En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
L’historien anglais Tom Holland, auteur d’un ouvrage monumental sur l’essence de la révolution chrétienne au cœur de l’Antiquité en est persuadé : « Nous sommes les éternels débiteurs du christianisme. »
Alexandre Del Valle, géopolitologue, essayiste et auteur de "Le Projet", (co écrit avec Emmanuel Razavi) Edition L'artilleur est l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio !
Si au delà de la grande fête de la consommation, on s’avisait de revenir au sens de Noël, ne serait-ce qu’en méditant devant la crèche ? Que nous propose comme réponse à l’énigme de la vie la société post-moderne, sinon un néant qui ne veut pas dire son nom ? Et s’il n’y avait pas d’alternative au christianisme dont les agnostiques et les athées demeurent les débiteurs ?
Jean-François Colosimo, philosophe, théologien, président de l’Institut orthodoxe de Paris directeur des éditions du Cerf et auteur de "La religion Française", Editions du Cerf est l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio !
Alexandre Del Valle, géopolitologue, essayiste et auteur de "Le Projet", (co écrit avec Emmanuel Razavi) Edition L'artilleur est l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio !
L’Église catholique est mise sévèrement en procès, en ce moment. Livres, films, documents pleuvent, accusant prêtres et communautés d’abus de toutes sortes. Malheureusement, les faits allégués sont souvent réels et imposent de sérieuses révisions de la part de l’institution. Pourtant la plupart des chrétiens ont vécu de toutes autres réalités et sont tributaires de la liberté de l’homme intérieur.
Comment un éditorialiste pourrait-il échapper à la situation d’un pays paralysé par la grève et au dossier épineux qui est à l’origine du mouvement social ? Difficile de se dérober ! Et pourtant, la difficulté technique de la réforme des retraites constitue déjà un fameux obstacle. Nous n’avons même pas encore le projet définitif du gouvernement.
En dépit de l’actualité du mouvement social qui paralyse le pays, on ne sait encore pour combien de temps, je me permets aujourd’hui de sortir de France pour donner écho à une actualité tragique, qui devrait retenir notre attention et provoquer notre compassion, faute que nous puissions y porter remède. Bernard-Henri Lévy m’a recommandé le reportage qu’il vient de publier dans Paris Match sur la situation du Nigeria, qui est épouvantable, avec des islamistes qui tuent des chrétiens, précise-t-il, « sur une échelle que même les chrétiens d’Orient n’ont pas connue ». Son récit est proprement hallucinant. Il faut le lire intégralement pour prendre conscience du drame.
L’avocat général a demandé la relaxe du Cardinal Barbarin, condamné en première instance pour non-dénonciation d’agressions sexuelles. Le journaliste Gérard Leclerc décrypte les enjeux de ce procès hautement symbolique.
« Le premier procès Barbarin fut un grand procès pour les victimes du Père Preynat. Celui en appel pourrait être un grand procès pour le droit. » C’est Pascale Robert-Diard, de la rédaction du Monde, qui émet cette appréciation fondée sur une analyse précise de l’intervention de Joël Sollier, représentant du ministère public au Palais de justice de Lyon. Pour l’avocat général, l’archevêque de Lyon ne saurait être condamné pour non dénonciation d’agressions sexuelles, comme le voulait un certain nombre de victimes du Père Preynat. Ainsi dément-il le verdict du précédent procès, où le cardinal Barbarin avait été condamné à six mois de prison avec sursis. Pascale Robert-Diard affirme même que Joël Sollier s’est montré sévère à l’adresse des juges de première instance. N’a-t-il pas parlé d’une « chimère » juridique « qui ne répondrait qu’à un impératif idéologique dont les conséquences dévastatrices n’ont, à l’évidence, pas été suffisamment pesées » ?
Le long entretien accordé par le Président syrien Bachar Al-Assad à Paris-Match produit un redoutable effet de miroir. Il n’apprend rien de vraiment nouveau sur la Syrie dès lors qu’on s’est intéressé sérieusement au sujet depuis le début de la crise. Une armée étrangère, appelée à l’aide, ne peut à elle seule, surtout lorsqu’elle est essentiellement aérienne, assurer la victoire d’un gouvernement rejeté par une large majorité de sa population, et confronté à un soulèvement armé. Depuis 2011, le « régime » baasiste a toujours bénéficié du soutien d’une large partie du peuple syrien. L’image tronquée donnée par les médias français de la bataille d’Alep était révélatrice. Dans cette grande ville syrienne proche de la Turquie, alors qu’on se battait dans la moitié la plus ancienne de la cité que des bandes armées avaient occupée, dans l’autre, la plus moderne et la plus peuplée, le gouvernement légal et son armée sont toujours restés maîtres de la situation, même lorsque leur encerclement était complet. Lorsque la partie orientale a été libérée, ce fut une vague de liesse à l’ouest.
Les gouvernements européens qui pratiquent depuis des décennies une politique folle d'immigration incontrôlée ont obtenu ce qu'ils ont cherché : l'insécurité est devenue aussi habituelle qu'aléatoire.
C'est la pire des situations que des gouvernements inconscients ou idéologues - maintenant appuyés par un Pape lui aussi "migrantophile" - pouvaient nous léguer...
Il ne s'agit pas de dire que tous les immigrés sont des assassins islamistes en puissance. Il s'agit de reconnaître les réalités, et, là, c'est Zemmour qui a raison : la violence est le fruit pourri des sociétés multi-etniques, multi-culturelles.
Les pays comme le Japon, l'Australie, la Hongrie... qui rejettent l'immigration sont ceux qui ne connaissent pas, ou quasiment pas, ou plus de violence(s).
Un prêtre mène la prière lors des funérailles du Père Joseph Hanna Ibrahim et son père à l'église St. Joseph dans la ville de Qamishli dans la province de Hassakeh le 12 novembre. L'Oeuvre d'Orient, qui soutient les communautés minoritaires chrétiennes dans la région a identifié le prêtre et a dénoncé son meurtre et celui de son père comme une "attaque terroriste"...
Mercredi dernier, la chronique Moyen-Orientale d'Antoine de Lacoste était consacrée à l'assassinat du Père Joseph-Ibrahim Bedoyan, et s'achevait par ces mots : "Il était juste de lui rendre hommage"