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mahomet

  • Prenons-le du bon côté, et avec le sourire : DSK hier, Charia hebdo aujourd'hui : deuxième porte-à-faux en six mois pour les bonnes consciences moralisatrices....

            ...et donneuses de leçons du politiquement correct, de la cléricature médiatique, du bobo/gaucho/trotskisme et de tout ce qui veut régenter l'opinion, à gauche et à l'extrême gauche.

             Oscar Wilde ne disait-il pas : "Life is too important to be taken seriously" ? Donc, ne boudons pas notre plaisir, et saisissons cette occasion de rire un peu que nous offre l'actualité : d'autres accumulent les discours sérieux, laborieux, ennuyeux -sérieusement ennuyeux... - sur "l'affaire" : partant du principe qu'il est très important de ne jamais se prendre trop au sérieux, voyons donc les choses, disons, d'un autre point de vue....

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  • Mieux connaître, pour mieux comprendre et mieux évaluer... : Regards croisés sur l'Islam (VI)

                Aujourd'hui, la parole est à une journaliste courageuse, Wafa Sultan, qui s'exprime sans s'en laisser compter sur Al-Jazeera TV (Qatar, extraits d'une émission de février 2006): Journaliste_courageuse 4° regard sur l'Islam.wmv

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                Wafa Sultan a grandi en Syrie dans une famille musulmane traditionnelle. Son père, musulman dévot, était négociant en céréales. Jusqu’à l’âge adulte, Wafa Sultan suit tous les préceptes religieux. Sa vie bascule en 1979 : alors étudiante en médecine, elle assiste à l’université à l’assassinat de son professeur par des membres des Frères Musulmans. « A ce moment précis, j’ai perdu la foi en leur dieu, et commencé à remettre en question tous nos enseignements. C’était le tournant de ma vie, et cela m’a amenée à la situation présente».

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                Expatriée en 1989 aux États-Unis, elle commence à écrire et s’occupe d’un site réformateur de l’islam « An-naqed » (la critique). C’est à la suite de l'interview ci dessus, sur la chaîne Al-Jezira, le 21 février 2006, que Wafa Sultan atteint une renommée planétaire. L’interview a été téléchargée sur Internet plus d’un million de fois en deux semaines.

               Pour Wafa Sultan, les musulmans du monde se sont enfoncés dans la barbarie. À contre-courant de la thèse du choc des civilisations, la psychologue oppose la barbarie à la modernité, la violence à la raison.

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  • Mieux connaître, pour mieux comprendre et mieux évaluer... : Regards croisés sur l'Islam (III)

                Notre troisième document est une lettre de Malraux -du 3 juin 1956- qui reste d'une actualité surprenante aujourd'hui ! La lucidité dont fait preuve Malraux (en 56 !...) est singulièrement remarquable (I).

                La source consiste en une bande sonore qui a été transcrite par sténo. Elle est détenue par l'Institut Charles De Gaulle, et reproduite dans Valeurs actuelles en décembre 2001.

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  • On ne caricature ni Mahomet, ni... Jésus-Christ !

                 L'Europe est devenu un continent épatant. Il ne faut pas y caricaturer Mahomet, sinon des barbus vont venir chez vous avec une hâche pour vous le faire payer. Mais on y laisse tranquillement Khadafi déverser un tombereau d'insanités sur Jésus-Christ et sur le christianisme, sans que nul -ou presque...- ne réagisse....

                 Soyons clairs. Nous sommes résolument opposés au fait que l'on se moque des religions, de toutes les religions, et de ceux qui croient. Parce que nous avons une échelle de valeurs, comme on dit dans le langage de tous les jours, et parce que nous pensons qu'il est beau et noble de croire en quelque chose en dehors et au-dessus du monde; que cela est digne de respect; et que, en conséquence, tout croyant, où qu'il se trouve, et toute Foi, mérite le respect: on ne se moque pas de la Transcendance, ni de celles et ceux qui cherchent.........

                 Du moins c'est ce qui se passe dans une société vraiment evoluée, civilisée et raffinée, où, par définition, le spirituel est placé plus haut que le matériel: notre position est donc à la fois très claire et, nous semble-t-il, très cohérente: on ne se moque d'aucune religion, on n'en caricature aucune.....

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  • Mieux connaître, pour mieux comprendre et mieux évaluer... : Regards croisés sur l'Islam (I)

                 Au cours d'un débat/dialogue, dans la région lyonnaise, il n'y a pas si longtemps, un Imam avait dit au Prêtre avec qui il débattait, en guise de conclusion: Vous, vous avez beaucoup de croyants, et peu de pratiquants; alors que, moi, c'est tout l'inverse, j'ai beaucoup de pratiquants, mais peu de croyants...

                 Cette spontanéité de bon aloi de l'imam en avait surpris plus d'un, et avait jeté un certain froid dans la salle, auprès de certaines personnes...

                 Cette vérité fait pourtant partie de ces choses que l'on ne dit pas assez, à propos de l'Islam, pour lequel on se contente très souvent -trop souvent...- d'affirmations péremptoires. Certains le verraient toujours triomphant, conquérant, irrésistible et sans problèmes aucuns. Comme s'il était écrit, de toute eternité, que nous serions l'agneau -nous, c'est-à-dire la France et l'Europe- et que l'Islam serait le loup: l'histoire serait écrite d'avance, en quelque sorte, puisqu'on en connaît la fin. Pour certains, nous aurions déjà perdu, et l'Islam aurait déjà gagné.

                 Le loup et l'agneau... Est-ce si sûr ?

                Que l'Islam soit un danger et une menace aujourd'hui, pour la France et pour l'Europe; que cette menace soit extrêmement grave, et qu'il faille s'y opposer résolument, et de toutes nos forces: c'est l'une des choses que nous ne cessons de dire dans ce Blog. Mais cela ne doit conduire ni à un défaitisme de mauvais aloi, ni à une évaluation erronée de l'Islam. Celui ci, justement parce qu'il est, à de multiples points de vue, un adversaire, doit être évalué au plus près de la réalité, dans ses forces mais aussi dans ses faiblesse; le plus exactement possible, et non en cédant a des exagérations,  des fantasmes, des idées toutes faites; ou à une sur-estimation de l'adversaire -même si encore une fois, il ne faut pas non plus le sous-estimer....

                 C'est justement dans cette idée d'arriver à y voir plus clair; afin d'obtenir une appréciation plus fine et plus juste de la réalité vraie de l'Islam, dans ses forces réelles et ses faiblesses non moins réelles, que nous nous proposons de réunir, à terme, en un seul PDF plusieurs documents -dont certains nous ont été envoyés par nos lecteurs-, des regards croisés sur l'Islam, en quelque sorte, avec, pour objectif, de sortir des points de vues bateaux, trop stéréotypés, trop éloignés de la simple réalité....

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  • SOS ! Charia en vue !...

              On annonce l'ouverture prochaine d'un établissement scolaire musulman à Marseille; le port du voile y sera autorisé car, disent les futurs responsables, les élèves seront à l'intérieur de l'établissement et ne seront "vus par personne!" ; cela relèvera donc de leur libre choix et de leur seule volonté! On croit rêver! Dans leur désir forcené d'instaurer leur chère charia chez nous, qui ne l'avons heureusement jamais subie...,, certains responsables musulmans ne reculent devant aucune malhonnêteté intellectuelle, devant aucun louvoiement tordu qu'ils croient habile. Avec des gens de cette espèce, il convient de rester sur ses gardes et de conserver une vigilance de tous les instants; car nous n'en sommes qu'au début: il s'agit, pour eux qui voient loin, et qui veulent implanter leur Islam chez nous, de commencer tout doucement puis de créer des situations acquises, de sorte qu'il ne soit plus possible ou très difficile de revenir en arrière.....

              Il faudrait d'ailleurs le vouloir, et s'engager dans une lutte aussi rude que celle de 1905: qui en aurait vraiment la volonté si, un jour, des faits "acquis" étaient justement acquis: c'est ce jour là qu'ils auraient gagné la partie, car à ce moment là soit il sera trop tard pour faire marche arrière, soit cela risque d'être extraordinairement difficile et risqué, car ces "nouveaux enfants de la république", chers à Chirac, feraient immanquablement appel à leurs corréligionnaires du monde entier pour venir les défendre: et alors, que se passerait-il? mieux vaudrait agir aujourd'hui pour que le problème ne se pose pas demain: l'art de l'anticipation, c'est aussi cela que l'on appelle la Politique.

              Commençons donc par le commencement, c'est à dire par établir les faits et par dire ce qui nous scandalise (choquer serait beaucoup trop faible!): si nous refusons catégoriquement le port du soi-disant voile islamique, c'est tout simplement parcequ'il est, de facto, la matérialisation perpétuelle et publique de l'inégalité entre la femme et l'homme; c'est tout, et c'est essentiel! s'il s'agissait d'une coquetterie, d'un accessoire, d'une mode traditionnelle ou d'une coutume locale, il n'y aurait évidemment aucun problème; mais là, il s'agit d'un sujet de fond. Il est inacceptable qu'en France, et dans un établissement scolaire en plus!, on accepte une dérive pareille, signe avant-coureur et annonciateur de beaucoup d'autres, de toutes les autres: on sait ce qu'il advient des portes entrebâillées, et de leur tendance irrésistible à s'ouvrir toutes grandes...Une fois qu'un puis plusieurs collèges et lycées auront répandu puis rendu familière et habituelles ce genre de pratiques, on aura lancé une dynamique dont nul ne peut prévoir où -et même si- elle s'arrêtera...(allez demander leur avis aux Coptes d'Egypte ou aux derniers chrétiens de Turquie...).

              Dans une "Lettre" célèbre au Roi de Prusse auquel il présentait sa pièce "Le Fanatisme, ou Mahomet", Voltaire a déjà répondu, et mieux que nous, à ces barbus d'aujourd'hui qui veulent islamiser la France (mais lui écrivait dans une France riche, forte, puissante et nombreuse; il n'imaginait pas un seul milliardième de seconde qu'un jour viendrait où nous serions -oui il faut avoir le courage et la lucidité de le dire- en danger de mort: merci la révolution et la république!...): "...Mais qu'un marchand de chameaux excite une sédition dans sa bourgade; qu'associé à quelques malheureux coracites (membres de la tribu arabe à laquelle appartenait Mahomet, ndlr) il leur persuade qu'il s'entretient avec l'ange Gabriel; qu'il se vante d'avoir été ravi au ciel et d'y avoir reçu une partie de ce livre inintelligible qui fait frémir le sens commun à chaque page; que, pour faire respecter ce livre, il porte dans sa patrie le fer et la flamme; qu'il égorge les pères, qu'il ravisse les filles, qu'il donne aux vaincus le choix de sa religion ou de la mort, c'est assurément ce que nul homme ne peut excuser, à moins qu'il ne soit né turc et que la superstition n'étouffe en lui toute lumière naturelle...".....

              Chapeau! La république a panthéonisé celui que nous pouvons appeler -sous réserve d'inventaire...- "notre ami Voltaire"; et elle écrit au fronton de ses monuments "Egalité"; elle ne pourra pas indéfiniment louvoyer dans une attitude schizophrénique, et permettre dans les faits le contraire de ce qu'elle vante en droit: tôt ou tard il faudra qu'elle choisisse entre le respect de nos lois fondamentales (qui ne nous viennent d'ailleurs pas de la révolution mais de nos 2000 ans d'histoire chrétienne!) et les prétentions exorbitantes et scandaleuses de nouveaux venus, si ceux ci ne viennent pas se fondre dans notre Civilisation mais veulent nous la changer....

  • Peut on caricaturer Mahomet ?

    Certains musulmans ne veulent pas que l'on caricature Mahomet, ni que l'on critique l'Islam: une telle attitude est-elle  défendable ou souhaitable, est-elle même possible dans nos sociétés occidentales ? Comme l'ont très bien dit Jacques Julliard et Luc Ferry, au cours d'un débat sur LCI, il est impossible que les musulmans demandent un traitement de faveur, un régime d'exception en quelque sorte: en France, depuis deux siècles, on "bouffe du curé" allègrement, on se permet toutes sortes de critiques ou de moqueries -parfois de très mauvais goût, parfois carrément scandaleuses...- à propos du christianisme: pourquoi, en vertu de quoi, des tenants d'une autre religion, fraîchement débarqués chez nous, seraient ils préservés de cet esprit anti religieux qui sévit partout ? Ils savent dans quelle société ils mettent les pieds en venant ici, ils sont tenus d'en accepter l'atmosphère, les moeurs, les pratiques; venir vivre en France n'est une obligation pour personne, respecter ses moeurs et ses habitudes est par contre une obligation pour tous...

    Telle fut la position adoptée par Jacques Julliard, qui avait d'ailleurs du mal à contenir son exaspération vis à vis de l'arrogance de ceux qui formulent une telle demande....Luc Ferry abondait dans son sens, mais d'une façon différente, en prenant comme exemple Hegel et ses brûlots contre le christianisme: va-t-on cesser d'enseigner Hegel dans nos Universités? Poser la question, bien sûr, c'est y répondre: l'Islam a besoin, au contraire, d'être critiqué, comme toutes les religions, toutes les philosophies, tous les systèmes, et c'est précisément cela qui l'obligera enfin à faire cette introspection qu'il n'a jamais faite, à se remettre en cause, à s'étudier lui même, comme le fait par exemple le Christianisme depuis 2000 ans: si l'Islam se pose un problème à lui même, en quelque sorte, en même temps qu'il pose un problème au monde, c'est aussi et tout simplement parce que, dans les pays où il domine, il n'a jamais toléré aucune forme de critique ou d'opposition; il n'a jamais suscité d'investigations ni de recherches sur son texte fondateur (alors que la Bible ne cesse d'être commentée et étudiée...).

    La grande Mosquée de Paris, la Ligue Islamique Mondiale et l'UOIF (Union des Organisations Islamiques de France) ont commis une erreur stratégique et ont mené un combat d'arrière garde lorsqu'elles ont intenté un procès à Charlie Hebdo, qui avait publié des caricatures de Mahomet: toutes trois ont été heureusement déboutées par les Tribunaux, qui ont relaxé Charlie Hebdo, au nom -entre autres...- de la liberté d'expression; un tel jugement (22 mars 2007) devrait inciter les responsables religieux musulmans à aller à l'essentiel, à balayer devant leur porte, à s'occuper des dérives qui poussent un nombre important de leurs coreligionnaires vers une violence aberrante et suicidaire; comment se fait il que ceux et celles qui pratiquent cette violence le fassent au nom du Coran? et qu'ils affirment trouver dans le Coran leur justification? Voila qui devrait occuper pendant un bon moment les responsables musulmans: ils trouveront là une occupation plus utile que celle qui consiste à pousser des cris d'orfraie dès qu'on ose pointer du doigt les multiples contradictions de leur livre et de leur prophète...