Préfacé par Jean-François Mattéi, "L'expérience critique". L’aventure de la raison dans la philosophie française après Heidegger".
 Jean-François Mattéi a conseillé à Lorenzo Ramella - docteur en philosophie à l’Université Catholique de Milan - dont il préface le dernier ouvrage, de nous adresser sa présentation, afin que nous en fassions état : nous le faisons bien volontiers, ce quotidien étant ouvert à tout ce qui se passe aujourd'hui en France. Y compris, bien sûr, et même surtout, dans le domaine des Idées....
         Jean-François Mattéi a conseillé à Lorenzo Ramella - docteur en philosophie à l’Université Catholique de Milan - dont il préface le dernier ouvrage, de nous adresser sa présentation, afin que nous en fassions état : nous le faisons bien volontiers, ce quotidien étant ouvert à tout ce qui se passe aujourd'hui en France. Y compris, bien sûr, et même surtout, dans le domaine des Idées....
On comprendra, à la simple lecture de cette note de présentation qu'il s'agit d'un sujet difficile, et qu'on prendra, en s'y intéressant, de l'altitude par rapport à l'insignificiance et à la vacuité de tant de choses qui composent, justement, l'extrême indigence de notre "paysage culturel" d'aujourd'hui, comme on dit dans le jargon...
Jean-François Mattéi nous a habitué à prendre de la hauteur, avec le grand nombre de ses livres, de ses conférences, de ses interventions à la radio ou à la télé; et nous avons consacré un PDF à son Regard vide.
Aujourd'hui, il préface Lorenzo Manella et nous invite à le lire : c'est noté....
Fiche-l'expérience_critique.pdf
162 pages, 20 euros


 "...Ce jour-là, à 9h45, comme je venais d'être informé que les Allemands avaient fait sauter les ponts et coupé les voies entre Metz et la frontière, je m'étais rendu au Télégraphe de la Bourse. Je sortais du bureau déjà encombré et bruissant, lorsqu'un homme dit rapidement en passant près de moi :
"...Ce jour-là, à 9h45, comme je venais d'être informé que les Allemands avaient fait sauter les ponts et coupé les voies entre Metz et la frontière, je m'étais rendu au Télégraphe de la Bourse. Je sortais du bureau déjà encombré et bruissant, lorsqu'un homme dit rapidement en passant près de moi : 


