantes de la pression fiscale, devenue intolérable - ses incompétences, ses erreurs, se folies, sa nullité...
Dernier exemple de cette "gestion" (?) cataclysmique et démente des affaires par le Système, l'intervention d'Éric Michoux, sur LCP :
1697 : Mort de Libéral Bruant
Professeur de Jules Hardouin-Mansart, il est l'auteur de la Chapelle Saint Louis de l'Hôpital de la Salpétrière, de la Basilique Notre-Dame des Victoires et de l'Hôtel Libéral Bruant, dans le Marais.
Son oeuvre majeure reste, évidemment, l'Hôtel des Invalides, dont la Chapelle et son Dôme seront élevés par son élève, Jules Hardouin-Mansart.
La façade Nord de cet édifice (196 mètres de long pour 22 de haut) porte, en son centre, un impressionnant Arc triomphal, qui donne accès à la Cour royale : cet Arc triomphal, imaginé par Libéral Bruant, reste un exemple unique dans toute l'histoire de l'Architecture française.
On y voit la statue équestre du Roi soleil, en empereur romain - réalisée par Guillaume Coustou - portant sur son socle l'inscription :
Ludovicus magnus militibus regali munificentia in perpetuum providens has aedes posuit. An MDCLXXV
Louis le Grand, par munificence royale pour ses soldats et prévoyant pour la suite des temps a fondé cet édifice en 1765.
http://www.musee-armee.fr/lhotel-des-invalides.html
Georges Bernanos, toujours et peut être aujourd’hui plus qu’hier, reste d’une redoutable actualité pour qui comprend, voit et analyse notre quotidien qu’une pente semble diriger vers le néant d’un nouvel ordre mondial, celui des numéros et des robots. Bernanos est un « chevalier », de ceux qui ne renoncent jamais et qui égrènent de leur présence, notre histoire, à la fois révolté mais fidèle aux promesses du baptême de notre France. Avec ceux qui arrivent à décrypter les pensées d’Orwell, d’Huxley jusqu’à Tolkien, nous voyons avec Bernanos, une ligne d’avertissements dans la défense de cette dentelle du rempart civilisationnelle qui, comme une peau de chagrin, est menacée par un « prêt à penser » totalitaire. Il nous reste le panache pour reprendre le flambeau de la résistance, comme nos grands Anciens pour l’éternité intemporelle de nos libertés.
Notre jour viendra !
Pourquoi cette dame ne va-t-elle pas faire ses manifs au Proche-Orient ? Où personne - soit dit en passant - ne veut "récupérer" les Palestiniens ni, non plus, continuer à aider Gaza financièrement...
Pourquoi nous casse-t-elle la tête, ici, à agiter son keffieh et à hurler dans un mégaphone ?
Comme dit Goldnadel, cette dame ne "rima rien"...
2017 : Patrick Buisson déclare sur France Inter :
"En matière de Terrorisme d'État, la Terreur, c'est nous qui l'avons inventée..."
Ce mardi 21 novembre, Patrick Buisson est l'invité de France Inter, et il ne mâche pas ses mots : En matière de terrorisme d'État, la Terreur, c'est nous qui l'avons inventée...
Et il a, après son intervention, répondu en direct aux auditeurs de France Inter...
lafautearousseau reprend ses propos les jours suivants :
1430 : Jeanne d'Arc livrée aux Anglais
Jean de Luxembourg, qui l'avait capturée à Compiègne, remet Jeanne d'Arc aux Anglais pour la somme de 10.000 livres.
Et pourtant !...
Du chapitre VI de l' Histoire de France, de Jacques Bainville :
L'éditorial de Vincent Trémolet de Villers :
A l’affiche : Juré n°2… un film américain de Clint Eastwood, avec Nicolas Hoult et Zoey Deutch (Justin Kemp et son épouse), et avec Toni Collette (le procureur).
Des 41 films réalisés par Clint Eastwood, nous en avons vu 8 et c’est Sully (2016), déjà un procès - et le procès d’un héros -, que je mets en tête de gondole.
je n’en dirai pas autant de ce Juré n°2, qui nous rappelle, un peu, l’excellent 12 hommes en colère de Sidney Lumet (1957), mais dont il n’est même pas un pâle remake.
Dommage, le sujet est intéressant de ce juré confronté à lui-même. Clint Eastwood en a sans doute conçu « un bon film », ce qui ne m’empêche pas d’écrire qu’il « aurait pu mieux faire ».
Le Fort Saint Jean, à Marseille
1423 : Début du sac de Marseille par les Aragonais
Pendant trois jours, jusqu'au 23 novembre, les troupes du roi Alphonse V d'Aragon vont saccager la ville : la raison profonde de cet épisode - l'un des plus tragiques de la cité phocéenne... - est à rechercher dans l'affrontement de la seconde maison d'Anjou-Provence et de la maison d'Aragon - déjà détentrice de la Sicile - pour la possession du royaume de Naples.
Marseille fit donc, là, les frais d'un conflit qui ne la concernait que très vaguement, et de très loin.
Dix-huit galères et douze vaisseaux aragonais longèrent les côtes provençales, en ce mois de novembre 1423, passant au large de Nice puis de Toulon. La ville de Marseille était notoirement désarmée et, surtout, privée de sa flotte.
Une chaîne amovible devait interdire l'entrée du port, mais elle se composait en fait de deux chaînes de quinze mètres environ, fixées, au milieu de la passe, à une sorte de tour en bois : la défense était donc assez illusoire, et plutôt symbolique.
Le 18 novembre, les postes de guet de Marseilleveyre et de la Garde signalèrent l'arrivée de la flotte aragonaise. Le 20 novembre un premier contingent de soldats débarqua. Ils se heurtèrent à la résistance acharnée des défenseurs de la tour Maubert (la tour carrée ci dessus, à droite, reconstruite par la suite, et devenue aujourd'hui la célèbre Tour du roi René, incluse maintenant dans le Fort Saint-Jean, l'autre tour, ronde, à gauche, étant la Tour du Fanal), mais la chaîne qui barrait l'entrée du port fut brisée et les galères catalanes pénétrèrent dans le port.
Alors commença le pillage de la ville : les habitants se défendirent maison par maison, mais les catalans mirent le feu partout. Avec le violent mistral, celui-ci se propagea très rapidement. Le pillage et l'incendie durèrent trois jours.
Alphonse V repartit en Aragon à la fin du mois de novembre, en emportant comme trophée les deux parties de la chaîne du port. Mais, à cause des malfaiteurs, qui continuèrent le pillage, les habitants mirent du temps à revenir dans la ville, qui "disparut" ainsi, en quelque sorte, cessant presque d'exister, pendant plusieurs jours.
Depuis 1423, la chaîne qui barrait l'entrée du Port de Marseille est exposée dans la cathédrale de Valence, en Espagne...
Vincent Trémolet de Villers a raison : on ne va parler que de Marine Le Pen ces jours prochains !
(EN CONSTRUCTION - AJOUTS À VENIR...)
Une histoire de l'Action française... en lisant L'Action française !...
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
(Ce deuxième volet de cette "vie de l'Action française, vue de l'intérieur", est "en construction" : il concerne l'invention par L'AF de la Revue de Presse, les Congrès, les Almanachs de L'Action française, le nombre d'abonnés au journal, la structuration du mouvement en onze zones sur tout le territoire métropolitain (la onzième zone étant : l'Algérie !), les insignes du mouvement et d'autre sujets encore... Il est publié dès maintenant, et sera augmenté au fur et à mesure de l'avancée de notre lecture de la collection complète du quotidien... )
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• 1 : Novatrice, la toute nouvelle Action française quotidienne invente une nouvelle Chronique, qui sera adoptée et reprise par toute la presse, écrite et parlée (et, aujourd'hui, télévisuelle) : la "Revue de presse"...
• Dès les deux premiers numéros, en page trois, "Criton" évoque plusieurs sujets, dans la partie supérieure de la première et de la deuxième colonne; mais il s'agit de généralités, la nouvelle chronique n'en est qu'à son ébauche...
• C'est dans le troisième numéro du quotidien - en même temps que la chronique "Ligue d'Action française", qui devient vraiment ce qu'elle sera (elle est en page deux, troisième colonne, et parle de Saint-Jean-de-Luz et d'Angers) - que "Criton" écrit ce qui est vraiment une "revue de presse (sur la première colonne et le haut de la deuxième) avec quatre sujets :
(cliquez sur les images pour les agrandir)
• Dans le quatrième numéro, il y aura encore une Revue de Presse signée "Criton" (en fait, c'était le pseudonyme de Maurras), comme dans le cinquième : mais, déjà, dans ce cinquième numéro "La Politique", en page une, est signée Ch. M., comme la Revue de Presse, en page trois, signée "Criton".
Puis, Maurras abandonnera la Revue de Presse à divers collaborateurs, se consacrant, jusqu'à la fin, à "La Politique", qui occupait toujours une part importante des colonnes centrales de la "Une"...
1895 : Naissance de Pierre Gaxotte
1665 : Mort de Nicolas Poussin
C'est lui qui a exprimé les deux pensées célèbres :
• "Le but de l'Art, c'est la délectation"...
• "Ce qui vaut la peine d'être fait, vaut la peine d'être bien fait...
Voici son autoportrait, peint pour Paul Fréart de Chantelou, qui était son ami, et un grand amateur de sa peinture (1650, Louvre) :
Ci dessous, Le Massacre des Innocents :
Les amateurs de ce maître du classicisme trouveront de nombreux tableaux commentés et expliqués sur le site suivant :
http://www.nicolas-poussin.com