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Rechercher : qu'est ce que le système ?

  • Ils voudraient tous être des rois, « rassembler », comme ils disent, alors que par nature le Système divise les Françai

     

    Mur-bleu gds.jpgAinsi donc ce seront François Fillon et Alain Juppé qui porteront les couleurs de ce qui s'appelle « la droite et le centre ».

    Une remarque préliminaire : déjà, « le centre », c'est assez nébuleux, et bien malin qui peut dire où il commence et où il finit (où il ne finit pas ?). Quant à la droite, entre la « forte » et la « décomplexée », l’« humaniste »  ou la « populaire » , qui, bien sûr, rejettent toute l'extrême-droite qui, à son tour préfère s'appeler « patriote » , là aussi, bien malin qui peut en tracer les contours. Et l'on voit bien que sur un grand nombre de sujets majeurs, elle a toujours fait la politique de la gauche (avortement, immigration, Collège unique signant la mort de l'instruction publique, scélérate loi Pleven sur le prétendu antiracisme, baisse constante, après de Gaulle, du budget de la Défense...)

    Cela étant dit, les avez-vous bien écoutés, depuis qu'ils nous rabâchent leurs programmes, ces candidats « de la droite et du centre », mais aussi les autres : soit ceux qui n'ont pas été retenus dans leur camp, soit ceux du camp d'en face, soit tous les autres ? Ils n'ont que le mot « rassembler » à la bouche, alors que, précisément, le Système intrinsèquement pervers de notre république idéologique fonctionne sur la coupure institutionnalisée de la France en deux parti(e)s irréconciliables, au moins : droite contre gauche. Comment des gens sensés et raisonnables, possédant de réelles qualités intellectuelles pour plusieurs d'entre eux, peuvent-ils tenir un tel langage sans se rendre compte de l'inadéquation de leur propos à la réalité ? Sarkozy a-t-il été un seul instant « le président de tous les Français » ? Et Hollande ? La même remarque vaut d'ailleurs pour les autres pays : quand Obama a-t-il pu dire qu'il exauçait les souhaits de tous les Etatsuniens ? Et quand Trump pourra-t-il le dire ? La vérité vraie, la vérité toute nue, est que la démocratie telle que nous la connaissons, c'est-à-dire non tempérée par la Royauté, présente deux défauts majeurs :

    elle peut amener au pouvoir un Hitler ou les terroristes islamistes (en Tunisie, en Egypte et ailleurs dans les mondes musulmans, avant que d'énergiques réactions ne les chassent) ;

    et elle fonctionne normalement, habituellement, sur la division du peuple, en au moins deux grands partis, bloc contre bloc. Et ceci, redisons-le, est intrinsèquement pervers. Là où il faudrait un Henri IV ou un Louis XVIII, c'est-à-dire des rois pacificateurs et rassembleurs, dont le premier réussit l'exploit de faire cesser l'égorgement généralisé entre catholiques et protestants et le second, après la fracture révolutionnaire, tenta de doter la France d’institutions modernes, le nouvel élu de notre pauvre Système le sera, forcément, contre une part plus importante de Français opposés à lui qu'avec lui ! Et qui vivront recuits d'amertume pendant cinq ans, ressassant leur rancœur, en attendant de pouvoir, peut-être, dans cinq ans, prendre sa place, pour le pire très probablement, et plus probablement en tout cas pas pour le meilleur...

    D'ici là, il ne faut qu'attendre sans rien en espérer la fin finale de ce grand Barnum électoral, jusqu'à ce que tout recommence en 2022, soit dans cinq ans à peine ! Jusqu'à ce qu'un jour ce Système pervers ne s'effondre, comme cela s'est passé deux fois déjà, en 1940 et en 1958. A ces deux moment-là, et quoi qu'on pense d'eux - il y eut deux personnages de haute stature historique, et qui furent acceptés, du moins au début, par la masse du peuple français. Qui verrait-on demain dans ce rôle d'homme providentiel, ayant la carrure pour s'imposer, et accepté, même au début, par la très grande majorité du peuple français ? Réponse certaine : personne.

    Alors ?...  

  • 8 juillet 2015: le Président de la République en exercice ”démolit” le Système républicain...

    Entretien accordé le 8 juillet 2015 au journal Le 1 Hebdo...

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  • Le Système et son Panthéon qui sent mauvais, de plus en plus mauvais : à quand le ”clip de fin”, et sa fermeture ?

    C'est le 4 avril 1791 que - sur ordre de la Constituante - le Panthéon devint... "le Panthéon",  officiellement temple civique destiné à accueillir les cendres des grands hommes de la Patrie, en réalité, "extravagant salmigondis", comme dit Léon Daudet, qui se voudrait le Temple gardien des "valeurs républicianes, dont on sait ce qu'il faut en penser, avec Simone Weil, Franck Ferrand et Denis Tillinac.

    Avec cette bonne blague d'inscription à son fronton : "Aux grands hommes, la République reconnaissante" : 

    pantheon fronton.jpg

     

    Bonne blague - et qui s'amplifie aujourd'hui, on va le voir... - car, en fait de "grands hommes", qui repose au Panthéon, sous la monumentale croix de plusieurs tonnes qu'il a été impossible à notre République idéologique férocement antichrétienne de retirer, car, par son poids même, elle contribue à la stabilité de tout l'édifice ?

    D'abord, pas mal d'illustres inconnus, mais aussi quelques personnes "très bien" : Soufflot, l'architecte du bâtiment; Bougainville, le navigateur, à qui nous devons les bougainvilliers (ou bougainvillées) de nos jardins; François Tronchet, qui osa défendre Louis XVI lors de son pseudo-procès, devant la meute hystérique des "bourreaux barbouilleurs de lois", dénoncés par André Chénier, l'une de leurs victimes; Louis Braille, qui fit tant pour les aveugles; Alexandre Dumas, qui enchanta tant et tant de générations d'adolescents (de 7 à 77 ans, comme dit la formule...) avec ses Trois mousquetaires... et quelques autres encore, comme Félix Eboué ou Portalis, qui osa lui aussi, depuis Lyon, défendre un Louis XVI dont la mort était résolue d'avance par les terroristes, ce qui lui valut d'être emprisonné, et sauvé uniquement par la chute (enfin !...) de Robespierre...

    Il y eut aussi le grand Mirabeau, la première personnalité inhumée au Panthéon, où il ne resta guère : le 21 septembre 1794 sa tombe futt profanée et ses cendres jetées aux égouts...

    Oui, mais, à côté des illustres inconnus inoffensifs et de ces quelques "gens très bien", il y a d'autre personnes beaucoup moins reluisantes...

    Il y a d'abord ce grand esprit, cette grande intelligence dont les travaux, dans son domaine, honorent la France et la culture française : Lazare Carnot. Le problème, le gros problème, c'est que, à côté de ces travaux scientifiques qui illustrent le nom français, Lazare Carnot est aussi - une paille !... - l'organisateur du Génocide vendéen, le premier des Temps modernes (par ses deux décrets des 1er août et 1er octobre 1793) : voyez, dans notre Album  Totalitarisme ou Résistance ? Vendée, "Guerres de Géants"... les deux photos "Lazare Carnot organise le génocide (I)" et "Lazare Carnot olrganise le génocide (II)"...

    Si le mot "amusant" convenait pour un tel sujet, on l'emploierait ici, en pensant que dans ce Temple républicain, sous l'inscription Aux grands hommes, la Patrie reconnaissante, à côté de ce brillant/sinistre Carnot repose aussi Voltaire, le furieux antisémite qui était aussi joyeusement raciste, et cyniquement "anti-peuple" : eh, oui, c'est ainsi ! Le Système qui, par réflexe quasi pavlovien, accole systématiquement le mot "antisémite" au nom de Charles Maurras, honore et propose à la vénération des foules un homme -Voltaire - qui a tenu des des propos cent fois pires, furieusement antisémites et joyeusement racistes "anti-noirs" (on les a "sortis" souvent, et on peut les retrouver dans notre Dossier : M. le Maudit,) : nous reprendrons donc, pour changer un peu, ces trois propos sur "le peuple" du sieur Voltaire. N'allez pas demander à Madame Taubira ce qu'elle en pense - pas plus que de ses propos "anti-nègres" - : elle vous répondra qu'elle ne savait pas, qu'elle n'était pas au courant... : 

    1. "Il me paraît essentiel qu’il y ait des gueux ignorants. Si vous faisiez valoir comme moi une terre, et si vous aviez des charrues, vous seriez bien de mon avis. Ce n’est pas le manœuvre qu’il faut instruire, c’est le bon bourgeois, c’est l’habitant des villes... Quand la populace se mêle de raisonner, tout est perdu..." (Lettre à M. Damillaville, 1er avril 1766, dans Œuvres de Voltaire, Voltaire, éd. Lefèvre, 1828, t. 69, p. 131);

    2. "A l’égard du peuple, il sera toujours sot et barbare...Ce sont des bœufs auxquels il faut un joug, un aiguillon et du foin." (Lettre à M. Tabareau, A Ferney, 3 février 1769, dans Œuvres de Voltaire, Voltaire, éd. Delagrave, 1885, t. 69, p. 428);

    3. "Il est à propos que le peuple soit guidé, et non pas qu’il soit instruit; il n’est pas digne de l’être." (Lettre à d’Amilaville, 19 mars 1766, dans Œuvres de Voltaire, Voltaire, éd. Hachette, 1862, t. 31, p. 164);

    Pas mal, non ? La République idéologique propose de ces "grands hommes" à l'admiration des foules !...

    Mais, tout récemment, les choses se sont encore accélerées, et pas dans le bon sens...

    Les Princes qui nous gouvernent (si mal !...) ont peut-être voulu faire diversion, pour tenter de faire oublier leurs échecs monumentaux, et, pour cela, ils ont décidé de ré-animer le Panthéon, en y plaçant de nouvelles personnalités.

    On a même parlé d'y mettre Olympe de Gouges, guillotinée par Robespierre car elle l'avait couvert de moqueries, lui et sa clique de terroristes; elle avait aussi proposé de défendre le roi Louis XVI, lors de son pseudo-procès (chose refusée, bien évidemment...); elle avait, enfin, dédicacé "à Marie-Antoinette" sa "Déclaration des Droits de la Femme et de la Citoyenne" ! Une telle royaliste au Panthéon, évidemment...

    Finalement, avec François Hollande, on a descendu encore une marche dans l'ignominie : au son du clairon et de la fanfare militaire, le cadavre de Jean Zay, ministre de l'Education nationale (!) du Front Populaire a été transféré au Panthéon : or, le-dit Jean Zay est l'auteur d'un texte immonde, que nous ne souhaitons pas reproduire ici, tant il est moche et tant il pue, mais que les lecteurs qui ne nous croiraient pourront lire ici, si bon leur semble : Jean Zay.pdf.

    Après Carnot et Voltaire, et maintenenat Jean Zay, la trilogie de l'ignominie est complète.  Dans son "lundi" du 24 février dernier, Mémoire sélective ?  Louis-Joseph Delanglade avait pointé l'erreur que commettait François Hollande, qui versait dans un communautarisme de mauvais aloi : "...En inaugurant à la Grande Mosquée de Paris, ce mardi 18 février, le « mémorial du soldat musulman », M. Hollande a choisi délibérément de s’inscrire dans un « mémoriel » discriminatoire..."

     
    Il s'agissait évidemment d'un geste politique envers un électorat ("noir et arabe", comme dit Louis-Georges Tin, président du CRAN !...) qui a voté "Hollande" à 93%, mais qui se trouve fort dépité depuis que le gouvernement de ce même Hollande vient lui expliquer que le petit Mohamed pourra s'appeler Leïla, et que "Mehdi met du rouge à lèvres", théorie du genre oblige ! Hollande pensait probablement rassurer "son" électorat musulman, qui a tourné les talons, en commettant cet impair politique. Las ! Le florentinisme a ses limites, et il arrive assez souvent à celui qui veut être machiavélique de se prendre les pieds dans le tapis. En "mettant" Jean Zay au Panthéon, les "soldats musulmans" et leurs familles savent, maintenant, qu'ils sont morts pour un "torche-cul" : effet désastreux sur le-dit électorat garanti...
    Il est temps, maintenant, d'en finir avec ce carnaval de mauvais aloi, avec cette clownerie de très mauvais goût.
    Il faut fermer "ce" Panthéon, rendre les corps aux familles et ayants-droit, restaurer le momnument dans son état d'origine, et le rendre à sa destination première, à ce pourquoi il a été fait : au service du culte catholique, et non à la promotion du Totalitarisme et du Génocide; du racisme, de l'anti-sémitisme et de "l'anti-peuple"; et, maintenant, de la bave sur ceux qui sont morts pour le pays; il faut cesser de les insulter, car,  comme le dit Victor Hugo, qui dort à côté :
     
    "Ceux qui pieusement sont morts pour la Patrie / Ont droit qu'à leur cercueil la foule vienne et prie"
  • Mafias, omerta, peur : elle pousse, elle pousse, la mauvaise graine que le Système a plantée chez nous...

    immigration dehors.jpgIl fallait s'y attendre, et c'était couru d'avance : les Mafias et leurs moeurs solidement implantées chez nous, et grandissant de jour en jour, pieuvres étendant leurs tentacules de plus en plus loin et de plus en plus fort, voilà en quoi la folle politique immigrationniste du Sytème a transformé des pans entiers de "notre" France.

    Quand on voudra réagir, on s'apercevra que - s'il faut bien sûr commencer par fermer les vannes des "pompes aspirantes"... - il n'y a pas d'autre solution que de changer nos lois, pour les durcir, et de recourir massivement à la déchéance de nationalité et à l'expulsion, sans faiblesse...

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    Source : La Provence, dimanche 12 janvier

  • ”Libérer la France des appareils politiciens” et ”Un Système par essence immoral” : deux vidéos d'Hilaire de Crémiers

    1. Libérer la France des appareils politiciens

     

    2. Un Systeme par essence immoral

     

  • Chronique de la France qui souffre (II/II) : Quand Gilles Kepel ”démolit” la folle politique immigrationiste du Système.

    gilles kepel.jpgGilles Kepel est sociologue et spécialiste du monde arabe. Il a mené une enquête fouillée - avec l'Institut Montaigne - auprès des candidats aux élections issu de l'immigration, surtout à Marseille.

    Et qu'en dit-il ? Avant de lire le court extrait suivant de  son entretien avec le journaliste Laurent d'Ancona, juste une précision : Gilles Kepel n'écrit pas dans lafautearousseau !...

    "...Le modèles des quartiers nord (de Marseille, ndlr) c'est au contraire l'expression de la déchéance de la République. Celle d'un Etat qui n'est pas capable de fournir des emplois à une population et la laisse s'enfoncer dans le trafic parce que cela assure, paradoxalement, une sorte de paix sociale. Au prix des 20 morts par règlement de compte qu'on a connu l'année dernière et de la putréfaction de la société..."

    "Putréfaction de la société" : bigre ! Il n'y va pas de main morte, ce Kepel qui n'est certes pas un extrémiste !...

    Mais, écrivons-nous autre chose, dans ces colonnes ? Pourquoi des naturalisations en hausse de 51% alors qu'on a 6 millions de chômeurs, 8 millions de pauvres, 3 millions et demi de mal logés, des Restaus du coeur qui ouvrent de plus en plus tôt, ferment de plus en plus tard, et pour un nombre toujours croissant de gens qui ont faim, etc... etc... etc... ?

    "Putréfaction de la société" : il y va fort, Kepel ! Le drame est qu'il a raison, malheureusement. Et nous avec lui, et tous ceux qui disent la même chose, à quelque bord qu'ils appartiennent...

  • Violences, insécurité (I/II) : ”Français de plastique” djihadistes/terroristes : le Système fait vivre la France sur un

    djihadistes français.JPGLe ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, adopte un ton martial : "On me demande souvent ce qu'il advient... (au retour de ces "jeunes" de Syrie, ndlr)... Ils sont en lien avec une entreprise terroriste, ils sont arrêtés et remis à la justice."

    Fort bien. Mais le juge Trévidic, qui n'est pas quelqu'un à qui l'on peut raconter n'importe quoi, évalue à 70.000 environs les "jeunes" susceptibles d'un passage à l'acte, à tout moment, en France. 

    Il ne s'agit donc pas de ne remettre à la Justice "que" sept terroriste retour de Syrie. Il faut changer nos lois, pour les durcir, déchoir ces jeunes et els expulser, mais aussi déchoir et expulser tous ceux qui les ont aidés (pour complicité) et tous ceux qui, étant au courant, n'ont rien dit ou ont "laissé faire" (pour complicité également). C'est donc par duzaines, par centaines, par milliers, et par dizaines de milliers... qu'il faut déchoir et expulser !  

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    Déchoir expulser et donc remettre en cause la nature du Système qui est le nôtre.pdf 

  • Et ce sont ces ”Cités” que le Système croit qu'il va ”rénover” ? A coups de milliards, gaspillés en pure perte alors qu'

    ... à la Défense, par exemple, ou à la Recherche, créatrices d'emploi et qui préparent l'avenir...

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    La vérité est qu'il n'y a rien à faire pour ces enclaves mafieuses dont le Système a truffé le territoire national.

    Il faut, pour le "contenant", démolir ces banlieues indignes, et les reconstruire sous forme d'habitat traditionnel, adapté au type de chaque Région et Province. Le BTP sera content : il a, là, du travail pour 50 ans, et, comme on dit, "quand le bâtiment va, tout va !..."

    Et, pour le "contenu", il faut déchoir et expulser en masse tous ceux de ces nouveaux arrivés qui, ne respectant pas nos lois et ne désirant pas les respecter; ne s'intégrant pas et ne désirant pas s'intégrer; ne vivant pas comme nous et ne désirant pas vivre comme nous; s'adonnnant joyeusement à toutes les formes possibles et imaginables de délinquance et de trafics en tous genre, n'ont rien d'autre à faire chez nous que d'en partir...

     

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    Déchoir expulser et donc remettre en cause la nature du Système qui est le nôtre.pdf 

  • Un ”Système” qui institutionnalise la guerre civile. Ou : ”droite” et ”gauche” confondues, tiennent, contre ”l'exclusion

    Ce mercredi 3 juillet, face à Jean-Claude Bourdin, c'est François Fillon qui l'a dit. Mais de l'extrême-gauche à la droite, ils l'ont tous dit, un milliard de fois (si ce n'est deux milliards...) : on ne peut pas s'allier à l'extrême-droite !

    Nul n'est gêné de l'existence d'un Parti communiste qui jusqu'à sa fin réelle, et par la bouche de son secrétaire général d'alors, Georges Marchais, a déclaré "globalement positif" le bilan des pays de l'Europe de l'Est, alors que l'on sait très bien que le marxisme-léninisme fut la pire atrocité de toute l'histoire du genre humain, et qu'au-delà de 120 à 130 millions, on ne peut même plus compter le nombre de morts dont il est directement responsable, et dans des circonstances toutes plus barbares et inhumaines les unes que les autres !...

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    Curieusement, ce parti et cette idéologie ont pignon sur rue. Et nos bon apôtres dégoulinants de moraline ne se bouchent pas le nez pour s'allier électoralement avec lui, et récupérer ses quelques restes...

    Mais certains Français, eux, sont rejetés : ils jouissent pourtant de leurs droits civiques et payent leurs impôts, ce qui leur donne donc le droit de participer aux affaires : mais, non, ils votent à l'extrême-droite, donc ils sont pestiférés...

    Dans ces conditions, pour "ces gens-là", pourquoi pas une étoile jaune ?

    Et puis, détail comique, lorsqu'on regarde les chiffres et qu'on creuse un peu les choses, on voit que ces "français exclus" viennent, souvent de la gauche : c'est dans d'anciennes zones votant communiste que le FN réalise certains de ses meilleurs scores. Et la dernière élection de Villeneuve-sur-Lot a montré que pas mal de socialistes ont voté FN; la question qui s'impose : le Parti socialiste et le Parti communiste sont-ils "fascistogènes", "criminogènes", donc, puisqu'ils génèrent des électeurs qui, à terme, vont voter FN ? Il faudrait alors, et de toute urgence, interdire PS et PC : on voit bien l'absurdité totale de la chose, mais cela n'empêche pas nos bon apôtres et sainte Moraline, de Fillon à Chevènement, de vouloir nous faire croire qu'il y a en France, selon les régions de 20 à 60%, voire plus, de fascistes, de nazis, bref, de gens absolument infréquentables, avec qui il ne peut y avoir d'accord possible....

    N'étant pas "dans" le Système, ni "du" Système - c'est, à la fois, notre grande force et notre immense faiblesse... - nous n'avons pas à prendre fait et cause pour tel ou tel parti contre tel autre; ni à nous impliquer dans les "jeux" d'un pays légal de plus en plus corrompu, et dont l'échec est de plus en plus patent....

    Parc contre, nous pouvons, et nous devons, dénoncer cette mascarade qui dure depuis 1945 et cette "re-Terreur" (comme dirait Léon Daudet) que fut la sinistre "épuration"; et qui ne serait qu'une grotesque farce si elle n'était un déni de justice inadmissible contre une part - croissante... - du peuple français.

    Nous avons rappelé plusieurs fois que, à l'époque où le Parti communiste représentait une force formidable, le précédent Comte de Paris (Henri VI) avait heurté pas mal de monde, dans les milieux dits "conservateurs" (un mot qui commence mal, comme le disait le duc d'Orléans),  en déclarant, en substance - et il avait bien raison - qu'on ne pouvait exclure de l'effort national 25% des Français sous pretexte qu'ils votent communiste...

    C'est la même hauteur de vues qui doit prévaloir aujourd'hui, dans l'autre sens : de quel droit exclure de l'effort national, tant de Français, sous prétexte qu'ils votent Front national ?

    Un Système qui pratique à ce point l'institutionnalisation de la guerre civile, dressant sans cesse les Français les uns contre les autres, diabolisant et excluant comme s'il était Dieu le Père faisant le Jugement dernier : un tel Système ne vaut rien, il est pervers, il est intrinsèquement pervers. Et il doit être dénoncé et combattu comme tel.

    Comme le disait Léon Daudet, il ne faut pas croire "en l'amélioration électorale" du Sytème, mais bien au contraire mener une action "étant réellement d'opposition, c'est-à-dire prêchant ouvertement la subversion du régime..."

  • ”Ca's'passe com'ça chez...” : ces banlieues, cités, quartiers multiethniques que le Système a délibérément et follement

    une 2012.jpgQuestion, à lire l'effarant article de La Provence de ce samedi 23 novembre : les "armées de la République idéologique" (en l'occurrence, les forces de l'ordre et le commisssariat) vont-elles reculer devant les "armées des bandes mafieuses immigréess"  composées pour partie, on le dit bien dans l'article, de "jeunes de 15 ans et moins !...) et leur abandonner le terrain, c'est-à-dire une parcelle de NOTRE France ?

    Armes et drogue partout; coktails molotov lancés dans les véhicules de police; grenades  et "d'autres engins incendiaires" (:) jetés devant le commsissariat : ils sont beaux "leurs" quartiers multiethniques, multi-culturels, multitout, mais surtout multidélinquants et totalement "irrécupérables".

    On connaît notre position : fermer les robinets des "pompes aspirantes" pour tarir l'arrivée de nouveaux étrangers, s'ils doivent se conduire ainsi; et, pour ceux à qui l'on a inconsidérément remis un petit "rectangle de plastique", les déchoir d'une nationalité française dont ils montrent, à l'évidence, qu'ils ne sont pas dignes, et les expulser aussitôt, et en masse, du territoire...

    Après, on aura toujours de sproblmèmes, mais beaucoup, beaucoup, beaucoup moins...

    felix pyat.jpg

  • Contre les idéologies, les faits: en réponse aux élucubrations d'Eric Besson et d'autres officiels du Système, très rapi

                Il faut donc tordre le cou à cette contre vérité flagrante des soi disant "vagues migratoires successives".

                Et il suffit d'observer l'Histoire pour démontrer l'inanité, l'imposture (le révisionnisme ?: ce serait amusant, pour des gens de gauche...) de la position des immigrationnistes.

                A l'époque de la Gaule, et des Celtes, la conquête militaire par Jules César devait nous assurer une longue période de "Pax Romana". Époque féconde et bienheureuse s'il en fut, l'arrivée des Romains dans ce qui devenait -lentement mais sûrement- "chez nous" permit de créer le vrai socle, les vrais fondements, solides et définitifs de ce qui n'allait pas tarder à être la France, peuplée par le Peuple français.

                 Même si, on ne peut le nier, la conquête fut rude, et la romanisation menée -comme toujours avec Rome....- d'une poigne de fer: certains historiens avancent qu'un tiers des peuples gaulois aurait été tué, ou serait resté gravement blessé, voire invalide; un autre tiers deplacé ou vendu comme esclave; seul un tiers restant en l'état, si l'on peut dire.... Peu importent les chiffres, qu'on ne connaîtra de toutes façons jamais, à l'unité près....  

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                L'important, c'est que le peuple Gaulois, malgré ce cataclysme, ne disparut pas et ne fut pas submergé par les Romains, bien au contraire: il se développa à nouveau, naturellement, et reprit sa progression -après les horreurs de la conquête- par une natalité vigoureuse et constante. Au point que, lorsque l'Empire s'écroula et disparut -malheureusement...- les Gallo-Romains étaient assez nombreux pour absorber les envahisseurs barbares, franchissant le Rhin: les historiens s'accordent sur une échelle d'environ 350.000 "envahisseurs" (au total), pour environ 7 millions de Gallo-Romains...                             

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    Art gaulois : bijoux (ci dessus) et gobelet (ci dessous)

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                Très vite, d'ailleurs, ces envahisseurs allaient relever, en quelque sorte, la Romanité en Gaule, non dans ses formes antérieures, certes, mais dans ses fondements spirituels et moraux. Clovis se fit sacrer à Reims, et de ce moment date le nouveau départ de la Nation Gauloise, devenue Gallo-Romaine, puis Franque et, très bientôt, Française.

                On le voit, les fameuses Grandes Invasions n'ont donc rien de semblable à ce qui se passe aujourd'hui, où de 10 à 15 millions d'étrangers sont entrés, en trente ans, sur le sol national. A l'exception notable des Normands (mais eux aussi vinrent en nombre finalement dérisoire au regard de la population d'alors), notre Pays ne connut plus d'Invasions massives par la suite et, du VI° au XIX° siècle, la France augmenta sa population d'une façon naturelle: par sa démographie positive, malgré les guerres, les épidémies et les famines.

                Les Rois créaient la France que nous connaissons aujourd'hui, en collectionnant les Provinces -chaque rattachement d'une Province augmentant encore la vitalité de l'ensemble- mais à partir, bien sûr, du même substrat ethnique, sociologique, et non d'on ne sait quelle arrivée extérieure relevant du pur fantasme !...

                Et ainsi jusqu'à ce que la France devienne, sous Louis XVI, le géant démographique de l'Europe, avec ses 29 millions d'habitants. 

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    La sinistre boucherie d'Eylau: 40.000 morts !....
    "Le sang de nos ennemis est toujours le sang des hommes; la vraie gloire , c'est de l'épargner." (Louis XV).

                Il a fallu la folle dé-raison des tenants secs et froids de la Raison; il a fallu les effroyables saignées démographiques dues à la Révolution et aux saccages de l'Europe que l'on appelle pudiquement (autre travestissement de l'Histoire...) les Guerres napoléoniennes, alors qu'on les qualifierait plus justement en les appelant les carnages napoléoniens: 1.500.000 français morts sur les champs de bataille de l'Europe, pour qu'au bout du compte les Alliés entrent dans Paris (1); il a fallu, ensuite -et comme si ces saignées effroyables ne suffisaient pas- la façon aberrante dont la République a mené les deux Guerres Mondiales -encore 1.500.000 morts pour la Première, et 600.000 pour la seconde !- pour que l'élan vital de la France fût brisé, pour que sa démographie fût atteinte au coeur, et pour que la France éprouvât le besoin, en effet, pour la première fois de son histoire, et à cause de la Révolution et de son héritière/dépositaire: la République idéologique, de faire appel à une aide démographique extérieure.      (à suivre....)

    (1) : Presque 10% de la population disparue, volatilisée, sortie de l'Histoire, en 20 ans, de 1793 à 1815, si l'on additionne les 800.000 morts de la Révolution, le million et demi de jeunes français tués par les guerres napoléoniennes, les 500.000 habitants perdus avec les territoires cédés après les Cent Jours: environ deux millions huit cent mille sur environ vingt neuf millions.....                                                   

  • Libres propos sur la clochardisation et la tiermondisation vers lesquelles nous mène le Système...(3/3).

              ...On le voit, le reproche principal que nous pouvons faire aux "immigrationnistes" acharnés (type RESF) concerne l'efficacité -et dans leur cas l'inefficacité...- de leur action: ce n'est pas en déplaçant un problème qu'on le résout; ce n'est pas en transplantant la misère d'un lieu à un autre qu'on résout le problème de la misère, c'est en la combattant et en l'éradiquant sur place: que l'on regarde ce qui s'est passé en France (la Gaule de l'époque) durant le Moyen Âge: la régression a été effroyable après la chute de l'Empire Romain et après la prospérité de la Pax Romana; pourtant, nos ancêtres les gaulois (devenus entre temps gallo-romains) ne sont pas partis en Asie ou en Afrique, dans d'autres pays plus avancés; ils ont retroussé leurs manches et, durant plusieurs générations, ils ont travaillé dur pour nous créer et nous laisser en héritage ce pays qui est le nôtre aujourd'hui; et leur vie n'a pas été facile: on mourrait jeune, on mangeait peu et mal, la douleur était monnaie courante car la "santé" au sens d'aujourd'hui était inexistante; on avait la peste, il y avait les famines, les épidémies, les guerres; et il n'y avait pas d'ONU pour intervenir, pas d'Unicef pour sauver les enfants, aucun organisme international d'aucune sorte pour venir nous aider.... 

              Mais la France est apparue, parce que le peuple français, obstiné et courageux, a voulu survivre, a voulu progresser, et s'en est donné les moyens, par son labeur acharné et seulement par son labeur acharné: voilà la vraie et forte leçon à méditer, l'exemple à suivre: c'est en développant les pays pauvres et en rendant enfin les gens heureux sur place, et non en organisant des transferts massifs de population, qu'on réglera le problème de la pauvreté; transformer un pays riche en un pays pauvre ne sera d'aucun secours pour personne, cela n'a jamais été la solution, et ne l'est pas plus aujourd'hui qu'hier. il faut être aveugle, ou avoir d'autres idées en têtes, comme RESF pour croire le contraire...

              Redisons-le: et dans le fond et dans la forme tout ce à quoi nous assistons depuis des années est déplorable, lamentable, condamnable....et dangereux. Et tout cela part d'une idée, d'une théorie, d'une fumeuse et funeste construction intellectuelle (ou plutôt pseudo intellectuelle) de générosité mal placée et mal conçue; de solidarité mal pensée; de nationalité mal et faussement définie; le tout assorti d'un manque total d'efficacité....Il faut "arrêter les frais", il faut remettre de l'ordre dans nos rues, cela devient urgent car, à terme (et un terme pas si lointain...) on ne sera plus en France (on n'y est déjà plus dans certain endroits: il suffit de voir ce qui se passe en Seine Saint Denis...). Mais avant de régner dans les rues, on le sait bien, l'ordre doit d'abord régner dans les esprits, et il faut remettre les idées à l'endroit: c'est dire toute l'urgence de la solution Royale que nous proposons: il faut jouer et proposer sur les deux tableaux; il faut remettre en cause ce qui se passe actuellement, et pour cela il faut remettre en ordre les fondements intellectuels de notre société, faussés et fourvoyés depuis la révolution....  (fin).

     

  • Libres propos sur la clochardisation et la tiermondisation vers lesquelles nous mène le Système.....(1/3)

              Dans tout le pays, on voit "fleurir" de plus en plus de squats et de campements sauvages d'immigrés en situation irrégulière; les "Une" des quotidiens ne cessent de s'en faire l'écho, ainsi que des plaintes des riverains; il faut bien admettre que tout est critiquable dans ce qui se passe actuellement, car les bases intellectuelles de ce phénomène sont faussées par l'idéologie, et tout le monde a tort: on a, d'un côté, un "parti immigrationniste" qui persiste à prétendre que la France peut et doit accueillir toute la misère du monde, et qui ne cesse, au quotidien, d'organiser concrètement l'arrivée et le maintien sur notre territoire de tout ce qui peut exister comme étranger en situation irrégulière; de l'autre un état républicain empêtré dans ses faiblesses intellectuelles et tiraillé entre deux contradictions: d'une part un désir sincère de mettre malgré tout un peu d'ordre (pour certains responsables du moins...); mais d'autre part, et dans l'ensemble, une grande peur et une grande faiblesse intellectuelle face à ce fléau que l'on n'ose pas nommer ni combattre en tant que tel...

              Il faudrait à la France un pouvoir stable et indépendant qui pourrait mener ce combat au nom de la pérennité de la Nation, en expliquant au peuple français les tenants et les aboutissants du problème; la république, même si certains sont bien intentionnées à ce sujet, ne le fait pas et ne le fera pas -du moins d'une manière significative- tout simplement parce qu'elle ne peut pas le faire; et elle ne peut pas le faire car, dès son origine, elle a faussé l'idée de Nation, de nationalité; elle l'a pervertie et dénaturée en l'idéologisant: pour elle, à partir de la révolution, n'est pas Français celui qui reçoit et accepte de transmettre un héritage donné, et qui désire poursuivre et prolonger une communauté de destin; est français toute personne qui fait siens les idéaux révolutionnaires; c'est la porte ouverte à ce qu'avait entrevu Chateaubriand lorsqu'il évoquait finement ces  "chemins de passage, ouvert à tous les vents..." (1)....

              Aujourd'hui, ou tout s'accélère, et avec la mondialisation, on assiste à un emballement de la machine. Comme nous le disions au début, il suffit de lire les journaux ou d'écouter les radios et les télés pour découvrir à quel point les squats se multiplient sur le territoire; les riverains s'inquiètent, mais "on" ne semble pas vouloir remonter aux sources intellectuelles du mal; "on" ne semble pas vouloir poser le problème dans son ensemble, sa globalité; or, si on ne procède pas ainsi, on ne résoudra rien; il faut avoir le courage de dire tout net que l'actuelle "politique" d'accueil inconsidéré des étrangers (qui est tout sauf une politique digne de ce nom) est suicidaire et fausse à double titre, et dans la forme et dans le fond.... (à suivre.....)

              (1): Mémoires d'Outre Tombe, la Pléiade, tome II, page 15. Chateaubriand avait, dès le début vu et senti le danger et, s'il ne pouvait bien sûr pas se figurer l'état actuel de nos rues, il en a eu du moins l'intuition; ce simple exemple montre bien que, dès le début, les royalistes ont bien eu conscience des dangers funestes que représentaient les conceptions révolutionnaires dans ce qu'elles avaient d'idéologique et d'abstrait...