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L’ampleur des polémiques à l’occasion des conclusions du synode sur l’Amazonie et de la publication de l’exhortation apostolique du Pape qui s’en est suivie, oblige à se poser une question essentielle.
N'insultons pas l'avenir, dit l'historien comme le politologue : l'Histoire est pleine de surprises et d'imprévus, et elle ne suit pas un sens unique et obligatoire, au contraire de ce que pensaient les marxistes et de ce que pensent aujourd'hui les libéraux ou les européistes.
Alors comme disait Jean Charles Masson : « La Renaissance, à souhaiter sous peine de décès, implique de renouer ce qui fut dénoué, de ramener ce qui fut éloigné, de rappeler ce qui fut oublié, bref, de faire une révolution vers notre passé et de réenraciner l’intelligence. Le réenracinement est le moyen de la Renaissance. Si l’on veut « dénomadiser » culturellement, il faut sédentariser économiquement ».
lafautearousseau se propose ici de vous faire découvrir Un patriote,nommé Maurras. Maurras est en effet inconnu du grand public, parce que volontairement ignoré par la conspiration du silence, entretenue par le Système pour lequel Maurras n'est pas "dangereux", mais "le seul dangereux", car il en a dénoncé les bases idéologiques et parce qu'il l'a remis en cause dans ses fondements révolutionnaires.
C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.
Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...
Du début février au 23 mars (fin de la première partie de notre campagne de sensibilisation pour la sauvegarde de la maison de Maurras) nous présenterons divers textes ou documents relatifs à Maurras, sa vie, son oeuvre...
Nous avons passé la semaine dernière en bonne compagnie, avec Axel Tisserand; nous passerons celle-ci en bonne compagnie également, cette fois avec Jean-François Mattéi et son intervention - le samedi 1er septembre 2012 - lors de la journée d'hommage à Charles Maurras, dans le jardin de sa maison de Martigues, pour le soixantième anniversaire de sa mort...
André Bercoff a reçu un duo : la journaliste, critique de cinéma et auteure de livres, Anne-Sophie Nogaret. Et Sami Biasoni, banquier d'investissement, professeur chargé de cours à l’ESSEC et doctorant en philosophie à l’ENS. Il viennent présenter leur livre : Français malgré eux, aux éditions L’Artilleur.
Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)
Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...
Envoyez-nous les annonces et/ou les visuels de réunions de rentrée, Cercles d'études et de formation, Cafés politique/actualité/histoire, manifestations diverses etc...
Vous êtes aujourd’hui dans la tristesse parce que vous avez perdu un être cher, que vous soyez de sa famille ou de ses amis. Je sais qu’il en avait de nombreux.
Je n’ai pas connu Guy Bertran de Balanda autant que vous tous mais je partage votre peine. Et je joins mes prières aux vôtres.
Je l’ai connu suffisamment pour savoir qu’il était un fidèle de la Maison Royale de France et des traditions qu’il m’a été donné d’incarner, à la suite plus que millénaire de mes ancêtres. Et aujourd’hui en tant que Comte de Paris, chef de la Maison de France.
Je sais aussi que nombreux sont dans sa famille et parmi ses amis ceux qui partagent cette fidélité.
J’ai rencontré Guy de Balanda au moins deux fois qui ont été marquantes : l’une aux Baux de Provence où je m’étais rendu en compagnie de mon frère, en juin 2002. Il était l’un de ceux qui m’ont accueilli.
La seconde fois, ce fut à Tautavel, en terre catalane, qui était la sienne, pour un weekend d’études auquel le professeur Henri de Lumley m’avait convié.
Guy de Balanda m’est apparu comme un homme de fidélité et de courage, ces deux qualités devenues si rares aujourd’hui.
Je ne veux pas rallonger ces quelques réflexions et ces souvenirs.
Simplement, je partage votre peine et je salue la mémoire de celui qui vient de nous quitter.
Que peut-il se passer maintenant ? L’armée syrienne peut reprendre le sud de la province, relativement isolé maintenant, mais également poursuivre vers l’ouest en direction de la frontière turque, ce qui est diplomatiquement assez périlleux.
En 2017, une majorité d’électeurs a cru faire un choix et, sans en prendre conscience, ils en ont fait un autre. Au second tour de l’élection présidentielle, beaucoup de Français ont cru repousser une idéologie dangereuse et un parti incapable de gérer efficacement le pays, cru choisir celui qu’ils imaginaient être le plus compétent. Venu de la gauche, son parcours, ses priorités et sa capacité de rassembler des hommes et des femmes de gauche comme de droite, de la société civile, enfin (!), avaient fait naître la grande illusion d’un gouvernement qui allait privilégier le réel et l’intérêt général plutôt que l’idéologie et ses obsessions ou ses fantasmes.
Les actuels péripéties parisiennes ne sauraient cacher les grands problèmes qui se posent de façon permanente aux politiques. Parmi ceux-ci, les difficultés posées par l’immigration et l’intégration des populations venues d’ailleurs. Emmanuel Macron se rend aujourd’hui à Mulhouse pour prononcer un discours sur les moyens propres à juguler ce qu’on appelle maintenant le séparatisme.