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Depuis plus d’un siècle, l’Action Française rend hommage au sens politique de Jeanne d’Arc. De 1909 à 1912, les étudiants, ligueurs et camelots d’AF paieront au prix de 10 000 jours de prison l’autorisation de manifester cette fidélité. Maurice Barrès fait voter en 1920 la loi instituant la Fête Nationale de Jeanne d’Arc, le deuxième dimanche de mai. L’Eglise canonisera cette même année Jeanne d’Arc.
Le centenaire de la fête officielle de Jeanne d’Arc tombe cette année le dimanche 10 mai. Le confinement, dû au Covid 19, empêchera que nous puissions célébrer l’héroïne nationale comme chaque année. Le cortège traditionnel 2020 est donc annulé.
Avant l'arrivée de Jeanne, il y a "grande pitié au royaume de France" :
- les Anglo-Bourguignons tiennent tout le nord du pays ;
- Orléans, assiégée depuis sept mois, va succomber à la famine ;
- Charles VII, le "gentil dauphin", est réfugié à Chinon ;
- la capitale est aux mains des Anglais : Henri VI, le "petit roi godon", y règne...
A l'arrivée de Jeanne, tout change : dans l'enthousiasme qui suit la libération d'Orléans, Jeanne électrise ses soldats et, dans la foulée, va bousculer les Anglais à Patay ; elle a compris que Charles VII (dont la naissance légitime avait été mise en doute par sa propre mère, Isabeau de Bavière) ne sera pas reconnu roi légitime à la suite d'une ou deux victoires : c'est à Reims qu'il faut aller !
Comme l'écrit Jacques Bainville, "la grande idée de Jeanne, c'est le sacre de Reims..."
Et, depuis, chaque année, la ville d'Orléans commémore l'évènement capital que constitua sa libération, en organisant les très belles Fêtes Johanniques à Orléans durant lesquelles la ville entière entonne la Cantate à Jeanne d'Arc :
"Tout désespoir en politique est une sottise absolue" (Charles Maurras). Quelle plus belle et plus noble illustration de cette pensée que la Geste héroïque de Jeanne, qui reste à jamais comme la plus exaltante preuve d'une espérance au-delà de toutes les apparences, d'une espérance qui peut tout et malgré tout, finalement, qui emporte tout ?
La Geste héroïque de Jeanne est un moment fondamental de notre Histoire nationale : nos Ephémerides essayent de vous en raconter ses moments essentiels :
- 25 février (rencontre de Jeanne et du Dauphin, à Chinon);
Vous avez été nombreux, toute la journée d'hier, à nous envoyer des messages sur nos pages facebook à propos de Patrick Buisson...
Manifestement, la plupart des messages et des demandes de renseignements et d'éclaircissements (que nous continuons de recevoir) proviennent de nouveaux lecteurs, et c'est tant mieux : pour éviter d'envoyer une même réponse stéréotypée à un grand nombre de personnes, la Rédaction a pensé qu'il n'était peut-être pas inutile de redonner une page publiée sur lafautearousseau le 30 novembre 2016, à propos du très beau et très important ouvrage de Patrick Buisson : La cause du Peuple.
Cette page de notre quotidien donne, d'abord, accès à une vidéo de 65 minutes accordée par Patrick Buisson à TV Libertés, le 18 novembre précédent; ensuite, elle donne les trois liens renvoyant à trois articles :
« Responsables mais pas coupables » : un verdict qui pourrait redevenir d'actualité.
55 : c’est le nombre de plaintes contre des ministres déposées à ce jour par des particuliers, associations et collectifs, selon le journal 20 Minutes. Outre des initiatives individuelles, ce sont des élus, des médecins, 31 détenus, un syndicat de magistrats et la Fédération nationale des victimes d’attentats et d’accidents collectifs qui, pour l’instant, demandent réparation pour « mise en danger de la vie d’autrui » et « non-assistance à personne en danger » et dénoncent, pêle-mêle, le manque de dépistage et d’équipements de protection personnelle, la fermeture tardive des frontières, le manque d’anticipation, les conflits d’intérêts concernant les traitements médicaux et le maintien des élections municipales.
Une vingtaine de marcheurs envisagent de quitter les bancs macronistes pour former un nouveau groupe avec une trentaine d'autres députés. L'initiative pourrait voir le jour autour de la mi-mai.
A Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République
Palais de l’Élysée, 55, rue du Faubourg Saint-Honoré 75008
Monsieur le Président
Nous sommes un collectif d’associations de résistance francophone en synergie en France et dans d’autres pays ayant le français en partage.
Depuis votre candidature de 2017, nous vous avons saisi plusieurs fois de nos préoccupations au sujet de votre politique du français et de la Francophonie.
Vos engagements de candidat, écrits, sérieux, concrets, ont été accueillis en 2017 avec un vif intérêt. De même lorsque que vous reprîtes, le 20 mars 2018 sous la Coupole, l’essentiel de nos propositions dans la présentation de votre politique, ainsi que notre projet associatif (2001) d’« Institut de la Francophonie et de la diversité culturelle » au château de Villers-Cotterêts.
Le monde qui voit la naissance de l’Action Française n’est pas encore entré dans l’ère de la Grande consommation mais l’industrialisation du XIXe et, pour notre pays, la Révolution française ont jeté les bases de cette « dissociété » dominée par l’individualisme et la Marchandise… La trinité infernale « Franklin-Taylor-Ford », plus révolutionnaire que Marx ou Lénine, entame un règne qui, en cette année 2020, n’est toujours pas terminé...
On parle aujourd’hui de reflexe « CORPORATIF » pour indiquer une défense identitaire professionnelle, en général ce terme est devenu péjoratif mais autrefois on entendait : confrérie, ghilde, maîtrise, charité, hanse, collège, fraternité, jurande… Il reste difficile de donner une définition définitive tant les disparités existaient entre lieux, époque et professions… Devons nous parler du Moyen-âge ou du XVIème siècle ? « Vous avez le choix entre huit siècle d’histoire et entre plusieurs dizaines de provinces…D’une ville à l’autre et, dans chaque ville, d’une profession à la profession voisine, elles diffèrent plus que les amples bliauts du XIIIème siècle et les justaucorps collants du XVIème, que les draps riches et lourds des communes du Nord et les tissus légers du Midi moderne.»(E.Coornaert)
La pandémie mondiale a donné lieu dans un certain nombre de pays et particulièrement en Europe à une sur-réaction et à une pression autoritaire des instances gouvernementales sur les peuples, propre à développer des paniques incontrôlables, alors que plus le temps passe et plus les observateurs avisés découvrent que cette pandémie, n’est pas pire que les précédentes. Seule l’alerte internationale et l’appel tragique au confinement ont pu donner un tour exceptionnellement dramatique à cette nouvelle et méconnue pandémie, mais finalement pas plus grave que les précédentes.
Mais le peuple des « petites gens », s’est plutôt bien tenu, malgré les mesures imbéciles de répression, appliquées avec zèle par les représentants de l’ordre désireux de voir appliquer sévèrement la loi.
S'il critique volontiers la gestion par le gouvernement du coronavirus, le chroniqueur met en garde contre la tentation de recourir à la justice pour dénoncer les maires, les élus et les dirigeants, dans ce dossier.
Avec ses amis, Michel Onfray a décidé de créer une revue pour penser les jours "d’après". Son nom: FRONT POPULAIRE. Les auteurs: d’anciens élus, des gilets-jaunes, des enseignants, des juristes, des journalistes, des démographes.