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Patrice Franceschi, journaliste et reporter international, auteur de “S’il n’en reste qu’une” publié chez Grasset, parle sans détour de l’enfer vécu par les femmes kurdes face à Daech.
On connaissait la comptine enfantine "Trois petits tours et puis s'en vont..."; Macron l'actualise à sa façon avec son voyage de campagne électorale à Marseille : "Trois petits jours et puis s'en va..." Macron à Marseille, c'est en effet "l'arroseur" (pour reprendre le mot de Zemmour) qui arrive avec tout plein de chèques pour rénover "les quartiers" (en réalité, des zones pourries par les trafiquants de drogue qui y font la loi) et pour que tout aille bien désormais partout ! C'est donc, tout simplement, un énième "plan banlieues", qui ne servira à rien, comme les autres, sauf à gaspiller et stériliser NOTRE argent, qui serait bien mieux employé ailleurs (Santé, Défense, Infrastructures, Recherche, Augmentation des salaires...). Déjà, entre 2014 et 2020, 34 milliards d'euros ont été perdus pour la France... et Macron, chef actuel du Système qui nous ruine et nous déclasse inexorablement va continuer "ça" !
La seule solution pour en sortir ? Mener une action "réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime" (Léon Daudet)
Numéro spécial : Les Peul - La question peul - Qui sont les Peul ? - Les Peul, éternels «réfugiés climatiques » - Le Macina ou l’épicentre de la révolte des Peul - L’épuration ethnique dans la région des « Trois frontières » - Quatre siècles d’expansion des Peul - Quand les jihad peul d’hier expliquent les tensions ethniques d’aujourd’hui - Nigeria : les Peul à l’avant-garde de l’islamisation
Pour parler le langage d’Audiard, les citoyens ne seraient-ils que des “caves”, les militaires que des “canards sauvages”, et les politiciens que des “malfaisants” ? Le choeur de la bienpensance hurle au complot dès que ce genre d’hypothèse se pointe dans les esprits, mais si le complot est difficile à établir, le soupçon, lui, s’enfle à vue d’oeil.
Dans le cadre de la préparation d’un sujet de khôlle sur « l’automobile », j’ai trouvé il y a quelques jours un article extrait de la grande revue « L’Illustration », daté du 25 juin… 1898 !, ce qui ne nous rajeunit pas…
La ville a juste une longueur d'avance dans la course nationale au séparatisme
Marseille, où se rend le médecin urgentiste Emmanuel Macron pendant trois jours, n’est pas Chicago. Et question insécurité, Paris connait en réalité une situation plus périlleuse encore.
Si la chute de Kaboul et le retour du régime des talibans en Afghanistan font figure de symbole au goût de cendres, c’est qu’ils manifestent un coup d’arrêt brutal à la volonté occidentale d’imposer ses valeurs au monde, vingt ans après les attentats du 11-septembre, lorsque l’Amérique s’était réveillée sous le choc, bien décidée à « aider » ce pays à progresser vers la démocratie.
La France ne vient pas de nulle part : elle est une nation historique dont il est possible de dater la naissance de son État en 987, lorsque le roi Hugues Capet est élu par ses pairs et qu’il décide que, désormais, le domaine royal est inaliénable (et donc qu’il ne sera pas divisé ou dispersé à la mort du souverain mais transmis d’une seule pièce à son successeur) et, dans le même temps, que le prochain roi sera son fils aîné, quelles que soient ses qualités ou ses défauts, et cela pour éviter toute dispute successorale qui affaiblirait la Couronne.