En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Intervention de Me Jacques Trémolet de Villers lors du Banquet Camelot du 27 novembre 2016, présentant son livre sur le procès de Jeanne d'Arc, et comment bien la découvrir au travers de ses propres paroles...
Alors que la crise économique et sociale devrait nécessiter l'engagement total des députés de la majorité, ceux-ci se battent... pour que le projet de loi sur la PMA soit débattu dès juillet. Juriste, Olivia Sarton révèle dans un ouvrage dense le business, le lobbying et les compromissions autour de la PMA. Sans esprit moralisateur, Olivia Sarton affirme que les instigateurs de la PMA pour tous ne se soucient pas des prétendus droits des femmes homosexuelles, encore moins de la possible confiscation d'un droit des femmes : le véritable enjeu, ce sont les milliards d'euros que représente le marché de la PMA.
Mercredi 13 mars, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions François-Marin Fleutot pour son livre “Les Rois de France excommuniés ”.
Éditeur, historien et essayiste, François-Marin FLEUTOT a publié une dizaine d’ouvrages, dont « Des royalistes dans la Résistance » qui fait aujourd’hui référence. Nous le recevons cette année pour le livre qu’il a consacré aux “Rois de France excommuniés”.
On se souvient d’ordinaire de l’excommunication d’un ou deux rois de France alors que, de Hugues Capet à Louis XIV, seize Capétiens ont subi les foudres vaticanes parce qu’ils refusaient d’obéir à Rome, récusaient l’infaillibilité pontificale ou refusaient d’appeler à la croisade. Au fil de ces conflits se dessine une politique constante fondée sur le principe d’indépendance du royaume à l’égard du pouvoir temporel des papes. Dans la politique de souveraineté qui s’affirme, nous pouvons lire la préhistoire de notre laïcité.
Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)
Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...
Envoyez-nous les annonces et/ou les visuels de réunions de rentrée, Cercles d'études et de formation, Cafés politique/actualité/histoire, manifestations diverses etc...
Mardi soir, le 16, c'était Zemmour - mais il est coutumier du fait... - sur C News : il a de nouveau cité "le grand Bainville" et a aussi nommé "Maurras et toute l'Action française" qui, alors qu'Hitler était parfaitement inconnu de tout le monde et n'était qu'un "peintre du dimanche" dénonçait la folie/trahison du Système qui perdait la paix si chèrement acquise par son suicidaire Traité de Versailles...
Mercredi matin, le 17, ce fut chez Morandini : l'un des intervenants cita à son tour "Jacques Bainville" et la belle phrase qui se trouve au tout début de sa magistrale Histoire de France : "...Le peuple français est un composé. C'est mieux qu'une race. C'est une nation..."
"Le jour d'après ne sera pas celui d'avant", disent nos dirigeants. Et pourtant...
Ce soir, les même groupes de black-boches qu'en décembre pourrissent la manifestation des soignants. Ils sont trois cent, tous les services de police les connaissent, et les médias tournent en boucle autour de cette poignée de provocateurs de basse police et dévalorisent, aux yeux des Français, l'action et les justes revendications de ceux qui ont sauvé tant de vies. A la plus grande satisfaction des nains de Bercy qu'effrayait la perspective d'augmenter les rémunérations dans l’hôpital public. Comme pour les GJ, comme lors des manifestations contre la réforme des retraites, les mêmes méthode, les mêmes mercenaires, les mêmes médias complices, les mêmes faces de carême sur les plateaux télé pour dénaturer le combat de tant de Français et pour ne rien lâcher...
La harpie Assa Traoré, sœur d’Adama, samedi 13 juin, lors de la manifestation contre "les violences policières" (!), place de la République, à Paris.
"Tant que nous n’aurons pas la justice, vous n’aurez pas la paix." C’est le mot d’ordre du mouvement qui, au côté de l’extrême gauche, mène un combat de plus en plus politique avec un discours identitaire et victimaire de plus en plus affirmé. "Il est important de faire des alliances fortes... En Afrique, ils vont renverser le président, ils rentrent dans le palais. Ça se passe comme ça en Afrique, pourquoi ça devrait pas se passer comme ça en France ? Nous sommes prêts, nous pouvons faire une belle révolution."
Avant-hier, Mélenchon s'est discrédité complètement, en mettant un genou à terre lors de la manif de Dame Assa. Il a quelque chose à se reprocher, ou à se faire pardonner ? Mais pardonner quoi, et par qui, et pourquoi ?
Hier il s'est à nouveau discrédité, demandant que l'on désarme la police ou, du moins, qu'elle soit "aussi désarmée que possible" (sic !).
L’allocution d’Emmanuel Macron, ce dimanche soir, n’avait-elle d’autre objectif que de nous annoncer sa prochaine, en juillet ? Que d’entretenir le suspens sur ce « nouveau chemin » qu’il ambitionne d’ouvrir aux Français, à coup sûr pour les conduire au « nouveau monde » qui, tel l’horizon, semble reculer à mesure que le quinquennat avance ? Cette allocation devait être « solennelle » : du moins, le premier cercle élyséen l’avait-il répété à satiété à des médias qui avaient complaisamment relayé l’information.
S’il est vrai, comme l’écrit l’éditorialiste du Monde, que la France en voie de déconfinement est un pays profondément divisé, il est à craindre que la situation ne s’améliore pas. À coup de déclarations incendiaires, nous risquons de nouvelles déchirures.
Les paroles d’Emmanuel Macron dans son discours de dimanche soir concernant l’incendie qui s’est déclenché chez nous à propos de l’affaire Adama Traoré étaient soigneusement balancées.
« Son problème, c’est qu’il adore les déguisements : en militaire, en aviateur, etc. Il ne faudrait pas que les Français finissent par croire qu’il s’est déguisé en Président », raillait un proche du Président – désireux de rester anonyme, on le comprend un peu – dans les colonnes du Parisien, le 5 avril dernier.