Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
Il paraît que Barnier cherche des économies...
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Il paraît que Barnier cherche des économies...
A l’affiche, un film de Morgan Simon, avec Valeria Bruni Tedeschi (Nicole), Félix Lefebvre (Serge) et Lubna Azabal (Norah).
C’est pour Valeria Bruni Tedeschi, que j’aime j’aimais beaucoup, que nous sommes allés voir ce film. Je dis j’aimais car elle m’a terriblement déçu de se prostituer dans ce long-métrage.
Certes elle interprète, comme toujours, parfaitement son personnage de mère célibataire, une femme fracassée, et la première partie du scénario relève du bon film jusqu’à ce que, selon le synopsis, la vie se décide « enfin à lui sourire », à savoir des amours saphiques…
« C’est dans l’air du temps » lui dit son fils…
Mais quand l’air est vicié, faut-il le célébrer ?
Oui, Arthur de Watrigant a raison : à ce stade, le "dérapage des comptes publics", n'est plus un simple "dérapage", c'est un vrai scandale d'État !
"...Il va falloir nous expliquer comment le Mozart de la finance, le Prince du cercle de la raison et le Roi des sachants, Emmanuel Macron, a réussi à mettre la France au seuil de la banqueroute. Et il va falloir un peu plus que le prétexte de crise sanitaire et l’excuse de la note des vrais chiffres retrouvée sous le bureau de Bruno Le Maire lors de son déménagement pour nous faire avaler la pilule. C’est un vrai scandale d’Etat..."
(extrait vidéo 4'49)
https://x.com/WatrigantArthur/status/1845468294196707467
Il n'est pas le premier, loin de là, mais nous devons des excuses à Louis-Éric Salembier, qui nous envoyé ce dimanche (et tôt le matin, encore, à 8h30 !) de très intéressantes précisions sur la statue du Christ rédempteur de Rio, évoquée dans notre Éphéméride de la veille.
Très pris - et même un peu submergés... - par le gros travail que représente la lecture de l'intégralité de la chronique "Ligue d'Action française" du quotidien éponyme, afin d'y glaner les renseignements permettant une bonne connaissance des activités de l'Union Royaliste provençale, nous n'avons réagi que ce matin à l'aimable et intéressant message envoyé par Louis-Éric Salembier, en lui présentant nos excuses pour ce retard à lui répondre, et en lui en expliquant, ici, la cause...
Voici donc ce que devient la fin de l' "entrée Christ rédempteur", dorénavant, grâce aux précisions fournies par notre lecteur, et que nous incorporons telles quelles, ce qui nous permet de l'améliorer sensiblement. Nous y ajoutons même le visuel de la couverture du livre et la présentation de l'éditeur...
Un grand merci, donc, bien qu'en retard, et - surtout ! - pour nos autres lecteurs, que nul ne se prive de nous aider par des contributions diverses et variées, que nous nous ferons toujours un plaisir d'ajouter à nos Éphémérides, afin de les enrichir sans cesse...
François Davin,
Blogmestre
Prince Jean de France : La question de la République est posée
- Les Conversations n° 51 - TVL
13 octobre 2024
Eté 2024 : à la faveur d’une dissolution improvisée, éclate l’un des plus lourds nuages qui assombrissent depuis des années le sort de la France, l’aporie nos institutions. Si la Constitution de la Ve République est solide, elle n’échappe pas à une contradiction majeure, qu’avait bien comprise son créateur : comment faire que le président de la République, clef de voute de notre architecture institutionnelle, soit à la fois président de tous les Français (remplissant la triple fonction d’assurer notre continuité historique, de garantir l’impartialité de l’Etat et d’arbitrer en cas de crise) et cependant élu au suffrage universel, c’est à dire par une partie de Français contre une autre ? Longtemps la question fut masquée par l’ombre gaullienne. Mais la tragédie se révèle avec les successeurs, chaque fois plus cruelle quand les Français se rendent compte que chacun des chefs d’Etat issu de l’élection est plus éloigné de ses missions fondamentales. Le pire étant atteint avec Emmanuel Macron, destructeur déclaré de notre continuité historique et si partial qu’il en devient minoritaire, son étiage tombant même, lors des européennes de juin, au dessous de 15%. Peu après, se fissurait le bien nommé front républicain, tandis que chacun peut observer que, constitué après des mois de crise, le gouvernement ne tient que par l’habile abstention du parti que ledit Front républicain visait précisément à exclure
Sur ce coup-là, difficile de ne pas dire : "Nous sommes tous des "fred le gaulois" !!!!!"
"Budget 2025 :
• L'Elysée : + 3 000 000 €;
• L'Assemblée Générale : + 10 300 000 €;
Sénat : + 6 000 000 €...
A la vôtre les vaches à lait."
illustration de titre : dans le numéro du Lundi 22 Mars 1909 (page deux), dont voici la suite et fin :
Note d’information du Carrefour des Acteurs Sociaux – 27 septembre 2024
1/ intelligence artificielle - mardi 15 octobre à 19 heures. Gérard Pelletier, directeur général de Datafranca donnera une conférence sur la science des données et l’Intelligence Artificielle. Lieu : salle de l'Ageca, 277 rue de Charonne - M° Alexandre Dumas. Cette réunion s'adresse tout particulièrement aux professionnels et aux étudiants. Participation aux frais 10 euros (5 euros pour les étudiants). inscriptions : dircas@cas-france.org
2/ « la contribution de Framatome à une politique spatiale française et européenne » ; ce sera le thème de la prochaine conférence organisée le Jeudi 28 novembre 2024 à Paris. Elle sera introduitre par Bernard Fontana, Président de Framatome et une première intervention de Grégoire Lambert, Directeur de département spatial de Framatome. Les autres intervenants vous seront communiqués dans unein,vitation d"finitive. Dès maintenant vous êtes invité - à reserver la date - et à vous préinscrire à l’adresse suivante : dircas@cas-france.org et à faire circuler l’information.
Évidemment, Philippe de Villiers a raison :
"Un gouvernement de droite ne devrait pas toucher aux #impôts - surtout quand ils sont les plus élevés de l'OCDE - mais s'attaquer aux dépenses !
2 pistes :
• 10 milliards = contribution nette de la France pour l'Union européenne;
• 50 milliards = coûts directs et indirects de l'#immigration"
(extrait vidéo 8'58)
https://x.com/PhdeVilliers/status/1844827398753120609
L'émission complète (1h03) :
Cannes 2024 : Les Graines du figuier sauvage, un film iranien (VOSTF) de Mohammad Rasoulof, avec Misagh Zare (Iman), Soheila Golestani (Najmeh, épouse d’Iman).
Ayant déjà passé plusieurs mois dans les geôles iraniennes et après une nouvelle condamnation de huit ans de prison pour « collusion contre la sécurité nationale », le réalisateur Mohammad Rasoulof a fui son pays au printemps dernier. Il parcourt actuellement les festivals pour présenter le film qu’il venait de tourner clandestinement sur la révolte « Femme, Vie, Liberté » qui a accompagné la mort en septembre 2022 de la jeune Mahsa Amini tuée pour « un voile mal porté ».
On notera avec amusement (non, parce que ce n’est pas drôle) mais on observera que ce sont pratiquement les mêmes festivaliers qui encensent (à juste titre) ce long-métrage et qui – à tout le moins - côtoient la France Insoumise favorable à la « créolisation » et finalement coupable de la libanisation de la France.
Malgré une dernière partie quelque peu abracadabrante, pleine d’invraisemblances, et un très (trop) long jeu de cache-cache dans des ruines, je recommande cette réalisation mi-docufiction, mi-thriller, sur ce totalitarisme des Mollahs que l’on doit – ne l’oublions pas – à la trahison du Shah, en 1979, par le Président américain Carter et à la bénédiction de l’Ayatollah Khomeiny par Giscard d’Estaing.
Il y a, paraît-il, une rue Neauphle-le-Château à Téhéran !
L'édito politique de Vincnet Trémolet de Villers, chez Dimitri Pavlenko :
(Source : France info, hier matin, "Le réveil de l'éco)
Beaucoup des soi-disant "européens" achetant états-uniens, et nos ennemis allemands ayant fait tout ce qu'il fallait pour saborder l'avion du futur - dans lequel la France aurait eu sa place... - nous allons nous débrouiller tous seuls, avec quelques pays européens tout de même...) et monter notre excellentissime Rafale à un niveau encore supérieur ("Le Rafale porté au standard F4.1 a désormais "acquis sa pleine capacité opérationnelle...").
Et ce sera très bien ainsi : au moins nous conserverons notre indépendance ! Quant aux européens qui "achètent états-unien" (comme les Polonais, par exemple, on leur souhaitera "bien du plaisir", en cas de crise militaire, lorsqu'il leur faudra faire traverser un océan, ou transporter par de longs vols aériens, les pièces de rechange ou d'entretien (ou les munitions) de ce qu'ils achètent maintenant, pour ainsi dire, au bout du monde, alors que, la France, c'est la porte à côté... Mais c'est leur affaire, après tout...
https://www.defnat.com/e-RDN/affiche_breve.php?cid=816

• Ci dessus, la couverture de L'illustration - journal universel n° 4361 - l'automobile et le tourisme - le tourisme en commun dans les Pyrénées.
• Ci-dessous, l'église de la Madeleine, dans l'Île, le quartier natal de Maurras (sa Bastide du Chemin de paradis se trouve dans le quartier de Ferrières)
Le 12 Octobre 1926, dans son numéro 4361, L'Illustration publia un petit texte de Maurras, intitulé "À Martigues", que le toujours excellent site Maurras.net - qui parle d'un "article touristico-sociologique" - a eu l'heureuse idée de proposer au lecteur :
"...Chacune de nos générations aime à dire que Martigues n’est plus Martigues, pour l’avoir oui dire à ses anciens qui l’ont toujours dit, et leurs pères, et les pères de leurs pères, dans tous les siècles. La cité provençale (…) n’aura bientôt plus que deux îlots et trois ponts. J’ai connu trois îlots, quatre ponts. Ceux qui m’ont précédé parlaient de quatre ou cinq îlots et de je ne sais plus combien de ponts fixes et de ponts-levis…"
