Quand nos lecteurs nous aident à améliorer nos Éphémérides...
Il n'est pas le premier, loin de là, mais nous devons des excuses à Louis-Éric Salembier, qui nous envoyé ce dimanche (et tôt le matin, encore, à 8h30 !) de très intéressantes précisions sur la statue du Christ rédempteur de Rio, évoquée dans notre Éphéméride de la veille.
Très pris - et même un peu submergés... - par le gros travail que représente la lecture de l'intégralité de la chronique "Ligue d'Action française" du quotidien éponyme, afin d'y glaner les renseignements permettant une bonne connaissance des activités de l'Union Royaliste provençale, nous n'avons réagi que ce matin à l'aimable et intéressant message envoyé par Louis-Éric Salembier, en lui présentant nos excuses pour ce retard à lui répondre, et en lui en expliquant, ici, la cause...
Voici donc ce que devient la fin de l' "entrée Christ rédempteur", dorénavant, grâce aux précisions fournies par notre lecteur, et que nous incorporons telles quelles, ce qui nous permet de l'améliorer sensiblement. Nous y ajoutons même le visuel de la couverture du livre et la présentation de l'éditeur...
Un grand merci, donc, bien qu'en retard, et - surtout ! - pour nos autres lecteurs, que nul ne se prive de nous aider par des contributions diverses et variées, que nous nous ferons toujours un plaisir d'ajouter à nos Éphémérides, afin de les enrichir sans cesse...
François Davin,
Blogmestre
1931 : Inauguration de la statue du Christ Rédempteur de Rio
C'est dès 1859, sous le règne de l'empereur Pierre II du Brésil, que l'idée d'un monument religieux au sommet du Mont Corcovado, qui domine la ville de Rio, avait été lancée.
La chute de l'empire, les aléas de la politique retardèrent le projet, qui fut réactivé à partir de 1921, dans le contexte du centenaire de l'indépendance du Brésil. En 1923, le projet sélectionné fut celui de l'ingénieur brésilien Heitor da Silva Costa.
Celui-ci fit appel au sculpteur français Paul-Maximilien Landowski pour sa réalisation.
Le récit de sa vie est publié aux éditions Marie -Romaine.
Présentation de l'éditeur :
Son nom, Albert Caquot. Polytechnicien multi décoré, il est considéré comme le plus grand ingénieur français pendant un demi-siècle !
On lui doit des centaines de ponts dans le monde, des barrages hydroélectriques, des tunnels, presque tous des records, le premier musée de l'Air de l'Histoire, la structure interne du Christ du Corcovado à Rio de Janeiro...
Un certain Marcel Dassault dira de lui : « C'était un visionnaire, il était en avance sur tout le monde ! » À l'heure des défis écologiques certains de ses projets sont toujours d'actualité.